Une étoile montante !

Chapitre 51 : Un amour improbable !

Comme tous les matins, on se leva tôt pour aller en cours. On se prépara, mangea notre petit-déjeuner puis partit pour le lycée. J'avais oublié à quel point les cours pouvait être ennuyeux. Quelques heures, plus tard, c'était enfin l'heure de l'entraînement, on mit nos costumes pour enfin rejoindre notre salle d'entraînement. C'était encore un terrain de simulation.

       - Alors c'est ça le terrain d'entraînement ! Il est moins impressionnant que les autres !

       - Oui, c'est là qu'on développait nos nouvelles techniques. Je ne m'attendais à ce que ce soit Izuku qui me réponde pourtant il me souria très calmement. Je le souria en retour ça faisait que quelques semaines qu'on ne s'était pas vu pourtant, on aurait dit que ça faisait une éternité. Je dois le reconnaître, ses cheveux en pétard m'avaient manqué.

        - Tu as des nouvelles techniques ?! Fais voir !

        - Oh, enfaîte j'ai développé un nouveau style, je l'ai appeler le "style coup de pied" j'utilise mes jambes au lieu de mes poings ça me permet de mieux gérer ma force tout en ayant plus de puissance.

Je bugua dès que j'entendis l'explication.

         - C'est tout...t'utilises juste tes jambes enfaîte y a rien d'exceptionnel...mes mots avaient échappé à mon contrôle et je disa ce que je ne voulais pas dire. Il déprima après ce que je lui avais dit.

          - Nan, ce n'est pas ce que je voulais dire ! Enfaîte, présenter comme ça il n'y a rien d'exceptionnel ! Et si tu me montrais plutôt !

Il accepta, il détruisit les rochers son jeu de jambes était plutôt bon, bien qu'il y a quelques lacunes. Une fois sa démonstration terminée, je lui donna quelques conseils pour l'améliorer. Le professeur m'appela.

      - Comme tu le sais, cette salle sert à s'entraîner à développer de nouvelles techniques et à les améliorer. Comme tu as pris de retard...

Je lui coupa la parole.

      - Du retard ? Enfin monsieur depuis le temps, vous devriez me connaître, je n'ai pas le temps de prendre du retard.

Je vola jusqu'au centre de la salle et lança ma technique "dimension parallèle". Toute la salle était sous mon contrôle, je pouvais sentir leur rythme cardiaque, leur respiration, leurs mouvements, je voyais et devinais toutes leurs intentions. Je pouvais faire léviter mes amis très facilement en même temps, porter les rochers les plus lourds et les entasser les unes sur les autres. Tout ça en même temps. Je sentais les insectes dans la salle. Je vola à travers la pièce, je me sentais légère et libre, tout à coup mon alter s'arrêta, je tomba dans le vide. Lorsque j'ouvris les yeux, je me rendis compte que j'étais dans les bras de quelqu'un, je leva les yeux et je vis Katsuki. Ses yeux rouge vif me transperçait du regard, je n'étais pas sûr, mais ses yeux me laissait entrevoir quelques-unes de ses émotions un mélange de colère, de tristesse, de frustration, d'incompréhension, de regret...C'était asser confus. Je ne savais pas combien de temps avait durer cette échange de regard, mais il me lâcha brusquement. Je tomba sur les fesses, et je lui cria dessus.

     - Alors il y a un truc entre toi et Katsuki Irumi ?! Me demanda Mina bizarrement excitée.

     - Un truc ? Ouais, on est ami, pourquoi ? Enfin, même s'il refuse de le refuse de le reconnaître pour l'instant.

     - Ne fais pas l'innocente ! Je vous ai vu vous dévorer de regard pendant l'entraînement en plus il a pas hésiter une seconde à sauter pour te secourir ! Pareille pour Izuku et Shoto, sauf qu'il était plus loin !

     - Ah ça, je crois qu'il voulait simplement que je lui en sois reconnaissante et pour ce qui est du regard, c'était un regard de défi, je n'allais pas détourner le regard.

     - C'est vrai que toi l'amour ce n'est pas ton truc. Disa Tsuyu.

     - Ouais, ce n'est pas demain la veille qu'on te verra tomber amoureuse. Rajouta jiro.

     - Ne dites pas ça, je suis sûr qu'il y a un garçon qui te plaît Shoto par exemple vous traîner beaucoup ensemble et il est canon ! Disa Mina.

     - C'est juste un très bon ami.

     - Et Izuku et Ida ?!

     - De très bons amis eux aussi.

     - Alan alors ! Vous êtes pratiquement qu'ensemble.

Je la regardais avec le regard qui voulait tout dire : "Par pitié, je préfère mourir."

      - Je ne sais pas vous, mais moi, je pense que Midoriya a des sentiments pour Irumi. Dès qu'il est près d'elle, il est tout rouge et je l'ai surpris plusieurs fois à te regarder pendant que t'avais le dos tourné. Disa Tsuyu.

      - Maintenant, que tu le dis ! J'avais remarqué qu'il devenait plus nerveux que d'habitude en sa présence !

       - Arrêter de dire n'importe quoi vous savez bien qu'Izuku est du genre nerveux ça n'a rien à voir avec l'amour.

       - Alors comment t'explique que...Uraraka lui coupa la parole.

       - En-tout-cas, on doit aller se coucher ! Aller, aller demain, on doit se lever en pleine forme pour l'entraînement !

Uraraka nous brusqua pour qu'on aille se coucher, j'avais remarqué qu'elle arborait un faux sourire.

Le lendemain, on reprenait l'entraînement, il ne nous restait que quelques jours pour s'entraîner. Quand je vis Izuku les parole de Tsuyu. Est-ce que Izuku avait vraiment des sentiments pour moi ? Je me ressaisisa en me disant que c'était des conneries. Pourtant, je n'arrivais pas à me sortir de la tête la possibilité qu'il m'aimait.

      - C'est vrai que quand je discute avec lui, il a tout de suite l'air plus nerveux et quand je m'approche trop près de lui il devient tout rouge. Mes anciennes potes, qui étaient amoureuses de garçon, avaient un peu des situations similaires. Pensais-je. Mais attend...quand Uraraka s'approche, ça lui fait pareil. Mais peut-être que... il est juste mal à l'aise avec les filles, c'est tout ! Mais oui, c'est logique ! C'est trop drôle.

      - IRUMI !

Je sursauta, je me retourna et vis Alan.

     - Nan, mais ça ne va pas ! J'ai failli faire une crise cardiaque !

     - Je t'appelle depuis 3 putain de minute ! Mais tu ne m'écoutais pas ! Pourquoi tu regardes cheveux verts comme ça ?!

     - Je le regardais ? T'es sûr ? Je ne m'en étais pas rendu compte.

     - Quelle idiote...bref pourquoi tu le regardais comme un morceau de viande. C'est quoi le problème ?

J'expliqua la situation à Alan qui se tapa une barre.

      - Il est pas à l'aise avec les meufs, c'est mignon. Disait-il sarcastiquement. On va s'amuser...

      - Qu'est-ce que t'as derrière la tête ?

      - Rien voyons...tu viens ? J'ai un nouveau manga à te montrer.

      - Ouai !

À SUIVRE...