Malaïka ferma instinctivement les yeux lorsque les lèvres de Richard rencontrèrent les siennes.
Elle accepta ce baiser avec ferveur, consciente qu'elle le regretterait probablement après, mais là n'était pas la question. Là il s'agissait de la langue de Richard qui essayait de se frayer un chemin entre ses lèvres, chose qu'elle laissa faire et une fois en contact, leurs langues se mirent à faire une danse endiablée, accentuant ainsi le baiser.
Malaïka avait subitement très chaud et sentant ses jambes la lâcher, elle s'agrippa davantage sur Richard, nouant ainsi ses bras autour de son cou. Ce dernier quant à lui, la serra fermement à son tour comme si il avait peur qu'elle ne soit finalement qu'un mirage. Ils poursuivirent leur baiser, se séparant afin de reprendre leur souffle et se jetèrent encore l'un dans les bras de l'autre.
Tout d'un coup, Richard avait soulevé Malaïka dans ses bras, ce qui mît fin à leur baiser.— Et si l'on continuait là haut?
Sa voix devenue rauque était empreinte de désir.Malaïka déglutit à l'idée de passer à la vitesse supérieure et surtout dans de telles circonstances. Devait-elle accepter ou tout simplement descendre des bras du bel homme et s'enfuir les jambes à son cou.
Il ne lui laissa même pas le temps de mettre ses idées au clair qu'il embrassa à nouveau ses lèvres brûlantes déjà bien gonflées.Richard montait les marches une à une avec Malaïka dans ses bras dont il ne sentait pas le poids car occupé à la couvrir d'enivrants baisers.
Une fois qu'ils furent en haut, il décocha un coup de pied contre la porte de la chambre , poussé par l'excitation. La porte s'ouvrit aussitôt, permettant aux deux tourtereaux d'y pénétrer. Richard, la tenant toujours, se dirigea vers le lit. La pièce était plongée dans la pénombre, mais il réussi facilement à se repérer.
Une fois qu'il fut près du meuble, il recommença à administrer une série de baiser sur la bouche de cette dernière, avant de l'y poser délicatement, tel un potier méticuleux posant sa plus belle œuvre.
Alors qu'elle fut totalement allongée,Richard, en équilibre sur ses mains, se redressa. Il alla vers un abat-jour qui se trouvait sur une petite table près du lit, et l'alluma.
Malaïka tourna légèrement la tête comme désireuse de toujours l'avoir dans son champs de vision.
Une fois que la lueur feutrée de l'abat jour emplit la pièce, il revint vers cette dernière.
Elle avait tenté, à son tour, de se redresser, mais n'y étais pas totalement parvenue.
Emmenant ses lèvres vers les siennes, Richard la rallongea en la couvrant de baisers intenses.
Puis,une fois qu'elle fut à nouveau allongée, il se saisit lentement de son bras, et la retourna posément Elle se laissa faire.
L'ayant désormais de dos, il pouvait voir l'ouverture de la robe au niveau de la nuque,il y dirigea ses mains et la fit descendre. Durant cet instant, Malaika sentit comme une pression sur son corps la quitter. C'était la sensation de libération suite à la suppression de son vêtement.Richard fit ensuite descendre la robe jusqu'à ses reins.
Il fit descendre le vêtement jusqu'à ses chevilles, puis l'ota totalement et le plaça sur le lit.
En remontant, la bouche de Richard se mit à découvrir le corps à moitié dénudé de Malaika. Il remontait en embrassant chaque parcelle de son corps qui s'offrait à lui et en réaction, elle émettait de légers gémissements, et se saisissait fortement du drap, afin de contenir son plaisir.
Lorsque Richard arriva au niveau de sa culotte, il se stoppa d'abord puis la retourna.
Là, il se redressa puis se mit à l'admirer. Elle était magnifique. Son corps, sa peau semblable à du sable dorée,son odeur, sa silhouette dans cette tenue, tout était parfait et envoûtant il sentit aussitôt son organe reproducteur se durcir et se tendre.Richard se redressa légèrement, puis ôta à son tour ses vêtements de haut, sans la quitter du regard. Malaika le regardait également, un sourire sur les lèvres, bien qu'au fond, elle était bien plus que nerveuse.
VOUS LISEZ
Muléma mwam
RomanceLui, la vie l'a amèrement éduquée et il en a gardé des séquelles.Elle, malgré les situations présentes, elle ne cesse de prendre la vie du bon côté. Lui, il est dure, ses objectifs sont souvent concentrés ailleurs que sur l'essentiel , elle, maladr...