Une Française à Poufsouffle OC/ Draco

Chapitre 8

Cheryl se sentait apaisée, une douce chaleur l'enveloppait, un poids sur elle lui donnait l'impression de ne pouvoir se réveiller, la respiration régulière qu'elle entendait au-dessus de sa tête la rassurait.

Attendait.

Une respiration ?

Elle ouvrit d'un coup les yeux, de la lumière passer entre les rideau tiré de la fenêtre en face d'elle, en analysant la pièce elle pus s'apercevoir qu'elle n'était pas dans sa chambre et au vue du vert dominant elle ne devait pas non plus être dans sa maison.

Elle retient son souffle, elle venait de s'apercevoir qu'elle tenait contre elle en long bras, et que le poids sur son corps en était un deuxième, la maintenant contre un corps chaud qui avait l'air beaucoup plus grand et plus large que le sien, elle sentait la poitrine dans son dos grandire au même rythme que la respiration.

Ses yeux cherchent une horloge pour connaître l'heure, la pendule indiquait 6h, il restait un petit moment avant que le réveil ne sonne.

Elle tourna le plus lentement possible la tête pour voir qui était la personne derrière elle,sans la réveiller, ses yeux aperçut une chevelure blonde, presque blanche et un visage au trait fin endormi tout près d'elle.

Le visage de Cheryl rougit instantanément, des fragments de souvenirs lui reviennent. Si c'était encore possible elle serait devenue encore plus rouge aux souvenirs du moment ou elle c'est jeter dans ses bras en pleure.

Non mais qu'elle idiote, qui été assez désinvolte pour se jeter dans les bras de quelqu'un qu'elle ne connaissait à peine, surtout ce garçon qui était un mystère, surtout qu'il devait ne la voir que comme une gamine et une pleurnicheuse maintenant.

Le visage endormi de Draco n'était qu'a quelque centimètre du sien, elle pouvait presque sentir son souffle sur elle, elle observa silencieusement ses lèvres fine mais pleine et légèrement rosée, son petit nez en trompette, ses yeux possédait de long cils. D'aussi près le corps du jeune homme paraissait beaucoup plus large qu'elle, ses cheveux brillant avec le soleil, lui donnaient envie d'y passer les doigts.

Elle se gifla mentalement, elle devenait timbrée, c'était sur est certain, elle devait partir de là avant de faire une bêtise.

Cheryl sortit du lit aussi discrètement que possible, il avait remué légèrement quand son bras qui était sur le petit corps, avait été posé sur le matelas mais miraculeusement Draco ne s'était pas réveiller.

Une fois sorti des draps qui était chaud un frisson la parcourut et elle se rappela enfin qu'elle n'était habillé que d'une simple chemise de nuit, les chaussons qu'elle aurait dû avoir plus tôt aux pieds, été posée devant le feu de la cheminée qui crépité en face d'un canapé.

Le froid mordait son corps, en cherchant dans la chambre du blond elle trouva une cape noir et verte, surement à Draco, qu'elle eu l'audace d'emprunter pour sortir inaperçus des quartier du serpentard.

En cherchant bien elle trouva un petit bout de parchemin et une plume posé sur un bureau pour écrire un mot pour ne pas partir comme une voleuse, on pouvait y lire.

Merci, beaucoup pour hier soir,

Je suis vraiment, vraiment désolé pour le dérangement occasionné.

Je promet de me rattraper !

PS : j'emprunte une de tes capes, je ne voudrais pas me faire attraper après l'aide que tu me fournis, promit je te la rendrai propre avant la fin de semaine.

T.C

Elle enfila la cape, elle était beaucoup trop grande pour elle, le bout frotter le sol, une odeur particulière sens dégager.

Sur la table de nuit se trouvait une boite avec son nom dessus, vue la taille du paquet son ami Neige devait être dedans, elle souleva légèrement le couvercle et aperçus une fourrure blanche, elle le referma immédiatement ne voulant pas se remettre à pleurer, même si ses yeux commencé déjà à briller dangereusement.

Cheryl resserra la cape autour d'elle, pris la boîte contre elle et déposa le message à sa place.

Elle essaya de faire le moins de bruit possible pour sortir de la chambre du grand blond ainsi que de la salle commune, scrutant bien que personne ne soit présent et ne la remarque, elle ne voulait pas faire un scandale à son aîné alors qu'elle ne le connaissait pas et qu'il avait l'aire d'avoir déjà une vie mouvementé.

Malgré tous ses efforts, il se trouve que quelqu'un l'avait bien aperçu sortant de la chambre du préfet.