Chapitre 100

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Pov Julia

1 semaine plus tard.

Nous étions tous réunis à l'hopital pour qu'Alejandro passait une Coronarographie. Le traitement avait normalement fonctionné vu le peu de douleur qu'il avait ressentit, mais on savait jamais.

- On va tout d'abord vous faire passer l'electrocardiogramme effort puis la coronarographie. Expliqua le médecin.

- En français ça donne quoi ? Demanda Alejandro

- Euh, en gros vous allez faire des exercices et on pourra examiner votre cœur.

- Ça dure combien de temps ?

- Pas plus de 30 minutes en général.

...

Nous étions revenus dans la salle précédente et maintenant le docteur était en train de lui faire passer la radio.

Rosalia était la plus stressée.

- C'est bizarre... marmonna le médecin.

- Q-Quoi qui est bizarre ? Il y a un soucis ?... S'inquieta Rosalia.

- Non au contraire, on dirai que votre sang propulse bien ou plutôt mieux dans votre cœur comment est-ce possible ?

Toute la pression qui s'était exercée était descendue.

Julia, tu as réussie.

- Je ne comprends pas mais en tout cas, vous n'avez plus besoin de prendre de traitement maintenant. Mais je ne comprends toujours pas... On dirai que Dieu fait bien les choses...

- Ça c'est sur !

Alejandro était enfin sorti d'affaire. J'étais fière de moi.

...

Une fois à la sortie de l'hôpital, Rosalia lui sauta littéralement dessus et Alejandro la tint dans ses bras.

- Ah putain je suis tellement heureuse, tu ne vas pas mourir !

- Ouais je ne vais pas mourir Rosalia, du moins pas maintenant.

- Ah ça c'est sur parce que là, la vieillesse commence à te prendre.

Katérina se mit à se taper un fou rire en pointant Alejandro du doigt. Mais elle se stoppa quand il la regarda.

- Damian si tu continues ce n'est pas la vieillesse qui va prendre ta vie mais moi.

- Tu peux pas, maman sera trop triste après.

Celle ci roula des yeux avant de secouer négativement la tête. Vexé, Damian se rendit dans la voiture.

Rosalia descendit des bras d'Alejandro pour venir me serrer dans les siens.

- C'est grâce à toi, t'es géniale.

Ça me faisait chaud au cœur qu'elle me remerciait.

- Merci.

Elle se décolla de moi en me souriant. Son sourire était vraiment contagieux.

CARTILANOù les histoires vivent. Découvrez maintenant