~ Chapitre dix-neuf ~

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PDV Akane

   Ça faisais un peu plus d'une semaine que je faisais tourner en rond les ninjas de Konoha.

   Des avis de recherche avaient même été placardé dans les rues.

   Je suis sûre que Luffy aurait été jaloux de l'attention que le village m'accordait.

   Je ne pouvais pas aller quelque part sans entendre mon surnom dans une conversation.

   Les villageois n'ayant aucune imagination, ils m'appelait "Le Kistune".

   J'aurais trouvé mieux.

   D'ailleurs pendant un des combat contre l'Anbu, j'avais revu avec mes mangekyou le fil blanc.

   J'avais compris ce que c'était.

   C'est la faiblesse. Ça montrait la faiblesse d'une surface si on ne la connaissais pas déjà.

   J'avais affronté Shisui par accident quand j'étais au village.

   Je savais plein de chose sur lui mais jamais je ne mettais battue contre lui pour de vrai et il n'étais pas Shisui pour rien.

   Trop fort pour gagner sans cet avantages quand un vrai combat s'engageait.

   J'imagine que je le savais alors cette particularité s'est activé.

   En même temps qui savais le moyen le plus efficace de frapper une falaise ?

   J'avais créé une montagne de faux papier et les avait discrètement introduit dans les originaux.

   J'étais même allée jusqu'à faire des faux rapport médicinal.

   Je m'appelait Chihana Hito.

   Je n'étais pas aller chercher loin pour le prénom.

   Celui d'une camarade morte suffisait je suppose...

   Le Hokage m'avait fait appelé aujourd'hui alors j'y allais mes cheveux teint en rouge avec une plante du coin.

   J'aurais pu me faire passer pour la sœur de Sasori ou la fille de Kushina, je suis sûre que ça serais passé.

   Sauf que Kushina était morte et Sasori un criminel donc je ne pense pas mais vous savez ce que je voulais dire.

   Je ne n'avais pas tenté d'écrire ça dans mes faux papier et avait juste demandé que l'on m'intègre à une classe de dernière année après un test.

   J'avais fait le test et ils m'avaient jugé apte à passé dans cette classe.

   Évidement j'avais menti sur mon âge...

   Ça ne passais pas inaperçu un enfant de cinq ou six ans qui passe directement en dernière classe.

   Non, j'avais maintenant douze ans et demi et j'avais juste une maladie inconnue pour eux qui m'avais fait arrêter ma croissance et fais perdre l'usage de mes yeux.

   Car, oui, je ne devais pas montrer mes yeux, au cas où, un jour, ils découvriraient ma vrai fausse identité.

   Retourner sur les bancs de l'école n'étais sûrement pas un rêve.

   Heureusement, ou malheureusement, c'était dans la deuxième classe de dernière année que j'avais été placé.

   Je ne reverrais pas Iruka.

   Aujourd'hui, j'allais en classe avec un nouveau sac, acheté par mesure de sécurité.

   Je le remplissais d'arme, de pansement et du Doliprane de ce monde. J'y glissais mon carnet et le prenais avec mou.

Seconde chance rouge viveOù les histoires vivent. Découvrez maintenant