Basketball My Life

20

Je m'attendais au pire.

Mais alors ça...

Je m'étais assise sur le lit, comme elle me l'avais conseillé.

Elle : pour commencer, il faut que tu le promette de le dire à personne..

Elle m'inquietais vraiment, de plus en plus.

Elle : t'as sans doute remarqué que je ne sortais plus vraiment...

Je ne vais pas dire le contraire !

Elle : ça c'etait passé fin octobre, le jour où tu avais ton tournois...

Le merveilleux jour où j'avais rencontre Ryan !!

Elle : je voulais passé de voir, saluer les anciens coach... Enfin bref...

Elle s'arrêta brutalement, et une l'arme se mit à couler sur sa joue, devenant de plus en plus pourpre.

Elle : j... Enfin... Il y a un garçon au lycée, il... Il est complètement malade...

Elle commençait à bégayer, ce qui rendait son monologue de plus en plus incompréhensible.

Elle : il m'a vu, et puis il... Il a commencé à me suivre... (Elle marque une pause avant de reprendre) et après, je ne sais pas trop ce qui s'est imaginé... Mais... Il a commencé à... Me toucher.

Alors là, je reste choqué.

Elle continue de m'expliquer ce qui s'était passé, en pleurant de plus en plus. Elle n'avait pas pu finir, et je m'était jeter dans ses bras pour pouvoir la réconforter.

Je n'arrive pas à croire qu'elle l'avait caché aussi longtemps.

Voilà donc plus de deux mous, deux mois qu'elle jouait la comédie, et qu'elle faisait comme ci rien ne s'était passé.

Entre quelques larmes, elle avait donné le nom du salaud qui avait fait ça, et je comptait bien lui faire payer.

Mais Anaelle ne voulait pas... Tant pis, je ne lui demandait mas son avis de toute façon !!

Je venais de préparer le diner, pour Jerem, Na et moi.

Demain serait une grosse journée.

____________________________________

J'étais parti voir les terminal, bien déterminé à trouver ce Simon Cavet.

Moi : tu connais un mec qui s'appelle Simon, Simon Cavet ?

Les terminals me regardait avec mépris, et certains me.demandèrent si j'étais la sœur d'Anaëlle.

Une fois que je l'avais trouvé, je comptait bien le défoncer, ce petit cons.

C'est vrai que ma soeur est beaucoup plus timide, et surtout réfléchis que moi. Elle est l'eau, je suis le feu, elle este ying je suis le yang, elle est l'air je suis la terre... Enfin bref.

Moi : c'est toi Simon Cavet ?

En entendant son prénom, le brun (qui faisait quand meme deux têtes de plus que moi se retourna dans ma direction, me toisznt du regard.

Il est vrai que mes secondes e se mélangeait pas aux premières ni au terminales.

Ma sœur commençait un peu plus tard, normalement.

C'était le moment idéal pour lui casser ma gueule.

Sim : T'es sœur à Anaelle ??

Pas de réponse de ma part, mais en même temps, excepter la couleur de cheveux, physiquement nous étions les mêmes.

Il me regardait trop mal.

Et puis c'était parti tout seul... Une belle droite dans son nez, qui ne tarda pas à saigner.

Lui : sale conne va, c'est quoi ton soucis ??

"Ses amis" me prirent, et commencèrent eux aussi à me frapper, mais rien de très méchant.

Jee debattais mais en même temps, une contre six...

Quelques personnes avait formé un cercle autour de nous, curieux de savoir ce qui se passait. Il y avait des secondes, et même des premières, mais ils restèrent là, immobile.

Il n'y en avait pas un pour m'aider...

- lache la !!!

Je me débattait toujours, quand ne me pris un point de la part de Simon.

Moi : on frappe pas les femmes 'spece de lâche !! Je vais te buter tu vas rien comprendre à la vue, petit con

Mon nez à moi aussi saigna, et j'avais le goût du sang dans ma bouche.

Il me frappa une autre fois, un peu plus haut cette fois, ce qui me fis mal à la tempe gauche.

On continuait de se battre, eux six contre moi seul,

Moi : tu retouche un che eux de ma sœur, t'es un homme mort, MORT !!

Un de ceux qui me frappais ou me retenais, je ne sais même pas, demanda

Mec 1 : il s'est passé quoi avec sa sœur ??

Lui : elle joue la pute, comme les autres...

La pute ???

Mon pied partit dans sa gueule, mais il l'évita. Un souffle de colère m'envahit alors je reprit min souffle avant de lui donner un coup de pied dans les couilles

Moi : et j'espère que t'aura plus jamais de plaisir, petite pute !!

Une main me pris violament le bars, et m'obligea à m'arrêter.

Moi : Steven ?