CARTILAN

Chapitre 64

Pov Carina

Je retirai le canon de son front en baissant mon bras. Je souriai de toutes mes dents puis mit le pistolet dans ma poche.

– Tu vois quand tu veux...

J'étais tellement satisfaite.

– Tu as osé me tirer dessus ?

– Mh, ce n'est qu'une petite blessure.

Bon il y avait un peu de sang mais ce n'était pas si grave que ça.

– Petite ?! Tu as vu la plaie ?!

– Tu l'as cherché, tu as dis que je ne pouvais pas tirer, mais si, je peux te tirer dessus.

– Tu penses que c'est un prank toi ? Dit une voix que je reconnus.

– Non... ça a l'air bien réel.

Nous nous retournions tous les deux. Rafael, Damian et Rosalia étaient là.

– Qu'est-ce que vous faites la ? Demanda Felix.

Je le sentais un peu sur les nerfs... il était si en colère ? C'était de sa faute.

– Ce n'est pas la question Felix, la question c'est depuis quand tu te fais maîtriser par une femme ?! Bordel j'aurai du filmer ! Cria presque Damian.

– On a tout vu et bordel Carina t'étais trop sexy. Me complimenta Rafael.

– Merci !

J'étais plutôt fière de moi, maintenant je pouvais intégrer le cartel...

– Et ouais les femmes peuvent maîtriser les hommes, j'en ai maîtriser pleins moi ! S'exclama Rosalia.

– C'est parce que t'es la meilleure maman.

– Merci Damian.

Elle lui souria sincèrement tandis que Damian la devisagea en pinçant ses lèvres.

Elle fit de même ensuite.

– Tu rejoins enfin le cartel Carina, moi perso j'suis trop content.

– Rafael faudra que tu m'apprennes des trucs ! Je compte sur toi !

– Evidement Rina, tu deviendras une vraie pro.

J'étais contente que Rafael, Damian et Rosalia étaient d'accord avec ça.

– Putain mais pourquoi tout le monde l'a complimente alors que je viens de me faire tirer dessus ?!

– Toi ta l'habitude, le fait qu'elle t'ai tirer dessus la rend tellement... putain nan mais si elle serai pas ma belle soeur-

– Damian, on sait, tu le dis à chaque fois. Souflai-je.

– Damian tu n'as pas honte de dire ça devant ta mère ?

– Désolé mam-

Le coup que sa mère lui mit à l'arrière du genou le coupa. Il tomba, genoux à terre.

– Maman !

– Enfant égaré.

– C'est toi l'enfant éga-

Elle lui tira les cheveux en arrière pour qu'il la regardait.

– Tu dis ça à ta mère ?

– Désolé désolé !

– Je préfère. Dit-elle en posant ses lèvres sur son front avant de lacher ses cheveux.

Je souriai de toute mes dents en voyant la scène. Damian ne savait plus à qui il avait à faire.