chapitre 5

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Je joué dans le salon avec mes jouets, papa était encore au travail et c'est maman qui me gardé, elle ne m'aime pas, je ne sais pas pourquoi, heureusement que papa est là.

- FERME TA GEULE.

Je sursauta, elle m'avait crié dessus, je ne comprenais pas.
Je me suis mise à pleurer, ça ne lui a pas plus.

Elle me frappa si fort que je m'en évanoui, elle m'insulta tout en me frappant, c'est mots me faisait plus mal que ses coups.
Pourquoi elle ne m'aimait pas, le fait que je puisse vivre suffise à ce qu'elle me déteste ?

Avant de m'évanouir elle me dit une phrase que n'oublierai jamais.

- Si seulement tu serais morte à la naissance, sale monstre.

Je me réveille en sursaut, des larmes dévalant mes joues devenu humide.
Je n'avais heureusement pas réveillée Bill qui dormait encore.

Le réveil affiché quatre heures du matin, je ne me sentais pas bien il faut que j'aille prendre l'air.
Je vais sur le blacon de l'hôtel, il n'y avait personne alors je decide de m'asseoir sur banc.
La nuit était fraîche, et la lune éclairé l'hotel.

Je reste silencieuse, seule ma respiration ce fait entendre, encore une fois je pense à lui, il me manque,  le seul pilier de ma vie n'est plus la.
Parfois je lui en veux d'être mort, si il ce serait plus battus contre son cancer il serait encore vivant à mes côtés, mais cette pensé est égoïste car peut importe la volonté quand le cancer est en phase terminale on ne peut rien mise à part ce voir mourir lentement, et je le voyais s'affaiblir de jour en jour mais je pouvais rien faire.

Si j'avais découvert le remède plus tôt j'aurais pu le sauver.
Je me déteste d'être impuissante.
D'avoir été si impuissante.

J'entendis quelq'un s'assoir à côté de moi.
Je n'avais pas besoin de tourné la tête, je savais que c'était Tom, encore une fois comme il y a quatre ans.
Comme on dit le naturel revient au galop.

- Qu'est-ce que tu fais la ?

- Je te retourne la question.

- Je me sentais seule et j'avais besoin de prendre l'air.

- J'ai fait un mauvais rêve.

- Tu veux en parler ?

- Non merci c'est gentil.
Lui dis-je en souriant

Quelques secondes passe, puis un rire sortie de sa bouche.

- Pourquoi tu rigoles ?

- Tu me fait penser à quelqu'un.

- Et c'est qui si je peux me permettre?

- Une fille rencontrée il y a des années tu me fais penser à elle mais en plus souriante.

Il tourna sa tête vers moi et me fixa, quelques instants avant de ce lever.

-On  ferais mieux de rentrer, il commence à faire froid.

Il tourna les talons et partie
Je réparti dans la chambre quelques minutes après qu'il soit partie, je réussis à me rendormir.

Pdv Tom.

Je repars en premier dans ma chambre, la question qu'elle m'a posée, elle semblait connaître la réponse et si c'était elle ?
Non, il faut que j'arrête de penser à Lou, je ne l'a rêverai jamais, il faut que je m'en fasse une raison.
Alice n'est pas Lou.

Pour deux âmes solitaires Tom Kaulitz Où les histoires vivent. Découvrez maintenant