Pour deux âmes solitaires Tom Kaulitz

chapitre 2: 3 ans plus tard

Trois ans, depuis ma rencontre avec tom, je n'ai pas oublié ce qu'il m'a dit, j'ai toujours sa veste espérant pouvoir le lui redonner.
En trois ans beaucoup de choses ont changé, j'ai terminé mes études avec succès et je suis devenue médecin, j'ai réussi à trouver un remède contre le cancer, le but qu'il me tenait en vie.

Un des buts

Suite à ma découverte sauvant des millions de vies, je suis devenu très connu, partout on parlait de "Alice West la sauveuse"
J'ai changé de nom, je voulais une nouvelle identité, les medias cherchent désespérément des renseignements sur les personnes connues encore plus quand elles sont sorties de nulle part, je ne voulais pas que mon passé se sache alors j'ai pris ce nom.

"La sauveuse " Très cliché n'est-ce pas, je trouve aussi, mais ce surnom m'a été donné par un patient atteint du cancer à l'hôpital depuis j'ai gardé ce surnom.

Mon père me manque toujours autant,je n'arrive pas à faire le deuil après sept ans.
Parce que malgré ma réussite fulgurante, je me sens seule et sali, je n'ai pas réellement d'ami, et couche avec les premiers gars ou les premières filles que je trouve.
Chaque fois mon corps ce salit, je recherche désespérément de l'attention peu importe comment, mais ce n'est pas de l'affection, c'est ce qui me fait le plus mal parce que ce que je veux c'est qu'on m'aime, même un peu.

Aujourd'hui j'ai déménagé à New-York, dans un appartement en plein centre ville avec une magnifique vu.
Se soir j'ai un évènement avec beaucoup de célébrités.
C'est un gala pour les enfants malades, je déteste être là-bas parce que les gens qui y sont présents ne sont là que par ego et dignité, ils s'en fichent de savoir qui est malades tant qu'ils peuvent monter leurs richesses au autres, montrant qu'ils ont mieux réussi.

Il est dix-neuf heures et le gala commence à vingt heures.
Pour l'occasion je mets un robe longe verte olive à bustier, des talons blanc et quelques accessoires.
Je laisse mais cheveux noir détachées, et me maquille simplement.

Je me regarde dans le miroir, je déteste mon reflet, je revois sans cesse les remarques faites par ma mère, elle m'a détruit, au point que je me haisse.
Parfois j'ai envie de pleurer mais je ne le fais pas, je refuse de pleurer car pleurer signifie qu'on a pas tourné la page et que nous sommes encore blessé, j'ai encore mal j'ai toujours ma gorge qui ce sert quand j'y repense me rendant incapable de parler, mais je me persuade que si je ne pleure pas je finirai pas oublié et tourner la page.

Sept ans que tu penses ça et pourtant tu n'oublies pas ces souvenirs, tu l'es revois chaque jours.

Pdv tom

Ce soir le groupe et moi sommes invités à un gala pour les enfants maladess, je déteste ce genre d'endroit, je me sens mal à l'aise la seule choses que j'apprécie c'est le fait que il y est toujours de belles femmes prête à tout pour avoir ne serait-ce qu'une nuit avec moi.

Je pense encore à Lou, souvent même je ne sais pas ce qu'elle est devenue, je ne sais même pas si elle est vivante, le jour ou je l'ai vu elle avait l'air si mal en point que j'ai cru qu'un coup de vent suffirait à la tuer.
J'ai toujours l'espoir de la revoir et qu'on apprenne à ce connaître, avec elle je me sentais bien.

-Bon Tom on récapitule, ce soir si tu veux baiser une fille tu l'emmène à un autre hotel que le nôtre.

Mon frère bill venait de me sortir de mes pensées, me rappellant à l'odre sur les règles qui avait prise.

- Et pourquoi je devrais aller dans un autre hotel ?

- Gustav Georg et moi on en a marre de croiser une de tes putes chaques matins.

- T'abuse j'en ramène pas tant que ça

- Tu penses ?

Il partit, nan mais sérieusement à l'entendre parler je fais que ça baisé, certe c'est incroyable, relaxant et...
Stop Tom en pensant ce genre de chose tu lui donne raison.

- Regarde.

Bill venait de revenir avec un classeur à la main en pointant une écriture sur la couverture.

- Alors'

- Lis imbécile.

Comment ça imbécile, c'est lui qui est imbécile c'est pas moi qui vide deux bombes de laques alors que une heure plus tard on va à la piscine.

- album souvenir des...
Je marque un laps de temps, c'est quoi ce classeur c'est super bizarre c'est comme ca qu'ils me voient.

- Continue

- Des putes à Tom

Bill sourit fièrement, alors que moi je le regarde les sourcils froncé.

- Figure toi qu'avec les gars on a eu l'idée de créé un album souvenir de tous tes plans cul

- Non jure je l'avais pas remarqué, et déjà pourquoi vous avez fait ça.

- Comme ça.

Je le dévisager, jusqu'au moments ou goerg et gustav arrivent.

- Whooo tu m'expliques pourquoi on dirait que Tom veut nous tuer.

- Si c'est à cause de ta casquette que j'ai perdu j'irai tant racheter une.
Dit Gustav

- Attend t'as perdu ma casquette, bande de fils de...

- he, laisse maman en dehors de ca tu veux.

Je souffla, et partie en trombe dans ma chambre me préparer, un poil en colère contre le groupe.

Pdv Lou

Il était 19h30 l'heure de partire,
J'étais stressée à l'idée de devoir faire un discours devant des centaines de personnes.

Je m'installe dans ma limousine, le trajet se passe tranquillement, la voiture s'arrête devant une immeuble immense décoré pour l'occasion, un tapis rouge était déroulée devant l'entrée avec des barrières ou derrière ce tenait des centaines de paparazzis.

Arrivée devant je souffla un bon coup et me mis dans mon personnage.
Alice west.
La sauveuse

Le chauffeur m'ouvrit la porte, je sortie en souriant, adressant des saluts de tout les côtés.
Les lumières des flashs me donnait mal au yeux et tout ce bruit pour me poser des questions étaient incessant.

J'entre vite dans le bâtiment et part vers les loges qui m'étaient réservées, je m'assois à une chaise et répète le discours que j'avais préparé préalablement pour éviter de buter sur les mots devant tout le monde.

Cinq minutes plus tard,

Le présentateur de l'évènement arriva sur scène ce présentant à tout le monde faisant taire les bruits

- Bonjour et merci d'être présent ce soir, aujourd'hui nous avons une invitée d'honneur avec nous j'aceuille Alice west.

Un tonnerre d'applaudissements retentit signifiant que je devais aller sur scène.

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