Chapitre 8 : Comme le jour et la nuit !

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  Je recherchait dans le placard quelque chose qui pourrait nous occuper, shoto lui se contenta de m'observer en silence, je remarqua un carton asser bien cacher dans une des étagères du placard, j'étais surprise d'en voir un car je pensais avoir tout déballer. J'étais exiter de découvrir ce qu'il y avait dans ce carton car il était plutôt gros.
  - Shoto regarde ! il fixa le carton un instant et me regarda droit dans les yeux et me demanda ce qu'il y avait à l'intérieur, je lui répondit que je n'en savait rien du tout. Je pris le petit ciseaux qui était sur mon bureau et le planta dans le carton, je mis deux doigt de chaque main dans la fente que j'avais créer et tira d'un coup sec. La fente laissa place à un large trou, intriguer je plongeait ma main dans ce trou et en sorti une console, c'était ma console auquel je jouait presque tout le temps auparavant avec mes amis. Je vida tout le carton par terre ce qui le surprena un instant. Par terre il y avait des jeux, des cadeaux d'adieu de mes amis et des tonnes de souvenirs.
  - Tout ces souvenirs...je les avais complètement oublié. Ça c'est une des perles qu'on avait trouvé avec Lilia par terre, elle avait garder l'autre. Et ça c'est le ballon de base-ball de Marc on s'entraînait à lancer le plus loin possible, il me l'a donner le jour de mon départ...disait-je avec un sourire nostalgique.
  - Ils te manquent ?
  - Oui énormément enfaîte même en France c'était pareille ma mère et moi arrêtions pas de déménager à cause du travail de mon père, j'ai dû dire au revoir à un nombre incalculable d'amis et même si ils me promettaient qu'on resterai en contact, Ils finissaient par se lasser et à chaque fois je devait recommencer encore et encore, c'était dur, très dur. Lui avoue ai-je.
  - Bah alors pourquoi tu insiste tant pour qu'on deviennent amis tu n'a pas peur qui ce passe la même chose avec moi ?
  - Hmm...Pas vraiment.
  - Pourquoi ?
  - je ne sais pas trop, enfaîte c'est mon instinct qui me le dit. Comment te l'expliquer avec des mots claires...hmm...mon instinct me dit que même si on se sépare on va se revoir c'est certain.
  - Franchement moi j'espère ne plus jamais te revoir.
  - Haha tu me fais rire ! Dit tu n'a pas l'impression qu'on se ressemble ?
  Après avoir dit ça un gros blanc s'installa, Shoto semblait tellement choquer qu'il se figea sur place.
  - Toi et moi on se ressemble pas du tout.
  - Mais si, comme le jour et la nuit.
  - Le jours et la nuit sont complètement opposer.
  - Tu est encore trop petit pour comprendre.
  - On a le même âge, je te rappelle.
  - Nan nan mon cher moi j'ai 8 ans demi.
  -  Quoi c'est vrai ! Tu as 8 ans ! Mais comment ça se fait que tu sois toujours en maternelle ! Je te croyais pas si stupide.
  - Quoi ! Mais non c'était une blague !
  - C'était pas drôle.
  - Bon et si on jouait à la console.

Moi et Shoto jouions à la console chacun notre tour. Shoto n'arrêtais pas de perdre au début comme c'était la première jouait qui jouait à ceux jeux mais je lui expliquait et lui donnait des astuces, il ne voulait pas l'avouer mais il s'amusait, je comprit très vite que Shoto n'était pas un très bon menteur et qu'il était très crédule. Le temps passa à une vitesse folle quand il fut enfin temps pour Shoto et sa mère de rentrer j'étais un peu triste mais bon il fallait bien qu'il rentre, il était déjà. Au final les todoroki étaient restés beaucoup plus longtemps que prévu.

  - Alors tu t'est bien amusé avec Irumi ?
  - C'était sympa. Répondit le petit garçon.
  - A la maison tu n'arrêtais pas de dire qu'elle était bizarre mais je pense que tu a un peu exagéré à son sujet.
  - Non elle est vraiment bizarre, elle sourit tout le temps, elle m'harcele pour qu'on deviennent amis, elle est  bruyante et elle ne sait pas tenir en place en plus le pire c'est qu'elle pense qu'on est pareille. Maman je te le dit cette fille est folle.
  La mère de Shoto lâcha un petit ricanements avant de reprendre.
  - Disons qu'elle a une forte personnalité , Shoto tu lui à demandé pourquoi elle pensait ça ?
  - Pas vraiment...mais elles nous à comparé au jour et la nuit.
  - Et qu'est-ce que tu lui à répondu ?
  - Bah qu'il sont opposer.
  - Vu de l'extérieur on pourrait le penser, oui. Mais si tu observe les choses sous un autre angle avec plus de profondeur, tu verra qu'ils ne sont si différents l'un de l'autre. Réfléchis bien es-tu sûr qu'elle te dirait ça sans aucune raison. Qu'il n'y a pas quelque chose qui fait que vous n'êtes pas si différent au fond. Il réfléchissa un instant avant de se rappeler d'une phrase que j'avais dit : " Quand je serai grande, je voudrais devenir une héroïne aussi cool que All might !"

  Tout ce passa très vite à partir de ce jour-là plus le temps passait plus il s'ouvrait à moi jusqu'à passer nos journées ensemble à rire, à jouer et à discuter. On était devenu amis. le plus dingue c'est que en un peine quelque mois j'avais l'impression de te connaître par cœur, bien sûr c'était loin d'être la cas...Après ta déclaration d'alter, tu t'est mis à ne plus venir à l'école soudainement. Avec l'aide de ma mère on a essayer de joindre madame todoroki pour savoir si tu allait bien. Elle nous a dit que t'allait bien et qu'il ne fallait pas s'en faire, je lui avait aussi demander si je pouvais aller te rendre visite mais elle à dit que ce n'était pas possible, elle ne voulait donner aucune explication et très vite nos lien se rompèrent sans que je comprenne pourquoi.
Quand a moi ma vie sociale c'était amélioré et j'avais de nouveau de nombreux amis mais tu me manquais énormément, je reprenais nouveau ma vie tout doucement mais sûrement. Un an c'était écouler depuis mon arrivée au Japon et j'avait à présent 4 ans.

A SUIVRE...

 

 

 

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