8/Road trip 2 🍁

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Je ne sais pas ce qu'il est capable de faire....




Voilà maintenant un demie heure que nous roulons, dans un silence lourd, pesant, aussi pesant que l'air du désert.
Il est difficile de mesurer la distance qui nous reste a faire, puisqu'il n'y a aucun point de repère auquel ce fier, le paysage défile, sec, aride, identique.

Malgré la situation où je suis, je ne peux m'empêcher d'être hypnotisé par ce que je vois, plus nous avançons plus les lumières de la ville s'agrandissent et s'étalent, elles brillent, rivalisant avec le ciel étoilée, au plein milieu de la plaine,...

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Malgré la situation où je suis, je ne peux m'empêcher d'être hypnotisé par ce que je vois, plus nous avançons plus les lumières de la ville s'agrandissent et s'étalent, elles brillent, rivalisant avec le ciel étoilée, au plein milieu de la plaine, seul trace qu'il peux y avoir de la vie, dans ce désert sans fin.

Je présume que nous en sommes plus loin, car les stations services défilent, de plus en plus nombreuses, ainsi que quelques voitures abandonnée, pourissant la, sous le soleil de plombs.

Il est bientôt minuit, mais à mon grand étonnement, nous croisons des voitures se dirigent à contre sens. Plus nous avançons dans la ville, plus ses voitures se font nombreuses, la plupart étant des pick-up ou des camionnettes toute rouillées.

Mais que diable vont-ils faire à minuit dans un endroit pareils ?

- Où ils vont ? hasardai je, en regardant passer une camionnette dont les phares m'éblouissent.

Bien évidemment, je ne reçu aucune réponse à ma question.

J'en déduis que les Nouveau-mexiquain se plaisais à faire des petites virée nocturne en plein désert, bien que j'en fut pas convaincue.
Après tous, je viens de New-York, je ne connais donc rien à cette région, si ce n'est les histoires de guerriers indiens que me racontais mon grand-père. Ça peut être la sortie familiale du samedi après-midi pour eux.

Mouais, bizarre.

Nous étions en pleine ville, certes c'était l'été et les vacances, mais je ne m'attendais pas à autant d'agitation en pleine nuit.
Les lampadaires, qui pare leur faible lumière, éclaire les gens qui s'affairent, à chaque coin de rue il y'avait des camionnettes semblables à celle que nous avions croisera, des hommes les chargent de ce que je pus apercevoir comme des paquets ou des cartons.

- Monte ta vitre.

- Hein ? lui demandai-je.

- Monte ta vitre.

- Ah... pourquoi ?

Pas de réponse, mais je m'exécute et remonte ma vitre à fond. Je me demande bien pourquoi cette précaution, car je sais bien que quand on vous demande de remonter sa vitre c'est qu'il y'a quelque chose. Par exemple, je me rappelle d'une fois ou nous nous sommes égaré, dans les quartiers craignos de New-York Sud, et mon père nous avais demandé à moi et à mon frère de remonter nos vitre pour qu'il puissent verrouillé la voiture.

A Summer to Learn your Darkness Où les histoires vivent. Découvrez maintenant