Renversement de situation

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Dwight était un homme d'affaire plus expérimenté que l'ébène.  En dix ans d'exercice dans le domaine, il était parvenue à se procurer plusieurs dizaines d'action partout dans le monde qui même étant des moindres, suffisait à en faire un adversaire redoutable. Du haut de ses trente et un ans, il jouissait d'une dizaine de sources de revenus tandis que la jeune subsaharienne peinait encore à en sécurisé cinq sur un long terme.

Ainsi il était clair que son coup d'éclat lors de la vente aux enchères ne ferait pas long feu. Elle ne pouvait pas se reposer sur ses lauriers. Alors elle réfléchissait à un moyen de prendre les devant pendant qu'il était encore handicapés. Une idée, quelques choses qui pourraient l'aider.

Mais rien. Rien ne lui venait à l'esprit.  Elle dont les idées rentables étaient le point fort, son esprit tournait dans le vide. Et cela l'agaçait fortement.

T: C'est la troisième fois que tu soupire en moins de cinq minutes. Mes histoires de champooing t'ennuies à ce point ? Tsoungui la sortie de sa réflexion à travers le face time affichée sur l'appareil posé sur ses cuisses. Je te signale qu'on a pas tous eut la chance de naître avec l'avantage capillaire long et soyeux de maman. J'ai hérité des cheveux ingrats de ton père.

K: Je suis désolé Tsi. C'est pas toi je t'assure. Elle cessait les recherches qu'elle faisait sur son PC.

T: C'est ton charmant leucoderme qui occupe tant tes pensées? Lui lançait-elle d'un air taquin.

K: Qui ça, Smith ? Non.

T: Mais biensur... Fit-elle en brossant ses cheveux avec un sourire en coin.

K: Crois moi. La personne qui me perturbe de cette manière n'a strictement rien de caucasien. Réagit-elle face aux ton espiègle de sa sœur.

K: C'est un putain d'egyptien. Ajouta-t-elle avec agacement en essayant de replonger son attention dans ses recherches.

T: Un égyptien ? Original... elle applicait un masque verdâtre sur ses cheveux. Et qu'est ce qu'il a fait pour te mettre dans un état pareil ? Tu m'as l'air bien frustré,  il ne doit pas être un très bon cou.

K: Tu veux bien arrêter deux minutes de ne penser qu'à ça ? Elle roula des yeux.

T: Je suis sexologue je te rappelle. Se moqua-t-elle. Enfin je le serai très prochainement. Allez vas-y dis moi ce qui te travail mon enfant. Je suis avant tout psy tu sais.

Mackita considéra sa sœur qui s'efforçait d'appliquer avec soin son masque pour les cheveux. Effectivement, Yessa était né avec beaucoup de cheveux. Héritage de sa mère qui n'a cessé de se rallonger au fil du temps, sous l'appuie de l'attention que Mackita portait sa crinière. Ses boucles 4A brossé à la chaleur brillait jusqu'au milieu de son dos, tandis que les 4B de sa sœur dépassaient à peine ses épaules.

K: Arrête d'acheter de nouveaux produits industriels toutes les semaines,  tu vas les abîmés.

T: Ne change pas de sujet. Lui cracha-t-elle, provoquant un soupire moqueur de son aîné.

K: C'est juste quelqu'un qui me met des bâtons dans les roues. Je dois le devancer mais la difficulté est que... elle cherchait ses mots. Disons qu'il est plus expérimenté que moi.

T: Plus expérimenté que toi, la plus grande capitaliste que je connaisse ! Fit-elle faussement abasourdi.

K: Tu en connais beaucoup toi de capitaliste ?

T: J'avoue que père et toi êtes les seuls. Elle repris son traitement capillaire tandis que Kita replongeait dans ses réflexions.

T: Cesse de ruminer tu veux, tu auras des cheveux blancs trop tôt ! Vois plutôt le bon côté des choses. Elle reconsidéra sa sœur.

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