chapitre 3

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Chapitre 3 :
                « La vie est un mystère qu'il faut vivre, et non un problème à résoudre.» - Gandhi.

  Après le repas froid et horrible aux côtés du jeune Liam, je n'avais rien avaler malgré ma faim.
On est dans la voiture, destination chez moi au moins un endroit où je peux être en sécurité.

Il gare la voiture et arrête le moteur, j'ouvre la porte il me prit par le bras : rebelote.

- Quoi encore ? Crachai-je violemment.
- Tu n'as rien oublié . Il sourit malicieusement.
- Non rien n'a ce que je sache. Dis-je agacé.
- Ton numéro de téléphone. Répond-il comme si c'est une évidence.
- jamais. Je libère ma main de son emprise puis j'ouvre la porte pour sortir.

Lui, il ne bouge pas de son véhicule, j'ouvre le coffre et y prendsmes valises, je me dirige vers notre porte.

- Remarquable ! Lance le brun en applaudit.
- Casses-toi, enfoiré. Répliquai-je.

En moins d'une fraction de secondes je sens un souffle dans mon cou.

- Tu n'as pas idée de ta faute. Souffla-t-il dans mon cou avant que je ne ressente une intense douleur dans la peau de celui-ci.  

**

Je me réveille dans mon lit pleine de sang ,  une sueur froide couvre mon corps.

Je me précipite vers la salle de bain et regarde mon corps a la recherche d'une égratignure ou autres mais rien aucune trace de blessure, mon tee-shirt est bousier de sang mais surtout sur mon épaule gauche.

j'enlève mais habiles pour prendre ma douche et me débarrasse de toutes ces tâches .

je mets une petite robe bleue des ballerines noires et laisse mes cheveux encore mouillés tomber en cascade sur mes épaules .

Tout ce que je me rappelle c'est que je suis à Londres chez ma mère et que j'ai rencontré un garçon craquant a l'aéroport et qui m'a conduit ici.

Je vois l'heure qui affiche seize heures vingt.

je descends les escaliers pour arriver à notre salon, ma mère est allongée sur le canapé et des bouteilles de diverses boissons alcoolisées entoure ce meuble.

j'entre doucement puis ouvrent les fenêtres ce qui fait grogner ma mère, je ramasse alors toutes les bouteilles du sol que je mets ensuite dans un sac-poubelle pour les jetés plus tard, je secoue ma mère pour but de la réveiller.  

Maman ... Maman. Chuchotai-je.

- hum...hum... Elle bouge un peu.

-Maman lèves-toi c'est moi Hélène ! Soupirais-je.

-C'est vrai c'est toi ma fille . Dit elle a moitié endormi.

-Oui réveil toi tu m'as manquée.

Elle tourne encore quelques seconds avant de se redresser, elle me fixe quelques minutes sans rien dire.

J'aime ma mère mais me rappelé qu'elle ne fait pas d'effort pour arrêter de consommer cette merde me tape sur le système nerveux, mon sourire avait disparu elle m'avait promis qu'elle va au moins arrêter de ce drogué .

Ce fait un mois où je ne l'ai pas vu alors je préfère simplement ignorer ce sujet pour l'instant.

- Alors comment ça va maman ? Je la prends dans mes bras.
- ça va ma chérie. Elle me sourit. A par la gueule de bois je vais bien .
-Ah...
-tu es là depuis combien de temps ? Me demande-t-elle pour changer de sujet.
- Euh... je sais pas vraiment . Répondais-je.
-Pas gave, tu es belle, Tu allais quelque part . Gloussa-t-elle.
-je me suis dit je suis à Londres autant en profiter et sortir ! Tu viens. Rigolais-je à mon tour.
- Dans cet état ? Dit elle en baissant la tête vers son corps. Non je crois par vas-y toi Au moins quand tu reviendras tu trouveras le dîner près. Finit elle par dire.  

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