~ Chapitre vingt-quatre ~

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PDV Akane

   Je souriais à mon professeur sans aucune discrétion.

   Comme le plan le voulais, je deviendrais la fan numéro une de Kakashi.

   Et ce ferais encore pire si il serait en retard !

   Je prenais évidement un malin plaisir à le perturber.

   Kakashi, le ninja copieur, gênée par une gamine.

   C'était amusant.

- Alors... je m'appelle Hatake Kakashi, je ne dirais pas mon âge, ce que j'aime et ce que je n'aime pas ne concerne que moi et je n'ai pas de rêves. À vous.

   Kuro se redressait avant de commencer à parler à tout vitesse.

- Alors moi je m'appelle Kuro Hoshi, j'ai douze ans et j'adore faire des blagues.

   Notre sensei marmonait.

- J'avais cru comprendre oui...

   Kuro continuait.

- Je déteste les idiots, les empotés et encore plus les personnes superficielles.

   Tout lui.

- Et pour finir... heu... bah je veux devenir un grand ninja.

   Kakashi acquiesçait distraitement et incitait Hotaru à continuer

   Ce dernier se raclait la gorge.

- Hm... Alors, je m'appelle Hotaru Minji, j'ai treize ans depuis une semaine et j'adore lire. Je déteste les livre sans saveur et les hypocrites.

   Il penchait légèrement la tête.

- Et je dirais que je veux sauver quelque chose.

   Le gris hochait la tête.

- À la gamine.

   Les garçons rigolaient alors que ma lèvres se contactait.

- Je m'appelle Chihana Hito et j'ai douze ans. J'aime dessiner, écrire et lire, les ramens, les dangos et les cookies. Et j'adore notre sensei.

   Kuro m'interrogeais alors que Kakashi détournait le regard.

- C'est quoi un cookie ?

   Je secouai immédiatement la tête avec un air désespéré.

- Tu ne peux pas savoir mais je te ferais goûter. Un jour. Si j'ai pas la flemme.

- Ah.

   Je continuais ma présentation.

- Donc... hn... je déteste les manipulateurs qui manipulent en mal les gens, je hais le mot famille et ce qui y fait référence et je n'aime pas les gens qui font référence à ma taille. Si j'ai un rêve, je dirais que ce serais sauver certaines personnes et ce sera fait avant ma mort.

   Les meilleurs mensonges contiennent une partie de vérité après tout.

   Je ne mentirais que quand ce sera nécessaire... évidement.

   Nous reportions tous notre attention sur notre professeur.

   Il soupirais avant d'annoncer ceci avec un grand sourire :

- Vous n'avez pas encore totalement passé le test pour devenir genin. Seul neufs de la trentaine d'élève le deviendront. Vous avez donc plus de cinquante pourcents de chance que retourner sur les bancs de l'école.

   Je fis semblant d'être étonnée en ouvrant légèrement la bouche pendant que mes deux amis tirais des têtes mémorables.

   C'est dommage que les appareils photo n'existe pas ici.

Seconde chance rouge viveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant