Malgré que mon attention pendant les cours de géographie n'est pas à son plus haut point, je me rappelle particulièrement de ce cour, où le prof nous avait fait un classement des villes à taux de criminalité le plus élevé. Et malheureusement, la ville de Memphis * est touuus en haut de ce classement. Je me souvient qu'il a parlé de "trafique", "prostitution", "drogue", "pauvreté", "guetto". Pour approfondir encore plus son cour, le prof avais comparé Memphis avec les quartiers craignos de New-York, résultat : nous avions 3 fois plus de chance de se faire tuer en une semaine à Memphis qu'en 1 mois dans les quartiers Sud de New-York.
Merci conscience de me faire repenser àça maintenant, histoire de bien me faire flipper.
A vrai dire, je m'en foutais un peu, ne m'imaginant jamais mettre un pied dans cette ville.
Et oui cocotte, mais il ne faut jamais dire jamais.
Et puis tu sais très bien qu'il y'a autre chose aussi......
Je me demande si il est que de passage dans cette ville (enfin je l'espère plus qu'autre chose), mais j'en doute.
La vue qui s'offre à moi est loin de celle que j'ai connue ou j'habitais à New-York, ou les familles se promenaient dans le innombrables parc, sous le soleil d'été. Ici toute les rues se ressemblent, délabré, sales, les dealers sont des accessoires de coins des rues, les jeunes sans avenir rodent, et les drogués se font leur meilleurs défonce contre les murs tagué. Les sans abris longe les rues, à la recherche d'un endroit au dormir. La misère se lit sur leur visage, ces visages marqué a jamais par la vie. Dans ma petite banlieue, avec ma famille, je n'ai jamais pensé que la pauvreté avait une apparence, laide, misérable mais imposer à ces gens.
Chacun traîne son histoire derrière lui, une histoire plus ou moins lourde, c'est selon, mais qui a force d'être traîner épuise et fatigue.
La communauté noir, afro-américaine est très présente a Memphis, c'est sûrement eux les plus touché, ces jeunes qui n'ont connu que leur ghetto, la rue. Malheureusement la rue ne peux pas leur construire un bel avenir, elle ne peux que les enfoncer encore plus dans ce cercle vicieux qu'est la drogue et le crime. Ce n'est pas leur faute, personne ne leur vient en aide, alors ils n'ont pas plus d'espoir qu'en avais leur parents à leur âge, et comme on dit, l'espoir fait vivre, alors pour eux demain ne ressemble à rien.
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Ça fait maintenant un quart d'heure qu'il roule, sans GPS, il doit donc connaître cette ville. Le soleil commence à ce lever, éclairant les ruelles qui étais jusqu'alors rempli d'ombres. Il m'est traverser l'esprit de sortir en courant de sa voiture, mais il aurait tôt fais de me rattraper, et je ne tiens pas vraiment à m'aventurer dans ces quartiers dangereux hein.
Je me surprend à le regarder du coin de l'œil, toujours aucune expression sur son visage, mais maintenant qu'il est éclairer par les rayons du matin, je le trouve très beau (sans arrière pensée hein), quelque mèche des ses cheveux noir lui tombe sur le front, contrastant avec sa peau pâle.
