9-Les souvenirs

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PDV DE NABILA


          La nuit avait tombé . Je dormais dans une chambre avec Lucia et Monica et Juan dans une autre . Tristan lui dormait seule .

J'étais allongé près de Lucia qui était profondément endormi sur le dos les poings fermés. La main enfoui dans ses cheveux en boucle qui était d'un noir très foncé puis je me suis à remémorer des souvenirs .


             MOI : je veux pas que que Lucia grandisses sans  son père à ses côtés . J'aimerai tant ne pas avoir à lui dire quand elle sera grande que son père est le parrain de la mafia colombienne


CARLOS: Lucia , Luciole c'est presque la même chose  je préfère l'appeler ma petite Luciole au lieu de ma puce. Les lucioles sont  lumineux tu vois comment elle brille.


        CARLOS: Tes petites lèvres sont si adorable . Tu es si mignonne. J'aimerai que tu ressembles à ta mère quand tu seras grande ....


        CARLOS je pourrai passer toute la nuit avec elle  dans mes bras je m'en lasserai jamais .

   CARLOS: Juan Lucia et toi vous êtes comme la prunelle de mes yeux et je vous protègerai au détriment de ma vie .

                  CARLOS: Je ne sais pas quand je vais quitter ce monde je ne sais pa si je vais pouvoir voir Lucia grandir.


        Mon visage devena sombre tout à coup.

J'aurai tellement préféré que les choses se passent autrement Carlos , j'aurai tellement aimé.


**************


La nuit avait encore tomber et je n'arrivais toujours pas à fermer les yeux , De peur que les méchants surgissent pendant mon sommeil. Je n'arrêtais pas de tourner dans tout les sens sur le lit l'air anxieuse et en tourmente .

           Puis Je décida de me lever et me rendit au salon histoire de faire une petite balade nocturne avant de retrouver le sommeil.

Quand arrivé je tomba sur Tristan allongé sur le canapé la tête contre l'accoudoir les bras croisé et son pistolet posé sur la table basse en vitre puis je me suis mis à ressasser les propos qu'ils avaient tenu envers Carlos .

J'ai attendu parce que je l'aime ...je n'ai
pas que des yeux pour elle , et Oui Carlos
Monténégro je suis amoureux de votre femme et je
suis prêt à l'offrir la vie que vous n'étiez pas prêt à
lui donner.


Puis J'arbora un sourire .

Alors que je m'apprêtais à me retirer mes pieds se cogna contre la table basse et en un clin d'œil le pistolet était déjà dan la main de Tristan réveillé et pointé en ma direction .


TRISTAN: Qui va la ? Présente toi . Avant que je t'éclate la cervelle !

MOI: Pitié ne me tuez pas !


Il reposa son arme sur la table puis ont bidonnèrent tout les deux .

MOI: Désolé je ne voulais pas te réveiller .

Traquer par la mafia Où les histoires vivent. Découvrez maintenant