Chapitre 12 : Aaron

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Je me réveille, la queue en feu. Je suis tout le temps mis à l'épreuve parce que voilà deux semaines se sont passer et que nous nous voyons presque tous les jours avec Stella, quand son emploi du temps le permet bien sûr mais je veille aussi à ne pas qu'on se retrouve que tous les deux sous peine de craquer.

Cole, me donne beaucoup de fil à retordre alors je lui laisse un seul plaisir, celui d'embrasser l'endroit où Stella portera notre marque. Pour notre plus grand plaisir, elle est très réceptive à cette marque d'affection et me laisse faire sans poser de question sur le pourquoi de cet endroit.

Pendant ses deux semaines, cela a était mieux que bien, nous nous entendons très bien, nous avons plein de points communs, on s'embrasse bien sûr sinon je me tape la tête contre le mur et risque de la kidnappé dans les bois mais je ne veux pas aller plus loin et prendre le risque qu'elle sache pour mon côté loup. J'ai peur de sa réaction, peur qu'elle parte en courant.

Allant prendre une douche bien froide pour calmer mes ardeurs, je vais aller boire un café pour ensuite aller m'entraîner avec les membres de ma meute afin de bien m'épuiser parce que, ce soir Stella m'a invité à manger chez elle, sachant qu'elle à son week-end par la suite, je redoute un peux la soirée qui m'attends, lui résister devient extrêmement compliquer parce que putain mon âme-sœur est un avion de chasse. Quand j'arrive dans la cuisine mon Bêta et meilleure amie Kyle grimace en me voyant.

Bah dis donc qu'elle accueille.

- Pardon Alpha, mais putain tu pus le sexe.

- Merci de m'encourager, je grogne.

- Dis-lui Aaron, je suis sûr qu'elle réagira très bien.

Je secoue la tête après avoir pris une tasse pour me servir puis bus le café cul sec. Kyle écarquille les yeux.

- C'était brulant, je viens de le faire.

- ça me calme.

Sortant de la maison, je rejoins James et Gil à la salle mais à peine j'arrive qu'ils reniflent l'air en grimaçant à leurs tour. Ben voyons, vous voulez pas que j'achète une bougie parfumer et que je me la porte en collier non plus ?

- Aucun commentaire, Kyle là déjà fait, je grogne.

- Quand nous allons voir la Luna ? demande Gil.

- Pas pour le moment, je ne suis pas prêt.

- Pense que nous avons besoin de notre Luna, Aaron, ajoute James.

Je sais qu'une meute est dirigé par un Alpha et une Luna, elle apporte un niveau de vie agréable, sans pression, elle calme l'Alpha à tout moment et aides les plus faibles, les plus fragiles, leurs parlent plus facilement qu'à un Alpha. La Luna règle les conflits sociaux, veille aux bien-être de la meute et à sa stabilité aussi. En bref, elle est essentielle pour une meute donc je comprends ce que me dise mes loups mais je préfère retarder l'échéance que de la perdre.

En bref, je dois me concentrer et calmer mes ardeurs parce que ce soir sera un gros défi pour moi.

Du coté de Stella.

Je stresse, je stresse et je stresse. Vous comprenez ? Je stresse.

Ce soir, Aaron vient manger chez moi et je crois que tellement j'en parle que tout le personnel de l'hôpital et que tous mes patients du jours le savent. Les filles m'ont conseillé de faire un bon repas sans trop exagérer donc je compte faire un magret de canard avec un gratin de pomme de terre.

Toute la journée, j'ai regardé l'horloge ou ma montre et prie pour ne pas partir en retard et du coup me mettre à retarder tous mon programme. A 20h, je me change en vitesse, file à toute allure chez moi et jettent mes affaires dans l'entré pour sortir mon magret et le préparer pour aller au four ainsi que mes patates déjà pelé et couper dans la béchamel, Aaron arrive à 21h donc je dois me dépêcher. Le temps que mon four cuit mon canard et mes patates, je file sous la douche, décidant de mieux m'habiller, j'opte pour une chemise blanche avec un petit short en leggings avec des collant noir et un pull bleu. Un coup de brosse, un trait de liner, du mascara et du parfum et hop je retourne en cuisine afin de vérifier que rien ne crame. Je profite des quelques minutes qu'il me reste avant que ce soit prêt pour faire un peu de ménage et ranger ce qui traîne. Mon minuteur sonne donc je vais vers le four, met les gants pour pas me brûler puis pose le plat sur la gazinière, je prends mon gros couteau le plante dans le canard et le met sur la planche en bois pour le découper en tranche mais avant que je le fasse, la sonnette retentis.

Il est là.

Je vais vite vérifier devant mon miroir à l'entré que rien n'a couler et tout est bien puis ouvre la porte, je dois l'admettre un peut nerveuse. C'est la première fois qu'on se retrouve seul sans personne autour de nous. Je ne cache pas que Aaron me fait très envie et je lui plais également mais il ne veut pas aller trop vite je pense.

Une boîte de chocolat dans la main, il me sourit malicieusement en s'approchant de moi. Qu'il est beau putain.

- Salut, murmure-t-il.

Je me décale pour le laisser passer et ses lèvres trouva les miennes, il me donne la boîte de chocolat que je pose sur le buffet, il mit sa veste prêt de la mienne se qui me laisse le loisir de poser mes yeux sur les muscles de ses bras qui gonfle bien sa chemise. Nous allons dans la cuisine quand ses yeux allèrent sur le canard toujours embrocher du couteau, il me coule un regard amusé.

- Tu veux que je m'en occupe ? il me propose.

- S'il te plaît oui.

Il me fait un clin d'œil avant d'aller empoigner le couteau, je décide de m'occuper de faire la salade pour aller avec je rinça la salade en la mettant dans un saladier avec des petits croutons et la sauce mais quand je coupai les tomates, une présence se fait dans mon dos et je souris tout de suite. Sa main décale mes cheveux puis embrasse mon cou. J'ai bien remarqué qu'il aimer bien faire ça et j'aime bien aussi donc je penche même la tête pour qu'il soit plus accessible.

- Cela ne t'ennuie pas si nous mangeons plus tard ?

- Pas du tout.

Me tournant vers lui, j'entoure son cou de mes bras et sur la pointe des pieds, murmure à son oreille.

- J'ai plus envie d'autre chose.

Posant ses lèvres sur les miennes en grognant, il nous décale du plan de travaille pour empoigner mes fesses et me soulève dans ses bras.

- Ta chambre ?

- Au bout du couloir.

Sans attendre, il part vers ma chambre et je frissonne d'anticipation.

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Chapitre 12 terminer.

Vous avez aimez ?

Bisous.

Marion.

La chasse (Réécriture)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant