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As'Salam alaykoum wa rahmatu الله ta'ala wa barakatu'
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Moi : ~ tousse ~ ah j'ai trop mal à la gorge.

Jawed : sans vouloir t'offenser tu chante trop mal.

Culotté.

Moi : le culot le plus puissant que j'ai jamais entendu vraiment.

Jawed : ferme ta gueule, je chante comme raiponce.

Moi : bien sûr.

Il se gare dans le parking qui se trouvais juste devant mon immeuble.

Je descends de la voiture en pensant qu'il allais faire de même, mais je vis qu'il resta assis dans son siège et prêt à redémarrer la voiture.

Moi : Tu viens pas ?

Jawed : non, flemme.

Moi : je vais le dire à ma mère on va voir si t'aura encore la flemme quand elle va te courser avec une claquette à la main.

Jawed : Pffff, tu veux juste que je vienne chez toi, avoue tu peux pas te passer de moi.

Moi : ta gueule et bouge de là sinon c'est ma mère elle va venir te prendre par les oreilles.

Jawed : ~ rire ~ vazy j'arrive.

Il descend à son tour de la voiture, on commence à marcher vers mon bâtiment. On rentre dans le hall.

Arriver en haut, je vois que notre porte est encore ouverte.

Le jour où l'on va se faire cambrioler ils vont voir ce que sa fait.

Je rentre accompagné de Jawed et je vais directement dans le salon où il se trouvais Bilel et Ihsan, son visage était tout rouge, elle devait sûrement être morte de rire à cause des blagues à mon frère.

Ihsan : Jawed le titan tu date.

Jawed : tu vas voir ce que le titan il va te faire.

Ihsan : je comprend maintenant quand on dit que les DZ ils s'énervent vite.

Jawed : t'as un problème avec les algériens ?

Quand on critique son pays d'origine qui est l'Algérie, Jawed prend directement ça au sérieux alors que c'est juste de l'humour.

Ihsan : non t'inquiète je vous aimes les Algériens, ma propre pote elle est DZ.

Moi : On vient à peine de rentrer que vous êtes déjà entrain de vous disputer.

Ces deux là, on les enferme 24 heure dans une pièce, y'en a un il y ressort mort.

Ihsan : C'est lui il à commencé.

Elle me fait penser au enfant quand ils se disputent et qu'il dénonce qui à fait quoi.

Bilel : Comment ça se fait que Zahyn t'a pas déposé ?

Je sens le regard de Ihsan sur moi, j'évite de la regarder pour ne pas tomber dans un fou rire.

Moi : On a croisé Jawed, et vu que c'est un gentil garçon, il a proposé gentiment de me déposer.

Ihsan : Gentil garçon, c'est trop abusé à mon goût pour le décrire.

Jawed : Toi un jour je vais t'enterrer vivante tu va voir ça fais quoi de jouer avec les nerfs d'un algérien.

Ihsan : Les Hommes d'aujourd'hui il parle, il parle mais il agissent pas.

Faux.

Je peux le prouver car à cause de ça j'ai atterri à l'hôpital.

Cœur meurtri dans cette Dunia éphémère  [ EN CORRECTION ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant