Une étoile montante !

Chapitre 11 : C'est parti !

L'entraînement de toya avait durer jusqu'à tard dans la nuit, le plus impressionnant c'est qu'il n'avait pris aucune pause malgré la fatigue qui le prenait de plus en plus, je fus admirative devant cette détermination à toute épreuve. Prouver ça valeur était ce qu'il le poussait à s'entraîner toujours plus dur.
Après son entraînement toya se rhabilla, tout un coup sur son corps je pouvais apercevoir des brûlures, j'étais horrifié je pensais que son alter le provoquait que des brûlures légère mais elle avait l'air plutôt sévère.
- Toya, ton corps !
Il scruta son corps un instant avant de répondre.
- C'est rien se sont juste de petite brûlures.
- Comment ça de petite brûlures tu te fous de moi !
- C'est rien je te dit ! Dit-il énerver.
Par chance j'avais un gilet à capuche, je l'enleva puis le trempa dans le petit ruisseau proche de nous et tout en l'essorant je lui demandait de s'approcher. Il refusa en me criant que ce n'était pas mes affaires, j'essaie de le convaincre que ces brûlures étaient grave et que si il ne fasait rien ça pourrait s'aggraver mais il ne voulait rien entendre. Son entêtement a ne pas vouloir m'écouter m'agaçait fortement, je voulais l'aider comme il m'avait aider il était hors de question que je le laisse comme ça. Pourquoi ne voulait-il pas comprendre !? Prise d'une colère soudaine je lui disait ses mots : POURQUOI T'ES AUSSI TÊTU !? TU NE VOIS QUE TES BLESSURES SONT GRAVES ! AVANT DE VOULOIR DEVENIR UN HÉRO ESSAIE D'ABORD DE NE PAS FINIR EN BARBECUE ! TU CROIS QUOI QUE C'EST EN GARDANT TES BLESSURES QUE TU VA T'AMÉLIORER ! AVEC UN CORPS COMPLÈTEMENT CRAMER ET EN PITEUSE ÉTAT C'EST SÛR QUE TU VA DEVENIR LE PLUS GRAND DES HÉROS ! NE DISCUTE PAS ET VIENS ICI AVANT QUE JE M'ÉNERVE !
Toya sembla choquer par mes propos il garda le silence, la colère montait en lui et répliqua ceci : TU TE PRENDS POUR QUI POUR ME DONNER DES LEÇON, SALE GAMINE ! SI J'AI PAS ENVIE DE SOIGNER MES BLESSURES IL EST TON PROBLÈME LA DEDANS ! TU TE CROIS ÊTRE EN MESURE DE ME DONNER DES LEÇONS, NAN MAIS REGARDE TOI ! TU VEUX QU'ON EN PARLE DE TOI, TU VEUX QUE JE TE RAPPELLE CE QUE TU A FAIT !?
Je le fusillais du regard, nous restâmes un instant a nous regarder dans le blanc des yeux. Pendant cette instant je me remémorait ce que ma mère m'avait dit un jour, elle m'avait dit que si jamais je me retrouvait dans une dispute et que la colère montait il fallait que j'inspire et expire à fond jusqu'à ce que je me calme. Ensuite je devait prendre quelque secondes de plus pour remettre mes idées au clair et je devait parler calmement et d'une voix douce. Elle m'avait confier que crier n'a jamais servi à rien dans une dispute et que ça ne fesait que aggraver les choses. J'appliqua les conseils de ma mère à lettre une fois terminé je me tournait vers toya, il était en train de se rhabiller.
- Je suis désolé...
Il fesa comme si il ne m'avait pas entendu et m'ignora totalement.
- Toya je suis désoler je n'aurait pas dû te parler comme ça...enfaîte je veux simplement t'aider comme tu ma aider. Alors s'il te plaît laisse moi juste soulager tes blessures.
Ce changement soudain de comportement le déstabilisa il se décida enfin à daigné lever les yeux vers moi, je le regarda avec des yeux doux et affectueux, je voulais lui apporter un peu de réconfort après tout ce qui ce passait dans sa vie. Il hésita un long moment avant d'accepter. Il retira son haut, je trempa à nouveau mon gilet dans le ruisseau avant de l'essorer, le contact de sa peau avec le gilet mouillé le fit gémir de douleur. J'essayais d'être aussi douce que possible, je le frottait méthodiquement et soigneusement sur toute les brûlures. Quand j'eus finit il me remercia et s'en alla, je voyais son dos s'éloigner de plus en plus. Je ne voulais pas que notre rencontre se termine comme ça alors je cria : TOYA, MERCI POUR TOUT ! ÇA A ÉTÉ CHOUETTE DE PARTAGER CE QUE J'AVAIS SUR LE CŒUR AVEC TOI, ÇA MA VRAIMENT SOULAGER ! COMME TOI JE VAIS PAS ME LAISSER ABATTRE ET VAIS CONTINUER D'AVANCER POUR ATTEINDRE MES OBJECTIFS ! DÉSOLÉ MAIS SE SERA MOI LA NUMÉRO 1 ! ON SE REVERRA C'EST CERTAIN ALORS C'EST PAS UN ADIEU, AU REVOIR TOYA !
J'avais crier assez fort pour qu'il m'entende et il ne m'avait rien répondu mais je m'en fichait c'était bien comme ça. J'avais retrouvé la force de me battre et surtout de vivre grâce à un étrange garçon qui ressemblait à un ange, je repris mon chemin pour rentrer chez moi bien décidé à assumer mes actes.

[ Il est conseillé de mettre le média à partir de ce moment. ]

Arriver devant chez moi, j'avais à nouveau cette boule au ventre et cette envie de vomir qui me prenait à la gorge. J'hésita pendant 30 minutes à sonner puis je me rappella de ce que j'avais dit à Toya : je vais pas me laisser abattre ! Je pris mon courage à deux mains et sonna au portail, ma mère répondit sa voix semblait casser, briser, exténuer. Je lui répondit que c'était moi, elle sorti en trombe de la maison ouvra le portail et me prena dans ses bras en serrant de toute ses forces, elle pleura toute les larmes de son corps elle n'arrêtais pas de s'excuser de ne pas m'avoir comprise et d'avoir inconsciemment essayer de refouler mes sentiments au fond de moi. Après ces aveux je me suis mise à pleurer à mon tour. Ce jours-là mon père était parti pour une urgence à son travail ma mère n'avait pas réussi à lui faire entendre raison. Ce jour restera à jamais graver dans ma mémoire, ce jour à été forte en rebondissements et en émotions.

Le temps fila à une vitesse folle, j'étais d'abord en primaire puis au collège et aujourd'hui je m'apprête à passer mon examen d'entrer pour le lycée qui me permettra d'accéder à mon rêve, le prestigieux lycée yuei là où à été formé les plus grands super héros notamment mon idol All might. Réussir dans ce lycée c'est t'assurer une place parmis les héros. Devant une photo de toya, je m'agenouilla les main lier Je fis une petite prière : S'il vous plaît faites que je puisse réussir mon examen et réaliser mon rêve, veillez sur ma mère et sur tous ceux qui sont dans le besoin. S'il vous plaît prenez aussi bien soin de Toya, Toya j'espère que de la haut tu me vois et que tu veille sur moi je te promet de réaliser notre rêve, je dois y aller maintenant prends soin de toi. Amen. Je pris mes affaires, ajusta une dernière fois mes fois mes vêtements, fesa un bisou à ma mère et le regard fière, le tête haute, je me dirigea en direction de la sorti. Mon rêve était à porter de main : C'est parti !

A SUIVRE...