Chapitre 101

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Pov Damian

En allant voir à la fenêtre, ces hommes étaient déjà devant la porte.

C'était pas vrai ?! Putain Damian mais qu'est-ce que tu étais con !

Je ne réfléchi pas, je pris Naïm dans mes bras pour me précipita chercher Malia.

C'était qui eux ? J'aurai dû être sur mes gardes en venant ici putain !

Quand je vis Malia dans le couloir, je pris son bras sans discuter et me dirigeai au fond de la maison, là où j'avais garé ma voiture.

Heureusement que je ne l'avais pas garé devant.

En entendant plusieurs fracas et tires, je sus qu'ils étaient entrés.

- Qu'est-ce qu'il se passe Damian ?!...

- Je t'expliquerai tout à l'heure, là on doit partir d'ici.

Naïm pleurait silencieusement dans mes bras et putain je détestais ce mal être dans lequel je me sentais actuellement. Il ne devait rien leur arriver.

- Tout ce que j'ai a vous demandez c'est de me faire confiance.

Je posai Naïm en arrivant à la fenêtre. Je commençao à monter sur le bord. Malia s'appreta à dire quelque chose mais elle ravala sa phrase.

Je regardais la hauteur de la fenêtre, si je sautais, il ne m'arrivera rien.

- Attendez là. Dis-je avant de sauter dans le vide.

Je m'étais merveilleusement bien receptionné. Heureusement que je m'étais bien entraîné...

Je tendis mes bras en direction de Malia et Naïm.

- Sautez !

Malia écarquilla d'abord les yeux mais elle finit par prendre son fils et le poser sur le bord.

Je savais qu'elle me faisait toujours confiance.

Naïm n'hésita pas à sauter dans le vide, les yeux fermés, sûrement à cause de la peur.

Une fois dans mes bras il rouvrit ses yeux et je le mis par terre.

Je retendis mes bras pour attendre Malia mais mon cœur se mit à battre à une vitesse folle quand j'entendis la porte de la pièce où elle était se casser.

Elle se précipita sur le bord puis sauta dans le vide à son tour. Je la reposai par terre une fois dans mes bras et reprit Naïm dans mes bras. On devait se bouger.

Je me mis à courir aussi vite que je pu, je croyais que je ne l'avais jamais fais aussi vite. Les coups de feu se multipliaient et des balles atterissaient juste à côté de nous.

J'accelerai la cadence mais me rendit compte que Malia ne la suivait plus.

Je mis rapidement ma mains sous ses cuisses pour la porter comme un sac à patate et comme ça, nous arrivions rapidement à la voiture. Je la déverouillai et mit Naïm dans la voiture sans attacher sa ceinture. On devait faire vite. J'entrai de mon côté en même temps que Malia et j'allumai le contact.

Quelques secondes plus tard, nous étions enfin partis.

Putain de merde ! J'étais frustré et en colère en même temps. J'allais chez Malia sans me dire que des gens me suivraient peut être. Je n'avais pas fais attention putain mais qu'est-ce que j'étais con !

Si Naïm n'avaient pas dis qu'il y avait des hommes qui venaient. L'un de nous serait mort.

- T-Tu sais qui ils étaient ?

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