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Bilel.

QUE LA CHRONIQUE COMMENCE !

Il était accompagné probablement d'un de ses amis, un Renoi. Et un autre gars.

Bilel ?

Une ancienne connaissance j'ai vite arrêté de lui parler franchement, il me rend dingue. J'peux plus m'le voir.

Mais bon, vous me connaissez bien maintenant, tout ne se passe jamais comme prévu.

Je le regarde et croise le regard de son shab.

Il me regarde attentivement et sourit puis se tourne vers Bilel et lui parle.

Bilel se retourne et me regarde d'une manière qui me donne envie de le frapper fort.

Il s'approche de moi jusqu'à se tenir à ma hauteur.

Bilel :  mon shab il veut ton snap envoie j'lui donne.

Moi : wa 3likoum selem, je vais bien Al hamdoulilah et toi tu vas bien ?  J'peux avoir ton téléphone pour pouvoir taper mon snap ?

J'insistais  sur les mots pour lui faire comprendre que je ne me soucie pas de lui. Sachant que Bilel au moment de notre rencontre il était très proche de moi tout comme moi et j'ai appris plus tard qu'il m'aimait. Son comportement avait beaucoup changé par rapport à ça et nous avons finalement décidé d'arrêter de ce parler. Enfin j'ai décidé d'arrêter de lui parler.

Il me regarde la mâchoire contractée et me tend son téléphone.

Je m'est mon snap et le regarde avec un sourire provocateur.

Moi : voilà, tu pourras dire à ton shab que je l'accepte plus tard. Bisous.

Il me regarde de travers et s'en va.

[...]

Un peu plus tard, j'ai fait la connaissance de son shab.

Tarek 16 ans il est sénégalais mais dans la religion. Un Renoi comme je l'ai déjà dit. Yeux marrons, peau mate incroyable, il est parfait mais pas pour moi mdr.

Je lui ai demandé de me donner le snap  de Bilel pour que je puisse lui parler. Ça date.

Je l'ajoute et j'attends qu'il m'accepte.

Bilel : ouais ?

Moi: ça va ?

Bilel : au calme et toi ?

Je lui réponds pas, je le laisse en remis  le pauvre. J'ai mis un très long remis.

Bilel : ca va les bigs remis  ?

Moi : ouais ouais désolé c'est bon.

Bilel : t'inquiète au calme.

Moi : ok, pourquoi t'étais énerver taleur ?

Bilel : vas-y, j'me suis embrouillé avec mon shab, il rigoler lui, mais pas moi.

Moi : ok bien, pourquoi t'étais énerver contre moi à croire j'ai fait quelque chose.

Bilel : non, mais j'sais pas, j'étais énervé.

Les illusions rendent aveugles.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant