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As'Selem alaykoum wa rahmatu' الله ta'ala wa barakatu'
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Je ne comprend toujours pas de quoi il parlait, alors je prend mon téléphone de ma poche et vois que...

J'avais un suçon.

J'ai su directement qui était à l'origine de ce suçon.
Depuis la dernière fois, je n'avais rien remarqué, ni moi, ni personne.
Et il a fallut que la personne qui le remarque soit Zahyn.

Zahyn : alors ! Comment tu va m'expliquer ce que ce putain de suçon fait sur ton cou ?!

Je n'avais pas les mots, je ne pouvais pas lui dire que j'avais failli être violer par un Homme.

Je sentais les larmes monter mais je devait à tout pris les retenir, pleurer devant Zahyn était la dernière chose que je voulais.

Zahyn : je sais même pas pourquoi je m'embrouille avec toi, j'en ai rien à faire de comment ce truc est arrivé là, t'es qu'une pute depuis le début !

Pute.

Pute.

Pute.

Ce putain de mot résonner dans ma tête.
Il venait de m'insulter de pute sans même savoir ce qui c'est passé pour que j'ai ça sur mon cou.

Moi : Mais putain vous avez quoi à tous me juger sans même savoir ce qui s'est vraiment passé ?! Toi tu crois t'es quoi hein ?! Toute ta vie tu baise des putes tu me fais la morale !

Je savais qu'en disant ça, il allait vraiment s'énerver et qu'il allait peut être encore une fois me frapper.
Mais je m'en foutais, je ne supporte pas du tout qu'on m'insulte.

Zahyn : descend.

Je comptais le faire avant même que tu me le demande pauvre con.

Je descends de la voiture et claque la porte sans aucune gêne.
Je cours vers mon bâtiment, j'étais à deux doigts de fondre en larme.

Dès que je fis arriver en haut, j'entre, j'enlève mes chaussures puis je vais directement dans la salle de bain prendre une douche.

Quand j'eus finis, je prend un peu de maquillage et l'applique sur mon cou afin de camoufler ce qui se trouvais dessus.

Quelque minutes plus tard, quand j'avais finis tout ce que j'avais à faire, je rentre dans ma chambre et m'allonge sur mon lit.

Encore une fois, je n'arrivais pas à fermer l'œil, beaucoup trop de souvenir me revenait en tête ce qui venait à me faire pleurer.


45 minutes plus tard:


je vais toujours pas fermer l'œil depuis plus d'une demi-heure. J'avais beaux essayer de dormir je n'y arrivais pas. Quelques secondes plus tard, j'entends quelqu'un toquer à la porte de ma chambre et entre juste après. Je fais semblant de dormir.

Tesnim : Nehla ?

Moi :...

Tesnim : ça sert à rien de faire comme si tu dormais je sais que c'est pas le cas.

Cœur meurtri dans cette Dunia éphémère  [ EN CORRECTION ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant