« -Cette enfant est un phénomène... étrange. Vous dites qu'il a résisté au froid ? Demanda le vieil homme.
-C'est Emrys qu'il l'a trouvé, je sais pas tout les détails mais j'ai vu la tenue dans laquelle il est arrivé. Et... Un enfant n'aurait jamais pu survivre plus de quelques secondes.
-Avez-vous pensé au danger qu'il peut être ?
- Je le sais Docteur....
-Et s'il était un Abandonné ? Vous mettez tout le village en danger Calista. En avez-vous parlé avec le chef ou encore avec un soldat ?
-Je... Je n'ai pas eu le temps. Je sais que c'est une grave erreur mais c'est un enfant puis Emrys a le sentiment qu'il...
-Qu'il n'est pas dangereux ? La coupa t-il durement. Emrys n'est qu'un enfant, il n'est sait différencier le bien du mal ! »Caché derrière le mur tous près de la porte entre-ouverte, les deux enfants écoutait attentivement la discussion qui se déroulait derrière eux. Les poings serrait, la mâchoire crispée le blanc se retenait de tout ces force d'hurler sur cette homme qui avait osculté le brun. Celui-ci recroquevillé sur lui-même se sentait mal, Emrys était en colère, l'homme aussi et il déversait se sentiment sur la mère du blanc qui récolte les erreurs de son fils. Serge regrettait, si Emrys ne l'avait pas trouvé ni lui ni sa mère ne serait dans une telle situation. Il comprenait parfaitement la terreur et la rage de l'homme, il était un inconnu pour eux, enfant ou pas un inconnu résistant au froid est un danger dans ce monde qui meurt par cette température.
Emrys agaçait d'entendre l'homme crachait sur lui et sa maternelle se leva, tous comme Serge qui l'observa, se fut sûrement grâce à ce regard que le blanc s'agenouilla pour prendre brusquement la divinité dans ces bras. Serge fut surpris, une chaleur en lui se libérant sans qu'il ne puisse la contrôler, mais aussi un sentiment de bien être. Il se sentait égoïste de ressentir ceci, c'était lui qui mettait le bazar dans des pauvres vies et il était celui qui était consolé.
« -Si... Je crée trop de problèmes je peux retourner dans la forêt, murmura le zodiaque.
-Non ! S'emballa Emrys. Il est hors de question que tu retournes dehors.
-Mais l'homme pense que je suis un danger... Je ne veux pas être un danger...
-Ne l'écoute pas ! La seule chose qu'il sait faire c'est blesser, comme beaucoup de personnes dans notre monde. Ils prennent un plaisir à juger sans connaître. Ils sont tous ainsi, tout ce qui n'est pas normal, qui ne figure pas dans leurs idéologies est un danger.
Si ça peut te rassurer tu es autant un danger que moi Serge.
-Tu n'es pas normal ? S'étonna Le Brun.
-Pour tous ces adultes non... Mais qu'importe je cherche pas à l'être. »Les derniers mots dit réchauffèrent l'âme du brun, le faisant légèrement sourire. Derrière son écharpe, Serge pouvait deviné les lèvres du blanc s'étirait à son tour, peut-être était il gênait de se montrait ainsi car il se cacha rapidement les yeux en plaça en main face à son regard. Au même moment, la discussion derrière la porte se finissait et le docteur sortit en trombe. Il vit rapidement les deux enfants, leur lançant un simple regard. Derrière lui, Calista pointa le bout de son nez, s'adossant contre la porte elle regarda les enfants qui s'étaient levés. Directement elle s'avança vers son fils, posant une main sur sa joue puis son autre sur le visage de Serge. Elle leur souria puis doucement se dirigea vers l'escalier, elle s'apprêta à descendre l'escalier mais posa son regard sur les deux garçons.
« - Restez tous les deux à la maison pour le moment. Je dois aller parler au chef.
-Mais maman... Commença son fils.
-Emrys s'il te plaît reste avec Serge ici. Tout ira bien. »Elle avait soufflé ces derniers mots si bas que Serge regrettait d'être un tel problème pour cette petite famille. Au fond de lui, Serge savait que s'était sa faute, si il n'était pas descendu, si il n'avait pas été caché dans cette arbre, si il avait tout simplement pas suivi le garçon, ils n'auraient eut aucun problème mais néanmoins quelque chose lui disait qu'il avait tord de pensé ainsi.
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SERGE
FantasiLes 12 zodiaques ont données aux hommes un cadeaux. Celui d'être différent d'autrui, mais quand l'avarice rattrape les pauvres âmes, les créateurs n'ont que faire de leurs supplication. Mais une jeune âme oublié dans le groupe , désapprouve ce compo...