L'histoire De L'homme Tordu # TOME 1 : [ EN COURS/ ET EN RÉÉCRITURE]

Chapitre 15 : Numéro suspect

New York.

Samedi 6 juillet, 2010.

Wall Street NCY.

5th Avenue.

16h15.

ÉLISE
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La fenêtre de ma chambre bascule d'avant en arrière par le courant d'air qui s'échappait de —
l'embrasure écarté de l'extérieur de la ville. Détendue et assise par-dessus ma chaise, tenant une brosse à cheveux à ma main droite qui effleure durement mais aussi délicatement sur mes cheveux blonds châtain foncé.

Celles-ci brillaient au rayon lumineux du soleil qui décide enfin après s'être caché par les nuages de se dévoiler. Je m'arrête quelques secondes et me redresse pour me diriger vers la fenêtre pour observer l'étendu de New York et son ciel orange et rosâtre accompagné de ses nuages qui empruntent exactement le même teint.
Je souris et respire profondément -
signifiant que ce jour sera définitivement le meilleur jour de ma vie.

J'inspire de nouveau profondément
Comme si que le calme y était présent
tout autour de moi.
Assez mensonger pour parler de New York. Malgré les voitures et écho autour c'est n'est réellement ça qui compte le plus pour moi en ce moment. Je fais demi-tour et retourne là où se trouve mon miroir déposer au-dessus de mon bureau brunâtre, j'effleure la robe blanche que je porte qui virvolte de quelques centimètres de haut. Assise devant mon reflet, je ne pouvais que simplement sourire pour ce jour merveilleux. Je scrute les éléments disposé autour de moi comme, des crayons ; parfums eyeliner et rouge lèvres. Je décide alors de me parfumé du parfum de Dior autour de ma nuque jusqu'au coup.

Ayant reposer le pot, au rouleau cylindrique d'une petite taille se met à rouler à une vitesse indiscernable. Je le rattrape de justesse avant qu'il ne tombe et découvre qu'il s'agit simplement que de mon rouge à lèvres à la fleur de Lys, il est impossible pour moi de déterminer à mes yeux mon amour pour ces fleurs.
Je décide alors de m'y en étalé sur mes lèvres pulpeuses jusqu'à brillé.
J'aperçois le résultat lorsque je vois de mes propres yeux le reflet du miroir. Je ne suis pas une adepte de rouge à lèvres rouges ; rose glamour comme Jessica et -
compagnie. Moi je suis plutôt simpliste.
À l'heure actuelle je suis sûre qu'elle doit se tordre et torturé son esprit à choisir son accoutrement pour ce soir.

" J'en ris intérieurement." elle est...

BIIIIIP !!!!

Un son grave et vrombissant retentit.
Ce n'était rien de plus que mon téléphone qui était recroquevillé sur mon lit, l'hyperactif que je suis m'empresse de me lever de ma chaise pour plonger profondément au drap de mon doux lit, je chope mon téléphone instantanément et le déverrouille en moins de deux secondes. « Tiens tiens, en parlant du loup.»

Jessica : Prépare toi ma belle, parce que la fête arrive à grand, ont arrive tout de suite !!!!
À la vue de ce message je ne peux pas ne pas laisser échapper un sourire de compassion et de folies.

Elise : J'ai trop hâte moi aussi, venait vite !!!!!

« Envoyer !»
Une envie de m'étirer m'écrase et ne pouvant m'empêcher de m'étaler aux creux de mon lit et m'imaginer toute la vie qui m'attend derrière. Mon cerveau film déjà les recoins, ambiance ; et scène du bal et de l'aura qu'il dégagera. Je m'imagine dévalé le lycée de mes talons marié à ma robe blanche un immense tapis rouge glamour, le type tapis où dévale les starlettes et célébrités d'Hollywood devant des milliers de photos et flash « bon hum... Enlevons les photographes et paparazzi et ce serait
le chic. Je sais pas pourquoi
mais le cerveau à énormément tendance à avoir des descriptions inimaginable
d'un endroit en particulier qu'il est quasi possible d'être de loin ce que là réalité nous propose.
Je visualise les couloirs jonché de fontaine blanche et doré. Des pyramides gigantesque qui faisait trois la taille du bâtiment en lui-même. Et des activités comme du canoë, une piscine à l'intérieur alors que le lycée est clairement incapable de s'y en procurer.