Au moment même où la porte de la chambre se ferma derrière la noiraude, des larmes se mirent à couler le long de son visage, elle s'effondra sur son lit pleurant de tout son soule, son rat était venue se lover contre elle pour essayer de la consoler.
Toutes sortes de penser émerger dans son esprit, à quel point elle avait dut décevoir ses parents par son renvoie, la peur encore présente d'avoir presque perdu son seul ami, la rage qu'elle ressentait encore, la déception de ce retrouver exclu de la société magique, le désespoir de ne pas savoir agire qu'autrement que par la violence, cette solitude qui la ronge de jour en jour et tant d'autres.
Elle pleura encore longtemps, ses sanglots ne se calmèrent que vers le milieu de la nuit, au même moment le sommeil venait la faucher.
Ses yeux s'ouvrirent, elle était allongée sur le sol, tout était blanc autour d'elle, aucun song ne ce faisait entendre, le calme absolue. Elle se leva et tourna sur elle-même, se déplaçant un peu, mais le paysage ne changeait pas, du sol au plafond elle ne voyait que du blanc à perte de vue.
Cheryl tourna en rond un bon moment avant de comprendre qu'elle avait dû s'endormir. Alors qu'elle décide de se poser sur le sol car elle en avait marre de déambuler sans itinéraire précis, une légère brise se fit sentir.
Elle ce retourna vers celle-ci mais il n'y avais toujours que du blanc autour d'elle.
L'instinct de la noiraude lui intima de prendre la décision de se diriger vers la brise, peut-être qu'au bout d'un moment elle trouverait quelque chose au bout.
Plus elle avançait, plus elle avait l'impression que cela ne servait à rien.
Puis au loin, très loin, elle aperçus une tache noir.
Pris d'une subite montée d'adrénaline, Cheryl se mit à courir en direction de la tâche. Plus elle approche plus la forme ce définissez.
Arrivée à cinq mètres de la forme, elle se stoppa net. Un loup, C'était un magnifique loup noir, il été assis sagement et la fixer. Alors qu'il s'agissait d'une bête sauvage, elle ne se sentait pas en danger, bien qu'elle se méfie quand même.
Elle hésita pendant une bonne dizaine de minutes avant de s'en approcher. Après tout, il ne pouvait rien lui arriver dans un rêve, se dit-elle.
Une fois arrivée à quelque centimètre du loup, elle pus constater qu'il était plutôt imposant, ses deux orbes grises la fixer dans les yeux.
Elle lui tendit une main, paume vers le ciel, elle ne voulait pas qu'il ce sente agresser ou qu'il la fuit alors qu'elle avait enfin trouver autre chose que du blanc.
_ Bonjour, toi.
Le museau du loup remua légèrement, montrant qu'il reniflait son odeur, puis sans préavis il lui lécha le bout des doigts.
_ Haha, tu me chatouilles.
Cheryl, mise en confiance par le geste affectif du grand canidé, décida de passer sa main sur le crâne de la bête pour le gratouiller.
Au moment même où sa main rentra en contact avec le poils du loup, une violente bourrasque de vent l'entoura, elle plaça ses bras devant son visage pour se protéger.
Le vent se calma, alors qu'elle rouvrait ses yeux, elle vit que le décor avait changé.
La jeune sorcière se trouvait désormais dans une clairière ensoleillée, de grands arbres l'entourent, le soleil réchauffe sa peau, l'odeur de la nature et du soleil envahit son odorat, le chant des oiseaux caresse son ouïe.
Il est fou de ressentir aussi intensément les éléments dans un rêve pensa-t-elle.
Elle tourna sur elle même, observant chaque recoin, après avoir passer un moment dans un endroit seulement teinté de blanc, ce retrouver dans un lieux avec temps de couleurs vive, la déstabiliser légèrement.
Le loup toujours assis en face d'elle n'avait pas bougé d'un poil.
_ Dis- moi, tu sais où on est ? Ou c'est toi qui m'a amené ici ?
Pour toute réponse, le canidé se redressa sur ses quatre pattes, il la regarda, puis se tourna en direction de la forêt. Juste avant de ci enfoncer il tourna sa tête vers la sorcière comme pour l'intimer de le suivre.
_ Hé ! Attends- moi !
Cheryl se mit à courir après la loup, elle le suivait tant bien que mal à travers les arbres, essayant d'éviter les racines au sol pour ne pas tomber, même si c'était un rêve elle ne voulait pas tomber.
Le loup ralentit la cadence, il se dirigea vers un gros rocher. Un rayon de soleil éclairant pile cette place au milieu des arbres. Au sommet de cet immense rocher se trouve une silhouette.
La silhouette tourne la tête vers elle, un sourire chaleureux se trouve sur ces lèvres, une voix se fait entendre.
_ Je te rencontre enfin.
Le cœur de la jeune sorcière s'emballe, elle sent un frisson la parcourir, ses mains deviennent moites.
Puis.
Le noir complet envahie Cheryl, mais un sentiment d'apaisement l'envahie malgré la situation qui aurait pus être bizarre pour n'importe qui d'autre.
Le lendemain matin, le réveil fut compliqué, Cheryl avait une migraine, ses yeux étaient rouges et gonflés dut à ses pleurs, sa voix était enrouée et sa bouche pâteuse.
Les seuls souvenir qu'il lui rester de la nuit, été un loup noir, un sourire chaleureux et quelque parole qui lui procurer un sentiment d'apaisement, malheureusement elle ne serait reconnaitre la voix ou la silhouette de la personne si elle exister réellement..
Elle sortit difficilement de son lit et se dirigea vers la salle à manger où ses parents étaient déjà attablés.
_ Bonjour ma chérie
Son père se leva, l'enlaça et lui déposa un baiser sur le haut du crâne. Pour toute réponse, elle hocha brièvement la tête.
L'homme était grand, le teint halé, ses cheveux était aussi noir que ceux de sa fille et possédait les mêmes ondulations. Les seul caractéristique qu'il possède et qui été différente des deux femmes de sa vie, été des oreilles plus pointu que la normal et des pupilles d'un violine pourpre féerique.
Cheryl prend place à côté de sa mère qui lui embrasse la joue. Ils avaient décidé de la laisser déjeuner tranquillement avant d'aborder le sujet fatidique.
Le déjeuner se passa dans le silence, voyant les regard inquiet et insistant de ses parents sur elle, Cheryl commença à leurs expliquer comment elle avait dû supporter le rejet de masse, de plus en plus flagrant par les autres élèves, le harcèlement subi qui devenait violent, les insultes la traitant de monstre, de chose et bien pire encore.
Elle parla en dernier, du moment qui l'avait rendue furieuse, quand elle avait dû sauver Neige d'une mort certaine.
Tout le long du récit elle avait gardé ses larmes, mais au moment de raconter les derniers évènements, quelques larmes ont roulé sur ses joues, sa mère l'enlaça pour la réconforter.
Lissandra savait qu'il était compliqué de s'intégrer quand on était un sorcier avec la moitier de son sang mélanger à celui d'une créature magique, mais alors avoir le sang mélanger avec deux créatures magiques devait être très difficile.
Son envie d'arracher la tête de tous ceux qui auraient pu faire subir cet enfer à sa fille prenait de plus en plus de place dans sa tête, ses yeux bleu s'éclaircisse de plus en plus et sa peau commençait à briller.
Aerin, son mari, s'en rendu compte, même s'il était lui même très en colère, il ne voulais pas qu'une boucherie sois faite, il passa un bras dans le dos de sa femme pour venir le lui frotter, il étendu son aura apaisante pour la calmer.
_ Allez calmons nous, le mal est fait. Dit-il. Pour le reste de l'année je te donnerai des cours particuliers Cheryl et pour l'année prochaine nous allons voir ce que nous pouvons faire.
_ Bonne idée chéri ! Cheryl, tu verras que tout ira mieux avec le temps.
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Une Française à Poufsouffle OC/ Draco
أدب الهواةDans la vie on a toujours le choix ,de détester ou aimer, assumer ou s'enfuir, avouer ou mentir, être sois même ou faire semblant Comment une jeune sorcière française ce retrouve expulser de Beauxbâtons et fini par continuer sa scolarité à Poudlard...