Chapitre 21 : Les toilettes

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-Ce sera notre petit secret-

-Seconde version-

TW : Ce chapitre contient de la violence/ des scènes d'abus qui peuvent déranger les personnes sensibles.

JAYDEN
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CLACK !!!!

Peter fit claquer la porte des toilettes de façon brutale.
- Woo ! fis-je sursautant de surprise. Putain tu m'a fait peur, dis-je d'un rire nerveux. Sans prêté attention à ce que j'ai dit, de façon soudaine, il prit violemment ma main et tire en avant en dépassant deux cabinets de toilette. J'ai manqué de trébucher, j'amorti au dos de celui-ci qui, comme un épouvantail décrépit reste figé. Il agrippe la poignet de sa main droite et ouvre la portière de manière suspect et très silencieux.
Les grincements sinistre et fort de la portière me fait frémir que je failli manquer une chute. « qu'est-ce que ça signifie au juste ? Tu me fais un peu peur tu sais...» dis-je suivi d'un petit rire nerveux, je sens le sourire rassurant que j'arbore aux lèvres s'effacer petit à petit pour y laisser place à la gêne et confusion.
Il pivote le bout de son nez droit devant le mien et arbore à son tour un sourire chaleureux et amical, mais il cachait quelques choses d'autres derrière, le silence et le malaise le rendait de moins en moins empathique qu'il ne l'était.
- Heu, ouais du coup tu...

- Vas-y entre jt'en pris, m'interrompt-il calmement face à son invitation plus qu'intriguante. J'en étais presque étonné lorsque je sentais un rire franchir la barrière de mes lèvres comme un bruit de pouffe. Aller aller vas-y, reprit-il.

- Mais qu'est-ce que tu attends de moi au juste ? je demande perplexe, presque effrayé.
Dix ( ans ) secondes se sont écoulés avant qu'il ne se met à crépité la semelle de ses chaussures lentement dans ma direction. Se tenant à mon dos, ses deux mains tactile positionner par-dessus mes épaules et les faits frotter de façon à me réchauffé d'un courant glacial, c'était agréable dois-je l'avouer même si cette sensation disparaît progressivement pour me rendre de nouveau perplexe. J'esquisse un sourire amical et gêné aux lèvres lorsque je sens un léger souffle avant renifler ma nuque.
- À quoi tu joues au juste ? je l'interpelle l'air méfiant et confus.
- Qu'on s'amuse, répond-il en allusion à ma question précédente. Alors que je sentais de nouveau ses narines rampé comme au croisement du menton j'eus un clique soudain comme si qu'une idée venait d'émerger.

- Hé attend, m'interrompt brusquement, m'échappant de son emprise pour m'affirmer face à lui. Heu, tu sais que je voulais plaisanté quand je, heu j'ai dit que je,— Élise ou le reste des filles heu et puis ouais voilà quoi..., je sens mes joues ainsi que tout le reste de mon corps piqué. Il laisse échapper un rire tendre et innocent, je me mord la lèvre inférieure et un gémissement aigu et incontrôlé s'échappe de ma gorge. Qu'est-ce qui te fait rire ? ai-je demandé l'air renfrogné et peu sérieux.
Sa main gauche traverse le long de ma joue gauche me caressant tendrement jusqu'à mes cheveux, « ces mouvements sont modérés et délicat, c'était plaisant à ressentir comme sensation. Comme une sorte de massage crânien amical ou peut-être encore plus ?»
- Aller j'ten pris. Je sais très bien que je t'attire, réplique -t-il approchant le bout de son nez à quelques centimètres du — mien, « c'est vrai qu'il est assez attirant à vrai dire...»
- Je ne vois vraiment pas de quoi tu parles..., dis-je bégayant et à la fois troublé qu'il m'est directement démasqué derrière mon jeu.
Je déglutit.

Il se positionne droit devant moi et dépose aux creux de mon front un doux et léger baisé attendrissant qui à duré cinq secondes comme l'équivalent de cinq années entière. Il retire ses lèvres humide de mon front et me fixe du bout de mon nez suivi d'un rictus aux lèvres, ses yeux noisette sombre semblaient s'illuminer comme une sorte d'envoûtement de sa part. Tel un serpent il glisse sa main droite à quelques centimètres de mon postérieure, je frissonne du dos jusqu'au jambes. Sa main gauche accroché à mes hanches comme si il allait faire un slow.
- S'te plaît, refuse pas cette offre, c'est comme un petit coup d'un soir. Qui sait ça t'arrivera peut-être qu'une fois dans toute ta vie.
Je stresse et doute à la fois, je n'ai pas à douté de mon meilleur pote ; j'ai toujours été loyal envers lui et lui aussi envers moi— Orghh j'en sais rien-, et puis..., pourquoi pas tenté pour juste qu'une fois, ça fera du mal à qui ?

- je te préviens, tout ça reste entre nous seulement, je lui rappelle tout de même peu confiant. Il agrippe mon manche et m'attire à l'intérieur de la cabine et ferme la poignée qui devient soudainement rouge.

***

L'histoire De L'homme Tordu # TOME 1 : [ EN COURS/ ET EN RÉÉCRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant