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Moi : Ziyad ? Ça va ? Ouvre les yeux ! Ziyad !

Il fermais les yeux petite à petit et mon angoisse montait. J'ai les larmes aux yeux et j'ai peur..
Je commence à crier pour que quelqu'un vienne et 20 min après un homme entre.

Homme : OH FERME TA GRANDE GUEULE TOI !

Moi : S'il vous plaît aidez le il vas mourrir. Pleure

Homme : J'M'EN BAT LES COUILLES LA PROCHAINE FOIS SI TU CRIS COMME ÇA JE TERMINE C'QUE MON CHEF À COMMENCER.

Il ressort et la peur augmente encore plus en moi.

Moi : Ziyad non t'endors pas j'ai besoin de toi s'il te plaît. Pars pas reste avec moi tu peux pas me laisser t'a pas le droit, s'il te plaît réveille toi

Ziyad : Gémissements de douleur

Quand il a gémis, ma peur diminuait car il était en vie mais il avait mal j'le sentais donc ça me faisant tout aussi mal de le voir mal.

Moi : Ziyad ? T'as mal ou? Parle moi, dit quelque chose s'il te plaît.

Ziyad : T... t'in... t'inquiète j... je v..ais bi..en. Parlant avec difficulté et faiblement

Moi : Non tu vas pas bien Ziyad, tu souffre je sais que t'a mal. Tu veux que je les appelles? J'peux pas te laisser comme ça c'est trop pour moi.

Ziyad : N-non les a-appelles pas.

Moi : Mais Ziyad t'as mal je veux pas te laisser souffrir. 

Ziyad : J'te dis...  les appelles pas... ils vont rien faire. Dit-il difficilement

Moi : Soupire Ziyad j'ai peur pour toi..

Il me regarde longuement.

Ziyad : N'aie pas peur... je reviendrai te chercher.. et... et on partira loin de tout ça t'as compris ?

Moi : Ziyad....

Ziyad : Arrête de pleurer j'aime pas.

Moi : Je veux pas que tu me quitte.

Ziyad : J'te quitterai pour rien... au monde Inaya.

On se regarde un instant jusqu'à ce que la porte s'ouvre.

Driss : Applaudie Depuis que vous êtes ici, que des discours. Trop d'amour dans l'air. Vous savez ce que je veux moi ?

Il marque une pause.

Driss : De souffrance, des cries de pleures et de douleur. Vous connaissez ou pas ? Je vais tester l'expérience sur vous, vous allez kiffer mes chers invités.

Il sort un talkie-walkie.

Il appuie sur le bouton et parle.

Driss : Ramener moi la mallette et la boîte avec les rats. J'en ai fortement besoin.

Il lâche le bouton.

Homme : Entendu, patron.

Il nous regarde en souriant.

Driss : Vous allez vous amuser mes chers invités.

[....]

Un homme arrive avec une mallette et une boîte il dépose ça devant la porte et ressort.

Driss regarde la boîte et la mallette sourire au lèvre tout exciter.

Il ouvre la mallette. Je ne vois pas ce qu'elle contient vue que je suis de face et la mallette de dos et le couvercle me cache la vue.

Femme battue Où les histoires vivent. Découvrez maintenant