Cœur meurtri dans cette Dunia éphémère [ EN CORRECTION ]

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As'Selem Alaykoum wa rahmatu الله ta'ala wa barakatu'
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La personne qui se trouver dans la voiture était Zahyn.

Zahyn : il s'agirait de se retourner quand on t'appelle !

Je ne lui répond pas.
Il ne mérite pas.
Je sens Chems tirer le bout de ma veste, on aurait dit qu'il était effrayé.
Je comprend, rien que de le regarder dans les yeux on en a des frissons.

Chems : ~ chuchote ~ Nehla, c'est qui le grand garçon ?

Moi : le copain à Bilel.

Zahyn : tu fais quoi ici ?!

Depuis quand ce que je fais lui intéresse.

Moi : en quoi ça te regarde ?!

Il contracte ça mâchoire puis me fusille du regard.

Moi : je l'ai ramené manger une glace.

Zahyn : monte.

Non.

Jamais de la vie.

Moi : Non.

Zahyn : je répéterai pas deux fois, monte !

Moi : c'est juste à côté, j'y vais à pied force pas !

Je vois pas pourquoi il veut absolument que je monte dans sa voiture, ça devrait lui être égal.

Il ne me répond pas, à la place, il ouvre la boîte à gants et sors une pochette en tissu de dedans.

Il ouvre la pochette et sors quelque chose.

Je fus choqué de l'objet qui tenait dans ses main.

Une arme.

Je cache directement les yeux de Chems pour pas qu'il ne voit ça.

Qu'est ce qu'il lui prend ? Pourquoi prendre cet objet ?

Zahyn : tu vois ça.

Il marque une pause et montre l'objet du doigt.

Zahyn : si dans 2 secondes t'es pas dans cette putain de voiture, la dame là bas, tu peux lui faire tes adieu.

Il avait dit ça en montrant une vielle dame au loin, assis sur un banc toute seule regardant le vide.

Mais quel genre de personne peut faire cela.
C'est vraiment inhumain de dire ça.

Je ne perd pas une seconde, je monte à l'arrière de la voiture avec Chems dans mes bras toujours entrain de lui cacher ses yeux.

Quand je fis installer dans le côté passager arrière avec chems à mes côté, Zahyn se retourne et me lance un sourire narquois.

Il tapotte de fois de suite le siège du côté passager avant.

Zahyn : viens devant.