Après avoir enfin terminer notre douche, nous nous sommes habillé, lui pour rejoindre le reste du groupe et moi le labo ou je travaille.
Je me mis un pantalon taille basse en jean et un t-shirt noir à manches longues.
Je m'attache les cheveux en une queue haute laissant quelques mèches dépasser.
Lui s'habille de façon large comme à son habitude.Il était déjà onze heures quand nous eûmes fini.
Lui partie une dizaines de minutes avant moi.
Je pris donc mon sac et mes clé et partie.
Encore une fois à pieds, je trouve ça beaucoup plus agréable.
Sur le chemin, je vis un magasin de guitare de collection, j'ai appris par bill que le premier septembre ce sera leurs anniversaires à tous les deux et c'est dans une semaine.J'entre dans le magasin et regarde de tout les côtés espérant trouver la merveille qui rendrait heureux Tom.
Au bout de quelques instants mon regard ce pose sur une magnifique guitare rouge.
Je l'achète et repart avec mon achat sous la main heureuse.Je marche pendant dix minutes et arrive enfin à mon labo.
Je rentre, salue mes collègues et part me mettre au boulot posant la guitare à côté de moi.
Le temps passe, aujourd'hui je n'ai rien fait d'extraordinaire, j'ai étudié quelques cellules uniquement, malgré tout quand j'eu terminé il était déjà vingt-deux heures, plus personnes n'était dans les bureaux mise à part moi et un ancien employé.Il s'appelle Carl, je lui ai parlé quelques fois, c'est quelqu'un de sympa je trouve, il nous sourit toujours de manière chaleureuse et l'hiver il nous apporte du chocolat chaud, il doit avoir quelques années de plus que moi mais pas énormément.
Je décide de partir après avoir terminé et ranger mes affaires, sous le regard de Carl.
Je commençais à partir quand il accouru vers moi, il s'arrêta respira un bon coup puis parla enfin.- Ça te dis que je te racompagne, tu sais il fait nuit et c'est pas prudent.
Dit-il avec un sourire en coins.Je le regardais longuement, cette proposition pourrait paraître normale, mais son intonation et sa façon de me regarder me faisait me sentir mal à l'aise, malgré tout j'accepte.
- D'accord.
Il souria encore plus je lui rendit un faux sourire cachant mon malaise.
Nous partons, sur le chemin ni lui ni moi ne parlons, c'était un silence pesant et long, j'avais l'impression que le trajet duré une éternité.
Enfin nous arrivons devant chez moi,un soupir de soulagement s'échappa de ma bouche.- Bon et bien bonne soirée.
Je tournais les talons m'apprêtais à fermer la porte mais il mis son pieds entre la porte et l'encadrement, j'ai une mauvaise impression, très mauvaise.- Carl enlève ton pied maintenant.
Dis-je un léger tremblement dans la voix.Il sourit, un sourire malsain me faisant peur, je commençais à transpirer de plus en plus et je savais très bien ce qu'il ce passé, je faisais une crise de panique.
- Tu ne m'invite pas à rentrer ?
J'ai très soif après t'avoir racompagner tu sais.Il n'attendit pas ma réponse et ouvrit la porte à grande volet, à ce moment là je me rends compte à quel point il était imposant et moi minuscule.
Il ferma la porte et m'attrapa le bras de façon violente, je sentais mon poignet ce briser sous la pression qu'il mettait.
Des larmes devalais mes joues, des souvenirs me reviennent et je savais ce qui allait ce passer.
Encore.- Arrête Carl.
- Mmm laisse moi réfléchir, non.
Puis il fonça sur mes lèvres j'avais mal une douleur ce former dans ma gorge, je me debatait mais rien n'y faisait, il mordi ma lèvre si fort, qu'elle ce mit à saigner, le goût métallique du sang me repugner des hauts le cœur me vient.
Je continué à me débattre espérant qu'il s'arrête mais je ne fis que l'énerver d'avantage.Il s'arrêta et me donna un coup à la tête puis après troue noire.
Flash back
Il était minuit, je dormais quand ma porte s'ouvrit doucement, de mon lit je vis ma mère, un sourire ce dessinait sur mon visage, elle est venue me faire un câlin, j'en suis sur.
Elle ferma la porte derrière elle et s'approcha de moi lentement, et s'asseyait sur mon lit.
Elle ne parlait pas et me caressait les cheveux doucement, c'était doux et je me sentais bien, les minutes passèrent et ses caresses ce faisait dur, à t'elle point qu'elle t'irai mes cheveux en arrière me faisant me rallonger sur mon lit.Je ne comprenais pas, j'étais bien trop jeune pour imaginer ce qu'une mère pouvait faire à son propre enfant.
Elle me toucha, me caressa m'embrassa, pas un bruit ne sortait de ma bouche mes larmes coulaient de façon abondante mais je n'arrivais pas à crier, quelque chose en moi avait changé, c'était brisé, ma confiance envers les gens n'existait plus.Je n'étais qu'une enfant, le destin m'étais si triste, la vie me frappait sans fin, comme une boucle, un refrain, comme si le monde ne me voulait pas, la vie ne veut pas me faire mourir ce serait trop gentille, non, alors elle me fait mourir de l'intérieur comme une coquille.
Me laissant mes souvenirs à ressasser, comme un ange déchu, parce que chaque enfant est un ange, et chaque parent et un ange déchu.Fin du flash back.
Je me réveillait, la vision flou, mes joues et bas du visage collant du à mes larmes séchait.
J'avais le goût du sans séchait sur mes lèvres.
Je voulais me lever mais une douleur atroce dans le bas du ventre m'en empêcha, soudain tout les souvenirs de hier soir me revenu.
Absolument tout.Je commençais à regarder mon corps, partout je voyais ses mains qui m'avait touché, comme une fleur fané j'étais, j'avais perdu toute mes couleurs, encore.
Mon regard vide posé sur le sol de la chambre, mon esprit anéanti, comme si le temps s'arrêter autour de moi, juste moi bloqué dans le noir, m'empêchant d'avancai, perdu de nouveau dans ma folie.
Je me sentais disparaître, mes sentiments ce bousculaient, tout comme mes sentiments qui débordait rien ne pourrait qualifier la douleur présente dans mon cœur.Chaque instant, chaque émotions que je ressens me pousse au bout de mes forces, comme si je n'étais qu'une bombe à retardement.
Je n'en peux plus.
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Hello alors c'est un chapitre triste désolée 😭 j'espère sue je les assez bien écrit et que ça vous a plu.
Bref au prochain chapitre 🫶🏼
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Pour deux âmes solitaires Tom Kaulitz
FanfictionElle était seule, personne ne l'attendait, ne s'inquiétait de ce qui pouvait lui arriver. Lui était aimé, acclamé par des milliers de personnes chaques jours mais ce sentait seul, un vide que rien ne comblait. Des âmes solitaires