18. Vivre ou bien survivre ?

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-Vous êtes prête ? Demandais-je aux deux filles avec qui je partageais la chambre pour le week-end.

J’avais jugé bon, pour ma dernière soirée avec les filles, et avant de surement mourir, d’aller dîner avec elle dans un restaurant chic de Manhattan. Enola avait prévu de nous parler de son stage là-bas. 
L'après-midi avec Linoa a été intense. Elle a faillit fondre en larmes de nombreuse fois, surtout lorsque je lui et demander de tiré sur l’un de nos cobaĩle. Oui, mon oncle avait jugé bon d’avoir des gens près se faire tirer dessus pour les débutants. En vérité, tous nos cobaĩle n’étais qu’autres que des centaines de violeurs que nous avions coincer. Alors ils payent tous un par un. Linoa ne faisait que se confondre en excuse, malgré qu’elle savait ce qu’ils avaient fait. Je crois que le premier corps sur lequel elle a tiré a été le plus compliqué pour elle, puis quand elle a compris  qu’en vérité, il le méritait, sa c’est amélioré. 

Linoa sortie de la salle de bain dans une petite robe cotelé de couleur nude. Elle lui arrivait au mollet et elle c’était muni d’une ceinture noir pour affiner sa taille déjà fine. Elle avait enfiler des escarpins vernis noir. Son maquillage était de ce qu’il y a de plus simple. Un trait d’eye liner, du mascara et du crayon sous les yeux. Elle avait ajouté à ses lèvres un beau gloss nude. Ses cheveux avaient été plaqués et coiffés en un chignon.
Elle était à couper le souffle. 
Elle déposa ses mains sur ses hanches pour me demander mon avis. 

-Tu es absolument exquise.
-Merci mon prince.

Je lui fit un clin d’œil avant qu’Enola sorte de la salle de bain à son tour. Elle porté une robe juste au corps noir. Elle était de ce qui avait de plus simple. Mais sur chaque côté de ses côtes, des ouvertures laissent apercevoir sa peau.  Elle s'était coiffée en une queue de cheval et avait plaqué ses petits cheveux. Elle s'était légèrement maquillée. Elle aussi était incroyable. Elle attrapa ses air force blanche avant de les enfiler rapidement.

-Ont est prête. déclara alors Linoa. 

Je me leva du lit sur lequel j’étais avachie depuis de nombreuses minutes et partis vers la porte d'entrée. Les talons de Linoa martèlent le carrelage derrière moi.  J’attrapa les clés et quitta l’appartement avec les filles. Dans l’ascenseur, Linoa prit des photos dans le miroir avec Enola, puis elle me prit par le coup pour m’entraîner dans leurs photos. Je souria quelques secondes le temps qu’elle fasse ses photos, puis je me redressa. J’avais une faim de loup. Lorsque l’ascenseur s’ouvrit au garage, je sortis de l’ascenseur et avança jusqu’à ma voiture. Enola monta derrière mon siège tandis que Linoa prit place à côté de moi. A peine la voiture démarra que la musique de Linoa se lança. Je leva les yeux au ciel et elle augmenta le volume tout en me regardant. Elle venait de lancer The Weekend “I Was Never There”. Ses épaules commencèrent à bouger en rythme avec la musique. Je lança un coup d’œil à Enola dans le rétroviseur de la voiture, et elle mima Linoa. J’espère ne jamais avoir d’enfant si c’est pour qu’ils deviennent comme ces deux-là. 
Lorsque la musique débuta, Linoa commença à chanter. 

-What makes a grown man wanna cry ? 
-Cry, cry, cry, cry. Continua Enola. What makes him wanna take his life ? 
-Ah, Oh ! His Happiness is never real…

Les deux filles continuèrent de chanter et de danser dans ma voiture comme ci c’était un comportement normal a avoir. 
Mais lorsque le refrain apparue, les deux filles se mirent à crier dans la voiture

-WHEN IT’S TIME, WHEN IT’S TIME, WHEN IT’S TIME ! 

Et ainsi de suite. Je grimaça et ferma les yeux quelques secondes pour éviter qu’un mal de crâne ne vienne. J’appuya un peu plus sur l’accélérateur pour espérer arriver plus vite au restaurant. Linoa fit défiler plusieurs autres musiques ou les deux filles crièrent les paroles. J’avais très envie d’arracher le poste de la voiture pour le jeter dans la première poubelle que je voyais. Je ne rêvais que de cela. Mais je ne le ferais pas, parce que premièrement, je n’en ai pas les couilles. Qui abîmerait une aussi belle voiture sérieusement ? Et deuxièmement, je n’ai pas envie de m’attiré les foudre des deux gonzesse en chaleur. 

Aaron HarrisOù les histoires vivent. Découvrez maintenant