K: C'est fou ce qu'un si petit article peut créer. Sourit-elle alors que l'éclairage faible du parking soulignait les pupilles dorées de Mackita.
T: Qui êtes vous ?
K: Si nous en discutions autour d'un dîner ?
T: Je n'ai pas de temps à perdre av-
K:-Très bien alors laissez votre carrière politique mourir. Elle n'aura pas fait long feu. Elle tournait les talons sans insisté, suscitant l'espoir du dernier recours chez le procureur.
T: Attendez. Elle se stoppa, le laissant observer son dos.
Vous compter m'aider ?Un rictus satisfait prit forme aux coin de ses lèvres. Mackita se retourna avec son parapluie en main et fit de nouveau face à l'individu à qui elle s'adressait.
K: ça ne dépend que de vous...
L'instant qui suivait les trouvèrent dans un restaurant distingué de la ville. C'est dans le luxe que Tyson reçu l'inconnu qui se proposait pour l'aider. Le Palacio. Plusieurs spécialité venant tout horizon confondu. Mais au nom de l'espace, il était facile de comprendre que le restaurant appartenait à un italien. Ayant commandez, les deux personnages se retrouvèrent face à face autour d'une table où ne paraissait pour l'instant que du vin. Le serveur ayant rempli les verres des deux partit, il les avait laissé seul à seul dans l'attente de leur repas.
T: Vous comptez me dire qui vous êtes ou vous cherchiez simplement à vous faire offrir un repas ?
K: Vous feriez mieux de vous détendre. Elle saisit son verre. S'il y'a une personne dans le besoin assis à cette table, nous savons tous les deux que ce n'est pas moi. Elle lui lança un regard neutre en buvant une gorgée du breuvage rougeâtre.
K: J'ai lu cet article comme le petit million d' américain qui y a eut accès, jusqu'à ce que ce chef d'œuvre soit supprimé cet après-midi. Elle posa le contenant et entremêla ses doigts manicurés, en posant son regard concis sur l'homme d'état.
T: Rien de ce qui est dit n'est vrai. Se défendit-il.
K: Il est vrai que ces extraits ne contiennent aucune preuve concrète, mais nous savons tous les deux que ces petits détails croustillant sont largement suffisant pour entacher votre si brillante carrière politique en devenir. La preuve, il n'a rien fallut de plus pour que votre bien aimé Hight Bucks vous tourne le dos.
T: Je reste encore financé par la HB.
K: Ce n'est qu'une question de temps avant qu'il ne vous dégage si vous ne corrigez pas le tir. Je me trompe ? L'homme d'état avalait difficilement sa salive sous la pression des événements. Et pour se détendre, il décidait enfin de prendre une gorgé de vin.
Mais la pression persistait tandis que des sueur froide le prenait presque à l'idée de perdre le soutient de HB. Alors, c'est d'une traite qu'il finit son verre.
K: Doucement. S'amusa Mackita en le voyant se resservir. Ne vous inquiétez pas, c'est la que j'interviens. Il posa avec intérêt son regard sur la jeune subsaharienne aux allures confiantes.
K: Je vais vous sortir de ce mauvais pas. Le serveur venait avec les plat de chacun, les déposa et retournais après avoir souhaiter bon appétit.
K: J'ai une faim de loup. Pas vous ? Elle lui sourit tandis que l'homme regardait son assiette sans réel appétit.
T: Et comment comptez-vous m'aider ? Fit il alors que Mackita avalait ses premières bouché de pirogui.
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ACCOMPLIE
RomanceO: Ta mère est si protectrice. K: Ma mère veut surtout que tu me sautes Oyane. Lui dit-elle avant de lui prendre son verre de scotch des mains tandis que lui ne savais plus où se mettre. O: Quoi ? fit-il, feignant l'incrédulité. Dommage pour lui...