Les campagnes électorals se poursuivaient. Seulement quelque semaines séparaient les candidats de leur confrontation avec les urnes. Il fallait durant cette période mettre les boucher double afin de s'assurer la victoire. Aucun des candidats ne pouvait se permettre l'inaction, leur élection en dépendait.
Ainsi, les meeting fusaient de partout, aux quatres coins des 50 états. Chaqu'un battait sa campagne à coup de promesse et d'arguments frappant. D'aucun prônait à tous le fameux rêve américain, tandis que d'autres clamait haut et fort plus de liberté, d'égalité, de justice. L'effervescence politique se faisait ressentir chez trois des cinqs candidats retenu pour ces élection.
Dwight avait donc sur lui la pression de trois pareinage. Étant donné la somme d'argent colossal qu'il avait débourser la semaine précédente, ce n'est plus avec facilité qu'il allait pouvoir faire la promotion de ses chevaux de course. C'était véritablement un inversement de la situation. Lui qui se vantait avec arrogance de prospérer avec l'appui d'une banque de renom, il côtoyait à présent les mêmes difficultés.
Sortant à peine d'une réunion ayant eut lieu au quartier général de Valerius, il était plongé dans une vague de réflexion sur ce qui pourrait le sortir de ce faux pas. Il avait passé les trente dernière minute à supporter le sourire moqueur de Mackita qui le narguait tout au long de la rencontre.
K: J'ai accélérer les travaux de la maison de retraite et ceux de l'école. J'espère que tu finira comme prévu de monter le troisième bâtiment d'ici la fin de la semaine. Elle avait la parole.
K: ... À moins que tu n'es déjà tout claquer au Black Jack ? Souri-t-elle assise face lui, à l'autre bout du bureau.
Plusieurs séquence à double tranchant comme celle-ci, durant une trentaine de minutes. Cet indécrochable sourire ironique posé sur ses lèvres, Dwight avait l'intention de l'effacer. Et cette fois définitivement. Il devait trouver le moyen de se relever, bien que sans le savoir, il s'était lui même compliqué la tâche.
La semaine passée avait été une véritable secousse dont les dégâts avaient affaiblit ses rapport avec les actionnaires de la Hight Bucks. Seule la rousse et quelques uns d'eux soutenait encore ses investissement dans la banque. Le tiers des actionnaires l'avaient au rouge dans le collimateur.
Assi dans sa voiture en arrêt, le maghrébin reçu un appel de la rousse.
A: Allo. Dwight ? Fit elle désengorger, ce qui interpella son interlocuteur.
D: Un problème ?
A: Tu as entendu les info?
D: Qu'est-ce qu'il y a ?
A: Black , Hoock et Ackerman sont soupçonné d'être a impliqués dans des affaires louches. Je t'ai envoyer le lien de l'article. Lacha-t-elle sous pression, faisant soupirer Dwight.
Après l'avoir mis sur haut parleur, il allait consulter le lien en question. Un article de la place émettait des hypothèses très compromettantes à l'encontre de Valerius, Frédérick et Tyron ainsi que deux autres hommes politiques hors courses. Si cela n'avait été que de simple rumeurs infondé, il n'y aurait pas à s'en faire. Mais certains point palpable ressortait, certes sans approfondissement, mais cela suffisait à enttacher la réputation de ses précieux chevaux de course. Déjà un million de personne avaient consulter l' article.
A: pendant que Tyron et Frédérick baignent dans les détournements de fond, Valerius lui est carrément accusé de traffic d'être humain. Panique Alexa.
A: Les actionnaires sont furieux, ils te tiennent responsable des pertes que tout ça va entrainer.
D: Contacte la maison et exige de retirer l'article sous peine de poursuite judiciaire pour diffamation. Fit-il en démarrant la voiture. Je suis en route pour le QG d'Ackerman.
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ACCOMPLIE
RomanceO: Ta mère est si protectrice. K: Ma mère veut surtout que tu me sautes Oyane. Lui dit-elle avant de lui prendre son verre de scotch des mains tandis que lui ne savais plus où se mettre. O: Quoi ? fit-il, feignant l'incrédulité. Dommage pour lui...