Basketball My Life

24

48h plus tard, on avait reçu une lettre, pour nous annoncer que maman avait été transporté d'urgence dans un hôpital, à Paris.

J'avais immédiatement appeler Joshua, qui voulait y aller seul, mais après quelques longues minutes de dispute, il avait céder, et nous avait emmener Na et moi.

Jérémy était trop jeune, lors Josh l'avait emmener chez sa chérie.

On y avait été en taxi, et il y avait beaucoup de caméra de télévision, de journalistes tout autour de l'hôpital.

On avait fini par réussi à rentrer, à trouver sa chambre, et même à la voir.

Mais juste avant, un médecin nous avait annoncer qu'elle était plongé dans un coma artificielle, pour le moment.

Elle était branché à de multiples machines en tout genre, et vu comment Josh les regardait, je ne pense pas que ça soit un bon signe.

Na serrait sa main, mais moi je craqua, je me mis à pleurer, et même si Joshua essayait de ne pas faire de même, nous étions tous affecté.

Il me serrait dans ses bras, et il y avait tellement de larmes que j'avais déjà mouillé son t-shirt.

Une fois que j'avais enfin réussi à me contenir, une infirmière arriva pour nous annoncer que nous devions partir, ce n'était plus l'heure des visites.

Voyant ma détresse, Joshua appela Mel pour lui annoncer qu'il restera quelques temps avec nous à la maison, et qu'il repasserait dans l'heure chercher Jérémy.

Mon téléphone aussi sonna, mais c'était mon père, il nous annonça qu'il venait d'atterir à Paris, et qu'il restera là jusqu'à ce que maman aille mieux.

Quand nous sommes arrivé à la maison, il était déjà là. Je couru dans ses bras, pleurer encore et encore...

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Papa : Emy, t'es résultats sont en baisse, tu fais n'importe quoi aux entrainements, aux matchs, tu ne mange plus rien, tu ne sors plus... Je m'inquiète vraiment pour toi.

Mon père passa sa main sur mes cheveux, pendant que je restait là, allongé dans mon lit.

Voilà déjà deux semaines que ma mère était dans le coma, et pour diverses raison, les médecins n'allait pas la faire sortir tout de suite.

Je savais bien que mon père avait raison : mes notes était en chutes libre, et je n'avais aucun goût pour aucune activité.

Mon téléphone restait éteint, je ne répondais à aucun message, même pas ceux de Ryan.

C'est d'ailleurs cet objet qu'il prit de ma table de chevet, il alluma puis me le tendis

Papa : tu peux pas rester comme ça !

Si ! Biensur que si je peux.

Il déposa un bisou sue ma joue (geste tendre qu'il faisait très rarement) et sortit de ma chambre.

Je me leva, enfila un jogging et un sweat, et me résolu à aller en cours. Mon père s'occupait d'amener Jérémy à l'école, et nous de posais en voiture Na et moi.

Joshua était repartit sur Paris, il avait cours et les examens approchait à grand pas pour lui.

Arrivée au lycée, je dis bonjour aux filles, et consulta mon téléphone. Deux semaines que je n'y avait pas touché.

6 appels en abscences.

18 message(s) non lu(s)

19 notifications instagram

7 snap

Et j'en passe.

Les six appels manqué était de Ryan, qui m'avait également envoyer une dizaine de messages.

Je l'appela aussitôt, mais il ignora mon appel. Il devait simplement être en cours à cet heure là.

Chaque mâtiné ressemblais de plus en plus à la précédente : lente, ennuyeuse et sans intérêt.

Les midis à la cantines de même, enfin pas celui-ci :

Cassia : Emy ça va ? Ça fait deux semaines que tu parle pas, tu mange pas, tu let tout le temps des joggins...

Je ne leur avait pas dit. Enfin si, à Talia, à un moment de faiblesse ou j'avais craqué. Elle gardait le secret, et resta muette, elle d'habitude si grande gueule.

Dri : Cassia a raison

Moi : et alors, vous voulez que je dise quoi ?

Elles commençaient à me saouler, bien sur que non je n'allais pas bien, mais je n'avais pas envie d'en parler, c'est tout !

Dri : pas la peine de nous agresser, on demandait juste.

Au lieu de dire quelques choses que je regrettera sans doute par la suite, je pris mon plateaux, et le débarrassa.

Cassia (à Adriana et Talia) : elle a quoi ?

En cours de français, Dri était assise à coter de moi. Mais à en juger par son attitude, elle me boudait.

Honnêtement je m'en foutais.

Bon ok j'avoue je mens, le problème c'est que même si je ne le montre pas, c'est au moment où j'ai le plus besoin d'elle, de son aude et de ses blagues qu'elle décide de partir.