Mémoire maudite.

Chapitre 14: blessure

Le lendemain Shoutendoji ce retrouve à devoir attendre une personne à  8 h du matin, la même qui avait insisté pour que tout le monde soit à l'heure. Yuki c'est mise la tête en bas, depuis une branche d’arbre, attrapant les cheveux de Akinori pour l'énerver.
Thomas regarde sa montre, pendant que Akinori tente de ce retenir de hurlé après Yuki.

Shoutendoji ce gratte la tête, assis sur une branche un peu en dessous de Yuki. Il jette un coup d'œil à une note sur son téléphone, récapitulant toutes les informations qu'il a réussi à avoir concernant les Jones, qui semble la base de sur quoi il doit chercher.
Il à remonter jusqu'au premier membre de cette famille dans le pays, arrivé environ un siècle plus tôt, mais après la génération de Victoria et son frère aîné Haruya il n'y a plus de traces d'eux.

Quelque minutes plus tard il entend des bruits de pas. Puis Natsume arrive enfin. Yuki ce redresse sur la branche puis en descend rapidement. Shoutendoji la suis.

- C'est ironique que la personne qui insistait le plus sur le fait d'être à l'heure sois la seule en retard.

- Désolé, mes parents avaient du mal à croire que je partait juste rejoindre des amis. Et en plus ils ont voulue faire venir mon frère avec nous.

- Bon et sinon vous avez tous ce dont vous avez besoin ? Je doute qu'ont rentre pour le repas du midi.

- J'ai de quoi manger et normalement c'est Thomas qui a de quoi boire.

Le garçon au cheveux noir fit un signe positif de la tête.
Une fois tous répartis entre chaque personnes ils ce dirigent vers l'endroit où vit Suzaku.

Ils ce retrouvent alors entouré par les nuages, l'immense montagne où ils sont arrivés et suffisamment haute pour qu'ils ne voient pas le sol ou le moindre signe qu'il y a quelque chose plus bas.
Des oiseaux commencent à se rapprocher d'eux, curieux de savoir ce qu'ils font là.

Une fois arrivé sur une montagne encore plus haute, grâce à l'aide des oiseaux, ils arrivent alors sur une zone assez dégagée, un homme au centre entrain d'entretenir une arme.
Il ce tourne légèrement, laissant voir un visage frêle, des yeux verts comme des émeraudes, des cheveux longs au couleurs des flammes. Il porte des vêtements amples au couleurs vives, ainsi que de nombreux bijoux en or, dont un qui lui sert le cou.

- Bien le bonjour vous tous. Vous êtes venus pour quel raison ?

- Ont voudrais savoir si tu aurais entendu parler d'esprit différents des yo-kais.

- Des esprits différents des yo-kais ?
Qu'es que vous entendez par la ?

- Des esprits d'humain qui aurait des traces de leurs morts sur leurs corps.

- Des traces de leurs morts sur leurs corps ?

Suzaku pencha la tête vers le côté gauche dirigeant sa main droite vers le collier autour de son cou. Shoutendoji et Yuki ce jette un regard. Tous deux ont un fort doute sur son comportement.
Avant que Suzaku n'est pu répondre à la question qu'ils lui avaient posé que quelqu'un lui tomba littéralement sur le dos. Byakko lui aggripa les bras en souriant.

- Byakko s'il te plaît... je suis occupé.

- Tu me laisse attendre depuis des millénaire !

- Byakko ça ne fait que depuis ce matin...

- Même !

Byakko croise les bras, énervé par la réponse de Suzaku. Il jette alors un regard vers celui au yeux verts avant d'attraper rapidement le tour de cou en or qu'il lui arracha d'un coup.

Suzaku eu un sursaut, plaçant ses mains à sa gorge. Shoutendoji remarque un filets de sang couleur rubis qui commence a tâché les vêtementsde celui au cheveux tricolore.
Suzaku eu un mouvement de recule avant d'ordonner à Byakko de lui rendre son collier.

Yuki ce diriga rapidement vers Byakko et lui sauta dessus. Attrapant le collier de ses mains. Puis elle saute sur son dos, lui donnant un violant coup dans sa colonne vertébrale. Byakko laissa échapper un cris et lâcha définitivement le bijou.

- Il faut t'apprendre la définition de propriété où quoi toi ?

- Et toi tu devrais faire attention à tes propos ! Je suis pas n'importe qui !

- Ça me fait une très belle jambe.

Yuki lui fit une grimace avant de lancer le collier à Suzaku. Elle pu avoir alors que celui-ci remettait le bijou un bleu inquiétant, Yuki ce dit qu'ils ont déjà trouvé leurs premiers esprits.

Suzaku fini de rattaché son collier, soupirant désespéré. Il jette un regard vers Yuki, il comprend facilement ce regarde qu'il connaît bien malgré qu'il ne le voit que très peu.

- Merci pour votre aide. Et j'imagine que tu as des questions à me poser, n'est-ce pas ?

Suzaku adresse un regard à Yuki. Cette dernière laissant échapper un sourire satisfait. Elle ce leva et fit craquer ses articulations.

- J'imagine que j'ai besoin de me présenter ? Messieurs l'Onryo.

- Hein ?

Tous les autres ce tourna vers elle, sauf Shoutendoji. Ne comprenant pas sa dernière phrase.

- La prochaine fois, si il en a une, faites plus attention au détails.

Suzaku soupira, l'aire triste. Il relève ses yeux verts, attendant la suite.

- Pour faire simple, car l'autre nous à presque rien dit sur le sujet, vous êtes quoi ?

- Comme Shoutendoji la dit nous sommes ce qui reste d'humain mort il y a longtemps. Où du moins on peut dire ça de ceux qui viennent à la basse.

- Heu c'est quoi la différence ?

- La différence est qu'il n'y a pas d'accord entre ceux qui vivent à la basse et ceux comme moi qui vivent en dehors. La dernière fois que j'ai croisé l'un d'eux il m'a insulté de fou.

- Ça vient d'où ça ? Et pourquoi j'ai la furieuse impression que votre truc est encore plus le bordel que les accords entre Oni ?

- Les onryos vivants isolé ont effectivement tendance a viré fou. C'est pour ça que ceux qui connaissent notre existence vérifie régulièrement les apparition d'onryos, pour éviter que cela arrive. Et pour la deuxième je ne sais pas.

- Comment ça se fait qu'on était pas au courant moi et les autres ?

- Car le roi m'a demandé de n'en parler à personne. Notre présence est mal vue par beaucoup de yo-kais. Alors il vaut mieux que ceux qui peuvent s'intégrer ne soient pas attaquer où insulté.

- Si seulement certains avaient ces considération plus étendue...

Yuki lève les yeux, grinçant des dents. Shoutendoji lui adresse un regard avant de posé une question qui lui brûle les lèvres.

- Est-ce que tu connaîtrais des Onryo de la famille Jones ?