On va continuer

4 0 0
                                    

Le temps s'égrainait et les élections présidentielles avançaient. Douze candidats, aussi qualifiés les uns que les autres, avaient initialement prétendus au haut siège de la Maison Blanche. Tous se sont battu pour avoir un maximum d'adhérents aux visions qu'ils proposait aux américains. Car eux seuls, pouvaient  les faire perdurer dans cette course.

Certains ont su brillé par leurs actes, étaler leur richesses par des voies corruptible, faire virevolter assez de billet vert devant les yeux de la population pour endormir momentanément leur vigilance. Tandis que d'autres ont misé sur l'art de la voix, empoisonné le peuple par des tasses successive de belles paroles et de douces promesses en ayant l'éloquence pour seule arme.

Cependant le temps avait servit d'entonnoir à tout ce petit beau monde de charlatans.

A présent, il ne restait plus que cinq personnes sur la sélecte. Cinq personnes dont deux sous la mains de Hight Bucks Bank. Un chiffres dont le conseil n'était obsolument pas satisfait. Il bouillonait d'avoir eut à dépenser des capitaux colossaux sur les campagnes de chaqu'un de leur cheval de trois en vain. Et devant eux, Dwight affichait un air sur de lui qui au lieu de les rassurer avait l'effet contraire.

Leurs efforts financiers, il les voyaient voler en fumer au fur et à mesure que leur candidats s'affichait hors course. Et bien que ce soit à la demande de la Directrice Générale elle même, c'était quelque chose qu'ils n'allaient pas laisser passer. La renommée, les fonds ainsi que la stabilité de la banque étaient implicitement en train de se jouer.

M: Quel intérêt avons-nous à poursuivre ces élections ? Même si nous gagnons, nous aurons quand même perdu une somme d'argent considérable.

D: Nous aurons le président dans nos mains. La plus haute personnalité de la maison blanche,  du pays, dans l'entièreté des cinquante États, aura une dette envers nous. Répondit le maghrébin, d'une étrange accalmie face à la déclaration de Mathilda Genesis. Une des huit quarantenaires siégeant au conseil de la HB. Tous étaient assis le long de cette table, face à lui, devant des chiffres qui leur déplaisaient fortement.

M:les urnes approchent et il ne nous reste plus que deux candidats sur cinq.

D: Ils sont tous les deux en tête.

R: Et encore heureux, monsieur Sharif. Devrait-on vous remercier pour ça ? Lui répondit Robert Jefferson. Le personnage le plus cynique d'entre eux.

D: Non. Votre pognon suffira largement.

R: Avez-vous la moindre idée des sommes colossales que nous avons déboursés pour donner vie aux mascarades de tous les fanfarons que vous avez fait en sorte de financer ?! Rétorqua-t-il.

F: Monsieur Jefferson, calmez-vous. Le plus sage Flanders prit la parole, alors que Robert fulminait de colère contre l'arrogance du jeune homme. Il soupirai de frustration en s'enfonçant dans son siège, sans pour autant relâcher du regard la personne à l'origine de ce qu'il considérait fermement comme le début d'une crise pour leur institution.

F: Nous ne financerons plus de campagne. Il s'exprima en direction de Dwight.

F: Assez de fonds ont été débloqué. La plus part pour des résultats trop peu concluant. C'est finit. On arrête là. Son ton se voulait catégorique.

Avec ses lunettes sur le nez, cette conversation continuait de s'étendre alors qu'ils discutaient depuis déjà quarante cinq bonnes minutes. Ils avaient fait tourné Dwight autour du pot de longue minutes durant, uniquement pour lui donner l'impression que cette conclusion avait été prise à cette table.

Cependant elle avait déjà été tranché dans son dos. Il l'avait compris. Il l'avait vu dans leur attitude. Dans le regard suffisant qu'ils lui lançaient tous. Comme si ils étaient tout puissant, et lui, une vulgaire erreur qui leur suffisait de corriger. La jeune Moneroe n'était pas de cette discussion, chose qui surpris Dwight lorsqu'il avait pénétré la salle.

ACCOMPLIEOù les histoires vivent. Découvrez maintenant