6.Bienvenue

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Ricanement

La seule chose dont je me souvenais était les yeux sombres de mon ravisseur.

« Le jeu commence » en quoi cela consiste t'il ?

Je le détestais vraiment.

Je savais dès le début que ce type allait me foutre dans la merde. Des notre rencontre , il y a été arrogant avec moi.

Comment avais je pu en arriver là ? Avec lui.

Tout le monde dit de lui qu'il n'a jamais été en compagnie d'une femme. Son gang est composé principalement d'hommes.

Un rire me parvenu à mes oreilles.

Qui est ce ?

J'inspectais les alentours. Je me trouvais sur une chaise en bois.

L'odeur d'humidité me parvenait au nez.

Quelle odeur insupportable.

Mes mains ainsi que mes pieds étaient attacher.

J'essayais de me débattre comme je pouvais. Il y avait une porte juste devant moi et rien d'autre.

La pièce était complètement vide.

- tu ne me vois pas, mais moi je te vois ?

J'essayais par tous les moyens de voir d'où provenait cette voix.

Mais il n'y avait personnes. C'était la voix de monsieur Leroi.

Je le reconnais facilement. Elle est ténébreuse, sombre avec un mélange d'accent entre l'italien et l'Américain.

très sexy..... Nan Ava, tu ne peux pas penser cela.

- où êtes vous ? Disais je en restant calme et poser.

J'en avais assez de lui.

- nulle part et partout à la fois me dit t'il

Hein....

- pourquoi suis je ici et attacher ?

- j'étais obligé de t'attacher. Je sais de quoi tu es capable lorsqu'on parle de répondant, mais le reste je ne sais pas encore.

Je vais le tuer.

Je veux que tu m'enlèves les menottes. Elles me font mal.

À force de tirer dessus, je savais que je m'étais ouvert la peau avec.

- je pense que tu vas rester encore un petit peu.

- je t'en supplie.

Allez...

Il arriva derrière moi et s'accroupit devant moi.

- tu étais ici depuis le début ?

- oui et alors ?

Connard !

- ta vue mes mains dans quel état elles sont, tu aurais pu me détacher.

- je m'en contre fou sache le. Ciao

Au non....

-reste

Après quelques heures à fixer le plafond, mes paupières devinrent lourdes et j'essayai de m'endormir, recroquevillé sur moi-même pour me réchauffer.

Je mourais de faim et j'avais envie de pisser

Je vais me faire pipi dessus !

Cependant, j'attendais qu'on m'ouvre cette foutue porte avec impatience.

Dans le châteaux de mon ravisseurOù les histoires vivent. Découvrez maintenant