Layla

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"Je souhaite qu'on parle tous les deux." me dis Ivan avec un ton d'exaspération.

"Oui qu'il y a t-il Monsieur Micochevick?" dis-je avec un sourire sournois.

J'espère qu'il est réellement énerver contre moi, je sens que je vais passé un sale quart d'heure.

Donc plus besoin de m'excuser et de ressentir de la culpabilité du a mon énervement qui était plus que ridicule.

"La prochaine fois que tu auras besoin de décompresser, invite moi" me dit-il avec un sourire et un clin d'œil, puis il s'allonge sur le canape et ferme les yeux. Signe que la conversation s'était terminé.

Donc j'ai fais tous ce boucan pour rien? Je me sens deux fois plus mal a l'idée que je l'est déranger dans son sommeil.

Je ne suis pas dupe, je sais qu'il dormait et que c'est moi qu'il l'est réveiller.

J'ai encore fais une gourde.

Et me retrouve encore une nouvelle fois seule.

Pourquoi je me sens triste? Je me fiche pas mal de lui mais j'avoue que avoir été méchante avec lui délibérément me rends triste.

J'ai vraiment agis comme une gamine, ou est passé la femme mature que je suis censée être?

Depuis ce mariage j'ai complètement oublié de me comporter comme une femme responsable.

Je ne fais que de me plaindre et passer mes nerfs sur mon mari.

Je dois cesser ce comportement et essayer de renouer les liens avec lui, après tout ce n'est pas mon ennemi mais mon plus grand allier si je veux parvenir a m'enfuir de ce foutoir.

Je ne dis pas qu'il faut que je sois amis avec lui mais qu'au moins que nous nous entendions bien.

"Vous allez continuez a me regarder encore pendant un long moment ou je peux enfin dormir en paix sans sentir de regard sur moi?" me dit-il avec toujours les yeux fermés.

Je sens mon cœur palpiter, je ne m'étais pas rendu compte que je ne faisais que le fixer depuis tout ce temps.

"Oh je ne vous regardais pas Monsieur Micochevick, puis vous êtes fatigues autant vous endormir maintenant." ajoutais- je avec un ton d'empressement et me ru jusqu'au lit.

Je m'allonge et m'endors toujours avec le cœur palpitant.


4 heures plus tard après m'être endormis mon réveil décide de sonner les trompettes.

Il était 6h et des patates et je devais me lever pour aller a la fac.

Et oui même si je suis maintenant une femme marier, j'ai quand même décider de poursuivre mes études et cela même 1 jour après mon mariage et ma nuit de noce.

Ma famille n'était pas très d'accord pour que je continue mes études car j'avais déjà un mai riche comme ils aiment le dire.

Puis aussi parce que le lendemain d'un mariage il fait profiter avec son époux.

Prendre soin de lui, faire a manger et surtout passer du temps avec lui, car après quand nous aurons des enfants nous aurons plus de temps pour nous deux.

C'était les dires de ma très cher mère : Louisa Colins.

SI je n'est pas très souvent parler d'elle mais plus de mon père c'est parce que nous nous entendons pas très bien.

Elle aime dire que notre relation mère et fille est "électrique" aux autres mais je ne perçois pas comme ça notre lien.

Malgré ce qu'elle m'a fait elle reste ma mère et je l'aime plus que tout.


30 minutes plus tard; je venais enfin de sortir de la douche et me dépêche de m'habiller dans le dressing.

J'opte pour un jean taille droite et un pull large avec des basket.

Je descend les escaliers cette fois ci très doucement, prends mes clés de voiture et me dirige direction ma fac de journalisme.

Oui je veux devenir journaliste, j'aime beaucoup ce métier et je ferais tout pour le devenir.

Mais avant tout j'ai un master à passer et ça risque d'être compliquer néanmoins je vais réussir.

Je ne me vois pas échouer quoique ce soit pour tout dire.

J'ai toujours réussi.

C'est sur cette pensée plus que motivante que je me gare dans la parking réservés aux étudiants et pénètre dans l'université.

Je parcours les couloirs, cahiers à la main et entre dans l'amphithéâtre.

Arrivée dedans je repère mon siège préférer, celui a coter de la fenêtre pour les étés trop chaud et le radiateur pour les hivers bien froid.

Les personnes qui ne s'assois pas a ce genre de place n'ont strictement rien compris.


"Et voila qui va là : Lalyla Colins ou devrais- je dire Layla Micochevick" avant même que je me retourne je savais déjà de qui il s'agissait.

Mia Kharina : l'une de mes amies.

Je suis pas très sociable du moins j'ai un cercle très restreint.

Je suis le genre de filles qui a plus d'amies virtuels que réels.

Et Mia elle c'est tout l'inverse, mais à la fac elle n'à que moi comme amis.

Je me retourne et soupire rien qu'a l'idée de devoir tout lui expliquer et je n'en est pas très envie.

"Bonjour Mia comment va t-u ?" dis-je avec un faible sourire.

"Il faut a tout pris que tu me raconte tout en détail! Absolument tout je veux tout savoir ! "

"Je suis désolée Mia mais je veux pas trop en parler...Tu comprends?"

Un voile de déception passe très rapidement dans ses yeux et je me sent triste de l'avoir peiné.

"Ah je vois, ne te sens pas obliger de me le dire." me dit-elle en prenant place a coter de moi.

Toute son excitation avait à présent disparus.

Dans un dernier soupire je la regarde avant de detournée le regard et de me re concentrer sur mon cours.

1H30 : était la durée de mon dernier cours de la journée.

Je devais donc rentre à nouveau au manoir des Micochevick.

Je sors de la fac reprend ma voiture et me dirige vers mon domicile.


20 minutes plus tard, j'étais arrivée et me garer dans l'hangar.

Le trajet a été rapide, il c'est passé également avec de la musique et des chants.

On ma toujours dis que j'avais toute une panoplie de genre et de style de musiques très différentes.

Et j'en suis très fière.

C'est avec un sourire de fierté que je sors de ma voiture et traverse l'allée lugubre, maintenant que j'y pense elle est rouge et il n'a rien d'autre a coter de l'allée.

Enfin si une plante mais elle a desséchée.

La seule et unique plante qui rendait l'allée un peu plus chaleureuse.

Sur cette pensée triste que je rentre enfin a la maison.

MicochevickOù les histoires vivent. Découvrez maintenant