INTERDIT❤️

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Finalement, Jenny dépose doucement la lame de rasoir avant de quitter précipitemment la salle de bain se rendant compte de l'absurdité de ces pensées.

Elle ne pu s'empêcher de se sermonner en se répétant mentalement que ce qu'elle avait vécu n'était pas si grave.

Beaucoup de personnes dans ce monde vivait des choses bien plus atroces que le viol se dit-elle en reprenant sa place sur son lit le regard braqué sur le plafond.

Sa mère, qu'est-ce ce qu'elle en penserai si son unique fille décidai de se suicider ?

Son père qui même si n'était pas là s'en voudrais en mort.

Et Thomas , le pauvre qui était déjà mal.

Jenny pensa à la manière dont elle l'avait jeter plus tôt et ne pu s'empêcher de lâcher un sanglot de culpabilité.

Thomas avait beaucoup fait pour elle pendant ces un mois.
Selon elle c'est un peu grâce à lui si elle a tenu aussi longtemps.

À chaque fois qu'elle écoutait sa voix à travers la porte Jenny reprenait un peu de courage même si à la dernière minute elle n'avait plus tenu le coup.

Et heureusement ou malheureusement ça dépend Thomas était entré pour la sauver.

Mais voulait elle vraiment qu'on la sauve? Se demanda t'elle pensive.

Et si Thomas n'était pas entrer, peut être qu'elle serai morte et n'aurais jamais su qu'elle portait un bébé dans son ventre.
Et comme ça elle aurait pu quitter se monde sans culpabiliser su le fait de hauteur la vie à cet être innocent qui n'avait rien demandé.

Et voilà qu'elle repensais encore à la mort.

Ne voulant plus avoir de penser sombre, Jenny récupère son téléphone qu'elle n'avait pas touché depuis des lustres. En essayant de faire abstraction de toute les notifications que l'objet avait accumulé, avant de lancer un appel.

- "hé ma puce s'exclama la voie de sa mère à l'autre bout du combiné. Enfin tu m'appelles. Je me suis tellement inquiéter. Et ton père qui ne voulait rien me dire à part que tu avais une simple grippe. Sava ? Dis moi chérie. Déclara celle-ci sans prendre une seconde de repos.

- t'inquiète maman je vais beaucoup mieux. Dit elle simplement.

- mais cas même? Tu n'as jamais fait plus d'une semaine sans m'appeler et là ça fait un mois. J'ai même failli débarquer là-bas si ton père ne m'avait pas rassurée. Et ton frère qui ne répond à aucun message. Vous allez vraiment me faire perdre la tête vous deux. Continua t'elle à sermonner jenny.

Jenny qui était vraiment contente d'entendre la voix de sa mère. Tellement qu'elle ne s'aguaça pas du comportement de sa mère.

Sa mère l'avais tellement manqué. Elles qui étaient des meilleures amies.

- Jenny? Ma puce t'es sûr que Sava ? Declara soudainement la mère de famille inquiète en remarquant le silence inhabituel de sa fille. Elle qui était toujours enjouée et surexcité l'hors de leur échange.  sa soudaine inactivité ne l'échappa pas.

- oui maman je vais bien t'inquiète. Je suis juste fatiguée. J'ai fais un malaise à cause de ma grippe hier et j'y ais passer la nuit. Tu me connais avec mes grippe interminable. Dit elle pour rassurer sa mère.

- et Sava ? Tu es avec qui à la maison.

- je suis avec Marie la gouvernante.

- elle prend au moins soin de toi rassure moi ?

- oui. Je t'ai déjà dit que c'était une super femme. Elle est comme une deuxième maman.

- ça me rassure. Et sinon l'Université. Tu as des amis ? Se précipita de demander la mère de Jenny surexcité d'en apprendre un peu plus sur la vie de sa fille.

- l'Université sa va menti t'elle puisse qu'elle n'avait plus remis les pieds dans cet endroit après son premier jour.

- et donc tu as.... Rencontrer quelqu'un ? Avoue la femme d'un air taquin.

- maman !!!

- aller dit moi tout je veux tout savoir. Il s'appelle comment ? Il a quel âge? Et surtout est ce qu'il est BG ?

Quand on attendait parler la femme de foyer on aurait cru une adolescente un peu trop surexcité voulant tout les détails croustillants sur la vie de sa meilleure. En ayant cette pensée, jenny ne peut s'empêcher de sourire malgré elle contente d'avoir une mère comme ça

- aller dit moi tout. Dit elle d'une voie boudeuse.

- bon d'accord. Enfaite s'est le meilleur ami de...

En voulant prononcé ce prénom, un douloureux souvenir frappe Jenny en plein fouet et lui fait couler une larme malgré elle.

Heureusement que sa mère ne pouvait pas la voir. Pensa t'elle.

- j'écoute. S'impatienta la mère de Jenny.

- c'est le meilleur ami de justin. Dit elle après avoua souffler un bon coup.

- ah d'accord. Et ça ne pose pas un problème à ton frère ?

- je ne sais pas trop il ne m'a encore fait aucune remarque à ce sujet.
"Bien sûr que si" bref c'est un ami de justin, il s'appelle Thomas.

- Thomas !? Jolie comme prénom. Et vous sortez ensemble ?

- non pas encore.  Enfaite on apprend juste à se connaître. Dit elle  simplement ne voulant pas s'attarder sur le sujet Thomas.

- bah je ne comprends pas trop. Il te plaît n'est pas ?

- oui.

- tu lui plaît n'est pas ?

- oui enfin je crois bien.

- alors pourquoi vous ne sautez pas le pas?

Comment faire comprendre à sa mère qu'en faite si c'était il y a un mois elle aurait sauté le pas sans même réfléchir. Mais que maintenant tout avait changé sur tout les plans possible.

Non seulement elle s'était fait souillée, violé mais en plus elle portait le bébé du meilleur ami de son coup de cœur et qui n'était autre que son frère de sang.

Comment expliquer cela à sa mère sans que ça ne soit trop bizarre.

- bref et sinon toi comment tu vas?

- je vais mal se plaignit sa mère. Tu n'es plus là et mon travail me fait chier à mourir. Sans oublier Louis qui est en voyage d'affaires depuis une semaine.

- désolé.

- pas grave lâcha t'elle avant de lâcher un long bâillement. Je suis épuisée.

- tu devrais aller te reposé.

- oui tu as raison. Tu m'as tellement manqué ma puce. J'aimerais tellement te prendre dans mes bras et te faire tout plein de bisous.

- moi aussi maman.

-  Bon à demain alors, N'oublie pas de me prévenir si quelque chose te tracasse. Tu sais que je serai toujours là pour toi. Et que je t'aime plus que ma propre vie. ton frère et toi vous êtes tous pour moi.

- je sais dit elle doucement les larmes aux yeux. Je t'aime aussi maman.

- bisous ma chérie. N'oublie pas fonce avec ce Thomas. Et concentre toi sur tes études aussi.

- compris . Bisous je t'aime fort. Avoua t'elle avant de rapprocher.
Pour ensuite se jeter sur son lit en explosant de pleurs. Relâchant toute la pression qu'elle a accumulé durant l'appel.

INTERDIT❤️Où les histoires vivent. Découvrez maintenant