Ma mère ne fait que de s'excuser depuis déjà plus d'une heure.
Je dois à tout prix la faire partir le plus vite possible, je n'est pas oublier Layla est toujours à l'étage au dessus.
Elle doit avoir froid vu comment j'ai détruit le lit conjugale.« Maman je suis sincèrement désolé de te demander cela mais pourrais tu t'en aller ?
Layla est a l'étage toujours dans notre lit et elle doit se sentir seule de se réveiller et de voir que je ne suis pas à ses côtés.
Tu comprends ? » ajoutais-je avec impatience.« Mon fils, tu n'a pas besoins de me le demander.
Je te comprends. Je m'en vais de ce pas. »Elle prit ses affaires et s'avança à grand pas vers la porte.
Je lui lance une dernière parole; un au revoir puis elle claque la porte.Me voilà soulagé à présent, je dois désormais monter la prévenir.
J'arrive enfin devant la chambre et empoigne la poignée.
Mais me stoppe.
Ah oui c'est vrai elle est toute nue, et je ne suis plus seul maintenant je devrais toquer.Je retire ma main de la poignée et toque.
Pas de réponse ?
Je toque une seconde fois.
Toujours aucune réponse.
Est ce qu'elle va bien ?
Dois-je rentrer ?
Et si elle s'est juste endormie ?J'allais continuer à me poser des questions quand j'entendis une petite voix me sortir de mes pensée.
« Oh Monsieur Micochevick es ce vous ? »
« Oui c'est bien moi Layla. C'est pour vous prévenir que ma mère vient de partir.
Vous pouvez rester dans le lit ou en sortir à vous de voir. »Sur ces mots je descend et me re concentre sur mon travail.
Mon travail consiste à gérer plusieurs entreprises mais également des hôtels.
En ce moment un nouvel hôtel est censé ouvrir, donc je dois redoublé d'effort et de travail.En plein travail j'entendis des pas dans les escaliers.
Je me retourne et vois arriver Layla, elle avait enlever sa robe et ses talons et avait voté pour une tenue beaucoup plus confortable : un jogging comme bas et en haut : un pull.Soudain je me rappel du fait qu'on devait discuter tout les deux.
Je décide donc de l'interpeller.« Layla! Pouvons-nous avoir une discussion tous les deux ? »
« Bien sûr Monsieur Micochevick, je suis tout ouï. »
Elle s'avança et s'installa sur le fauteuil en cuir blanc en face de moi.
« Donc Layla comme vous le savez nous sommes dans un mariage arranger.
Nous avons donc une relation de contrat »Je m'arrête pour savoir si elle me suit, et remarquant ma pause elle me hocha la tête, signe que je pouvais continuer.
« Donc je pense que puisque nous sommes dans ce genre de relation. Nous devrions rédiger un contrat entre nous pour mieux mettre les choses aux clairs et ainsi savoir ce que nous devons faire ensemble et ce que nous pouvons ne pas faire ».
Elle me regarda d'un air surpris.
Je ne comprends pas mon idée est plutôt bonne ?Elle se secoua sa tête et referma sa bouche puis décide enfin de me répondre.
« Cela me semble une bonne idée Monsieur Micochevick, allons-y rédigeons ce contrat.»
*
A vrai dire je suis assez choquée du fait qu'il décide de rédiger un contrat.
C'est tellement clicher.
Quand il m'a annoncé son idée plusieurs phrases sont apparues dans ma tête. Je ne savais pas quoi répondre d'où le fait qu'il attende ma réponse.
Car moi-même je ne l'avais pas.Cela fait plusieurs minute qu'il parle et qui liste plusieurs choses à faire et à ne pas faire, du style :
Ne pas s'embrasser en aucun cas.
Même si on ne nous le demande, c'est moi qui ai rédiger cette règle car je ne me vois vraiment pas embrasser quelqu'un même si c'est pour les apparences.
Par contre nous pouvons nous tenir la main ou bien nous câliner une règle instaurée par lui.Sinon pour le lit, il dormira sur le canapé et moi et bien sur le lit.
Une règle qui m'a bien plu mais j'ai du mimer mon étonnement. J'ai balancé une phrase du style :
« Oh non Monsieur Micochevick je ne peux pas vous laissez faire ça ! Voyons ! »
Mais en réalité j'étais bien contente.Après ça nous avons érigé plusieurs autres règle. Les unes plus inneteressant que les autres, à mon goût.
Bon il est temps de mettre un arrêt à son discours.
Il parle beaucoup trop enfaite, ça je ne le savais pas, je n'aime pas les gens qui parlent beaucoup trop, je crois que lui et moi c'est mal parti pour que nous soyons rien qu'amis.« Bon je pense que nous avons tout dis.» dis-je en me levant de mon siège et me dirige vers la porte car aujourd'hui j'ai prévu de sortir.
Quand j'entends une voix grave, je me retourne et vois Ivan me regardais avec un air supérieur.
Pour qui il se prend au juste ?« Tu vas où? » qu'il me dis avec cet air condescendant.
Ah maintenant monsieur emploie le tutoiement ?« Je ne me souviens pas que dans le contrat il y avait une interdiction de sortir, Monsieur Micochevick. »
Dis-je d'un air dur.Il laissa écouler quelques secondes avant de me répondre.
« Je vois. »
Et sur ces belles paroles s'en alla à lourd pas et monta les escaliers.
Lui et moi amis ? Quelle idée avais-je eu ?
Bref je ne vais pas perdre mon temps, et pris les clés de voiture et me dirigea vers mon lieu de rendez-vous.
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Micochevick
Romance« Les barreaux ne te retiennent plus désormais ma milaïa.» Dans une société où le mariage est un devoir primordiale, selon de nombreuses familles très conservatrices. Que faire quand deux personnes opposées se retrouvent à devoir se marier de force...