~ Chapitre dix-sept ~

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PDV Akane

   J'ouvrais les yeux avec le désagréable picotement que la transformation en démon provoquait dans mon corps et une fine couche d'eau en fusion sur mes bras.

   Le chakra faisait des merveilles quand il s'agissait de chaleur.

   Je m'étirais et me levais avant de prendre un mèche de mes cheveux et l'observer.

   Kurama... la transformation complète dure combien de temps ?

  Si tu n'utilises pas le chakra que je te donne un jour et demi, je dirais...

   D'accord. Et enfaîte ma peau va aussi devenir blanche ?

   Oui. On pourrais même te confondre avec un Otsutsuki !

   ... Un Otsutsuki... Comment ils vont faire si Naruto, Sasuke et les autres ne rencontre pas Kaguya... il ne sauront jamais la puissance d'un membre de cette famille et, quand ils arriveront sur Terre, ce sera l'apocalypse...

   Effectivement.

   ... Bon, on s'occupe de ça plus tard. Première étape : entraînement.

   Et c'était quoi le truc, tu sais, le fil blanc ou je ne sais pas trop quoi.

   Bah j'allais te poser la question mais bon... d'abord trouver le déclencheur puis en deuxième s'entraîner si possible. Des idées ?

   Mhh... tu as bien activé ton sharingan, non ?

    Et tu pense que c'est mon mangekyou sharingan qui en est la cause ?

   J'en suis sûr. Souviens toi, dans ton autre vie sur Wiki-truc tu as lu que chaque pupille avait une capacité différente.

   Ah... mais le nom de la technique ne résonne pas dans ma tête comme la dernière fois...

   Deux possibilités : soit c'est le même soit tu n'as pas utilisé ta technique assez longtemps pour savoir son nom.

   Ça ne coûte rien d'essayer. D'ailleurs tant que j'y pense, il faudra que je m'achète, ou vole, un lit.

   Tch. Débrouilles toi comme tu veux mais fait le plus tard !

   Je hochais la tête avec un petit sourire.

   J'activais mes sharingans.

   Le monde devint incroyablement plus net.

   Je dois faire quoi pour activer ça ?

   Heu, frapper un truc ?

   J'ai déjà frappé plein de chose avec mon mangekyou, je n'avais jamais vu ça !

   Bah, essayes quand même !

   Je le voyais presque lever les yeux au ciel.

Seconde chance rouge viveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant