Chapitre 6

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Sur le chemin je croisa Tom, lui ne m'avez pas remarqué, ni une ni deux je courru comme jamais et lui sauta sur le dos.

Je crois qu'il s'est étouffé sur le coup, bha c'est pas grave, pendant que j'étais devant lui à me tordre de rire lui essayé de reprendre son souffle tout en me lançant des regards noir.

- Bhaa si t'avais vu ta tête c'était à mourir de rire.
Dis-je en plein fou rire.

- T'AS VOULU ME TUER OU QUOI !

- Moi, jamais voyons je vois pas de quoi tu parles kaulitz.
Dis-je avant de repartir en fou rire.

- Alice cours.

- Hein pour...

Je n'eu pas le temps de finir ma phrase qu'il commence à me courir après.

Puhaa sa tête était trop drôle ça valait le coup de me faire courser, mais il va trop vite je commence avoir peur à se rythme la il va me  rattraper le con.
Il réussit à me sauter dessus à son tour sauf que moi je suis tombé comme une merde sur le ventre, lui à califourchon sur mon dos.

- Ça rigole moins hein princesse.

Il ose m'appeler princesse alors que j'aime pas ?
C'est faux, j'adore, mais plutôt mourir que de l'avouer
Rien que pour le faire culpabiliser je vais faire semblant d'être morte tiens.

-  Alice ?

-...

- Aliceee

-...

Il ce leva de mon dos, me regardant.

- Merde je crois qu'elle est morte, je fais quoi je laisse le corps ou je le cache.

- Comment ça, si je meurs tu m'enterre sale fou.

Il sourit, qu'est-ce qu'il a sourire, ça lui fait plaisir de m'avoir fait mourir à moitié et de m'avoir fait courir un marathon.

- Ha ben non dommage t'es vivante.

- C'est ça ment tu m'aimes trop.

- c'est bien tu crois en tes rêves.
Dit-il en rigolant me faisant rire aussi.
Je me lève de parterre, parce que bon c'est un peu gênant d'être assise en plein milieu d'une rue.

- Tu vas ou ?

- En boite de nuit

Il me regarde de haute en bas, pas convaincu du tout puis il vis mon air sérieux.

- Attend c'est vrai ?

- Pas du tout je vais voir gustav gros beta.

- Gros bêta ? Je me sens vexé.
Dit-il en prenant un air triste.

- Sent toi vexé, bref, et toi tu vas voir le reste du groupe je suppose ?

- Non je vais chez mon plan cul.

- J'ai de la peine pour elle.

- Que de haine.

- Je sais, je te laisse je vais voir gustav moi.

Je m'apprêtais à repartir mais il me retiens l'épaule.

- Attend je t'accompagne, c'était une blague je dois aller voir le reste du groupe.

- Je me disait aussi

- Je dois le prendre comment ?

- Comme tu veux.

Pour deux âmes solitaires Tom Kaulitz Où les histoires vivent. Découvrez maintenant