Le silence. L’odeur de la mort. Des parfums d’homme mélangés. L’odeur de ma cousine. Un poids sur ma jambe. J’avais les oreilles qui sifflaient si fort que cela ressemblait à un klaxon de camion. J’avais l’impression de mourir, mais je restais calme. J’ouvris les yeux sans m’agiter, mais le noir fut encore la. J’avais quelque chose sur la tête. Le sac en tissu était légèrement transparent, me laissant de la vision. Deux hommes au coin de la porte, une grande pièce avec deux sofa de couleur crème, un bar se trouvait dans un coin de la pièce. Et je grimaça en reconnaissant l’endroit. L’endroit qui hanter ma mère jour et nuit. L’endroit où on lui avait volé cœur, corps et âme. L’endroit ou plein d'hommes l’avait souillé encore et encore. Je tourna ma tête pour regarder une femme. Elle était blonde, et ses yeux bleus vert me suppliait de l’aider. Ma cousine avait besoin de mon aide, elle me suppliait de la sortir de là. Mais cette fois-ci, en serais-je vraiment capable ? J’avais les mains nouer dans mon dos, mes chevilles nouer a la chaise en fer. Du putain de fer. Du bois, je l’aurais cassé au moment voulu, mais du fer ? Comment j’allais m’en sortir ? Le tissu fut rapidement hors de ma tête et je distingua mieux ma cousine. Son arcade était coupée et une lignée de sang descendait jusqu’au coin de son œil. Sa lèvre était fendue et ses yeux humide de peur. Elle avait peur. Ma cousine avait peur, et je ne pouvais rien faire pour lui retirer sa peur.
-Je suis désolé Aaron.
-Ferme la Linoa, tu me feras des excuses quand on sera dehors.
-Je voulais juste m’amuser, je suis vraiment qu’une idiote !
-Je ne te contredirais pas. Putain de merde Linoa ! Je t’avais dit que tu ne devais pas sortir, et comme d’habitude, tu n’en a fait qu'à ta tête. On ses fait enlever comme des débutant putain ! Si on m'a attrapé c’est parce que j’ai été distrait par ta faute ! Tu me casses les couilles Linoa !
-Je sais Aaron, je suis désolé, vraiment désolé. Pleura t-elleMon cœur commença à battre un peu plus vite. Entendre ma cousine pleurée me retourné l’estomac.
-Ne pleure pas LInoa, ils vont croire que tu es faible. Tu voulais vivre dans mon monde ? Et bien, bienvenue à toi. Qu’est-ce que se passe Linoa ? Comment as-tu pu être aussi bête ?
-Je…. Je me suis faite une amie à New York. Elle s’appelle Margaux. Enfin je pensais que c’était mon amie. On buvait des cafés chaque jour après notre travail, on rigolait ensemble et caetera…Elle m'a envoyé un message pour me dire qu’elle était ici, alors j’ai fait le mur pour aller la voir. Sauf qu’en arrivant devant la maison, c’est pas elle qui m’attendait, mais une camionnette remplie d’homme.Elle renifla encore et encore. Elle c’était fait avoir, encore une fois, parce que ses amis son tous toxique, et j’en est encore la putain de preuve ! Elle finira par se faire tuer à cause de ses fréquentations à la con ! Je me tourna vers les gardes proche de la grande porte.
-Ou est-ce que vous avez mis ma femme ? M’énervais-je
Un bruit sourd me venu au oreilles, je tourna ma tête et regarda un homme avancer vers moi.
-Ta femme ? Ma petite sœur tu veux dire ?
Isaya Alvaress.
Frère d’Elia ?
Impossible !
Je ne croirais pas ses paroles parce que je la connaissais elle. Jamais elle ne m’aurait caché quelque chose d’aussi énorme !-Tu ment ! hurlais-je. Elle ne peut pas faire partie de ta famille. Tu es une pourriture, elle est pure !
-Oh mon pauvre petit Aaron….Elia n'est pas celle que tu crois. Elle est mon sang, ma chaire, jamais elle ne pourra être plus proche de toi qu’elle ne l'ait de moi.
-Va te faire foutre ! je veux la voir ! Ou est-ce que tu l'as mise ! Tu la tuer ? Tu la violer ? Qu’est-ce que tu a fait d’elle putain de merde !
-Je pense que tu as besoin d’explication mon tout petit Aaron.
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Aaron Harris
RomanceElle était sa faiblesse. Etait-elle réelle ? Ou bien iréelle ? Une fille sortie de son idéal n'est pas réel. Elle lui corsepondait, lui ressemblait. Comment ne pas apprécier cette femme ? Oh ma douce... Ses beau yeux noisettes m'auront envouter co...