CARTILAN

Chapitre 28

Nous étions arrivés 'fin Felix venait d'arrêter la voiture donc je supposais qu'on était arrivés. Je relevai ma tête mais fut surprise de trouver aucun aéroport aux allentours.

– On est où ? Pourquoi on est pas à l'aéroport ?

– J'ai une tête à prendre l'avion public ? Aller descends.

Je m'exécutai, mais on va prendre quoi alors ? Le bateau ?

Il verouilla la voiture puis s'en alla, sans me calculer. Je soupirai puis courrus pour le rattraper, sympa le mari. Plus nous avançions moins il n'y avait de choses aux allentourd, elle est où la mer ?

Je fus bouche bé quand je vis le moyen de transport que nous allions emprinter jusqu'au Etats-Unis. Mais oui ! Pourquoi je n'y avais pas pensé ?!

– On va voyager... En jet privé ?!

– Evidement, viens depêche.

– Trop bien !

J'étais encore plus excitée que je l'étais déjà. Moi ? Voyager en jet ? Incroyable ! Il était magnifique en plus.

Une fois en bas du jet, un homme apparu, c'était sûrement le pilote ?

– Oh bah, tu as ramené ta femme ?

– Ouais comme tu le vois.

– Charmante, moi c'est Marc. Me salua t-il

– Et moi Carina ! Ravie de faire ta connaissance.

– De même, aller montez !

Je montai les quelques escaliers, Marc m'offrit un sourire chaleureux et me tendit sa main que je pris pour m'aider à monter. Je découvris enfin l'intérieur de cette beauté. J'allais m'évanouir.

– J'y crois pas ! Il y a même un mini frigo ! Et les canapés sont magnifiques !

– C'est la première fois que tu montes dans un jet ? Me demanda t-il

– Oui, et je ne veux pas que ce soit la dernière, c'est incroyable.

– Felix, ta femme est trop mignonne et toi qui me parlait mal d'elle.

– Ta gueule.

Il avait... mal parlé de moi ?

Ma bonne humeur chuta d'un coup, personne n'avait jamais bien parler de moi de toute façon. Pourtant je n'avais jamais rien fais de mal, je ne comprenais pas, pourquoi est-ce qu'ils me detestaient tous ? Pourquoi même quand j'essayais d'être sympa on me detestait ? J'avais envie de pleurer alors j'allai m'assoir sur l'un des fauteils qu'occupaient le jet en attendant le décollage.

Je vis Felix s'assoir sur un fauteuil un peu plus loin du mien, il était sur son téléphone, encore. Il avait mal parler de moi, j'y croyais pas... Je ferai mieux de dormir.

...

J'ouvris les yeux à cause d'une turbulance. L'horloge numérique indiquait 17h23. J'avais dormi un peu plus d'une heure... Je me levai de mon siège pour le rendre devant le mini frigo.

Je l'ouvris et me prit une bouteille de coca cherry.

– Prend en moi une aussi. Prononça Felix.

– Tu te lèves, j'suis pas ta chienne.

Déjà il oubliait la politesse alors il pouvait rêver pour que je fasse ce qu'il me demandait.

– Wow wow, pardon ?

– Je ne suis pas ta chienne. Répétai-il.

Je me redirigeai vers mon fauteuil mais il me prit le poignet.