Chapitre 17

146 24 4
                                    




Chapitre 17 :

" Je ne cherche pas à connaître les réponses, je cherche à comprendre les questions. " -Confucius.

Je m'habille simplement puis décide de sortir. Je me dirige vers une vieille bibliothèque situé dans un cartier pommé.

J'entre et un grincement de porte ainsi que le son des petites cloches retentirent dans la pièce ce qui attire l'intention du vieux de l'accueil.

- mon dieu... je n'y crois pas. Dit le vieux en me voyant.

Je hausse un cil surprise de sa réaction.

- bonjour. Dis-je a mon tour.

Il s'approche de moi toujours l'expression stupéfaite au visage.

- je peux savoir pourquoi vous me regardé comme ça ? Je soupire.

Il empoigne ma main et me soulève le manche.

-hé ! Qu'est-ce qui vous prend ?

Je défait mon bras de son emprise et recule.

- Hélène Miller. Souffle-t-il.

-oui c'est mon nom complet, merci de me mettre au courant. je roule des yeux.

- je suis George Bernard, un des plus anciens douanier. il recule.

- Et j'en ai rien à foutre, bref donnez moi un livre sur la... sorcellerie. dis-je hésitante.

- attendez moi je reviens.

Il me regarde puis part derrière  son comptoir pour accéder à l'arrière boutique.

Je profite pour observé l'endroit, cette bibliothèque doit daté d'une trentaine d'années.

Des centaines de livre s'y trouvent, sur le comptoir de l'accueil, des objets bizarre étaient posé ,

J'approche ma main d'un collier qui attire mon attention, il avait comme pendentif le même dessin qui est tatoué sur mon bras.

Je le touche prudemment mais la voix du vieillard me fait sursauter.

-je suis vraiment désolé ma fille...

Je fronce les sourcils ne comprenant pas la raison pour laquelle il s'excuse.

Je vois quatre silhouettes habillé en noir s'approcher de moi en murmurant des choses , je me retourne et quatre autres y était également.

Je respire profondément mais je sens la température de mon corps s'élève et mon sang bouillir , des gouttes de sueurs coulent le long de mon visage.

Je sens un liquide étouffé ma respiration et brûlé ma gorge je rejette ce dernier et c'est du sang.

Je crie en relevant mes mains et en les regardant et les vitres du magasin explosent, je vois les silhouettes s'élève dans l'air puis je tourne mes poignées et des claquements ce font entendre puis les corps retombent par terre.

Ils étaient morts... je venais de leur brisé la nuque.

L'homme me regarde stupéfait, surpris mais aussi avec peur ce qui me fait sourire.

- je ... pardonnez-moi s'il vous plaît... j'ai une femme et des enfants... je-

Je m'avance vers lui puis lui brise la nuque d'un mouvement rapide.

Je sens mon pied ce cassé et une douleur s'empare de mes muscles je sens chaque os ce fracassé ne hurle de douleur.

Une chaleur pas habituelle réchauffe chaque bout de mon corps je sens des canine se former dans ma bouche , je me transforme en louve...

The Secret Où les histoires vivent. Découvrez maintenant