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As'Selem Alaykoum wa rahmatu الله ta'ala wa barakatu'
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Elle avalait l'air dégoûter de lui.

Mais ça, encore une fois, je ne sais pas pourquoi.


{...}

J'étais sur le lit accompagné de Islem, on était entrain de faire le devoir.
Mais je voyais qu'il était distrait par quelques chose, j'étais persuadé que c'était à propos de son père. Mais j'en étais pas certaine.

Moi : Islem ?

Il ne me répond pas, il était plongé dans ses pensé allongé sur le lit ses bras a l'arrière de sa tête entrain de regarder le plafond sans même cligner une seule fois des yeux.

Moi : Islem je te parle !

Islem : Quoi.

Moi : Il se passe quoi au juste, depuis tout à l'heure je te parle tu prend même pas la peine de m'écouter.

Islem : rien t'inquiète pas.

Il mentais, ça se voyais rien qu'en le regardant. Je sais très bien que je le connais depuis quelques semaines environ mais j'arrive quand même à savoir si il est bien ou pas.
Et la tête qu'il faisait à ce moment là m'indiquait que non, il allait mal.
Et j'en étais sûr que c'était à propos de son père, je ne sais pas si je lui pose la question il va me répondre, mais de toute façon ça ne me regarde pas du tout.

Moi : non je crois pas, j'ai bien vu que depuis que ta mère à parler de ton père, t'es devenu très froid.

Il semble soûler a l'entente de mes mot.
Il souffle.

Islem : y'a rien j'ai dis.

Je ne vais pas le forcer à me dire une chose qui ne veut pas me dire, ce n'est pas du tout mon genre de faire ça. Si un jour il voudrait bien me parler un peu de sa vie ou plutôt de son père, je serai là à l'écouter sans problème.

Mal grès le fais qu'il n'était pas de bonne humeur, il m'avait aider à faire le devoir alors que je lui avait dit que je pouvais le faire moi même.

Peu de temps après, quand on eu complètement fini ce qu'on avait à faire, je décide de rentrer chez moi.

Quand je descendis de l'immeuble, je décide de passer par un raccourci qui ramenais à chez moi et qui était beaucoup plus court.

C'était une petite ruelle très étroite mais pas trop non plus.

Je marchais tout au long de la ruelle quand tout à coup, je sens qu'on me pousse violemment jusqu'à ce que mon dos atteignent le mur.
Je fit un gris de douleur car oui, la personne qui m'avais poussé ne l'avais pas fait avec douceur mais agressivité.

Je lève ma tête afin de voir qui était cette fameuse personne sans douceur.

Et vous devriez sûrement le savoir.

Zahyn.

Encore une fois.

Je  me demande quand est-ce qui va se décider à me laisser tranquille. Je sais très bien qu'il a quelque chose derrière la tête mais je ne dois absolument pas tomber dans son piège.

Je me redresse et essaye de partir mais il me plaque une seconde fois contre le mur, et bloqué là passage à l'aise de ses bars, celle ci était vraiment plus forte que la première.

Moi : putain tu m'as fait mal !

Zahyn : m'en fou.

Ok.

Cœur meurtri dans cette Dunia éphémère  [ EN CORRECTION ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant