Chapitre 42 : La brume rouge

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La peur, l'angoisse, la panique et la curiosité prenait place au sein du gymnase qui plongé dans un silence dérangeant aux spectateurs face au revenant qui avait cessé de parler pendant un bon bout de temps. Leurs traits de visage dessinait de la crainte et d'insécurité, se demandant l'un à l'autre le sort qu'il allait leur être réservé ne s'attendait clairement pas à ce qu'ils vont toutes et tous vivre. Billy l'air hébété regardait dans le vide sans la moindre raison, il tendit à moitié ses bras en avant gesticulant frénétiquement, ses yeux vinrent à moitié au blanc comme si qu'il prenait un plaisir intense.

La foulée ne comprenait pas ce qu'il était en train de se produire figé, et captivée par cette scène incompréhensible et intriguante à la fois. Leurs posture captivantes et figé sûr lui se transformait petit à petit à des conversations et des murmures perplexe, au centre de l'attraction William gémissait timidement toujours dans son état de transe. Il grogna férocement tel un loup enragé, il continua de convulser et ses mains prirent une teinte assez rouge vif et de ce qui semblerait être des sortes veines rouges jaunâtre comme si qu'il tentait de s'échapper de ces mains ou était-ce un état d'emprise, ou une possession.

Cette sorte de longea jusqu'à sa gorge pour aller jusqu'à son cerveau, convulsant encore plus comme si qu'il allait tomber dans les pommes. Il se tortilla ses doigts et mordit ses lèvres jusqu'à en saignement profondément, la tête levé laissant dessiné sur ses lèvres un sourire malsain. Et ses yeux prirent une teinte beige jaunâtre macabre : " Oh, ça y est... Il est temps." " ils n'oublieront jamais ce fameux jour."

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« Oh mon dieu... Qu'... Qu'est-ce qu'il fait, que lui arrive -t-il ?» interpella une des professeurs du lycée en panique.

« On aurait dit que son état actuel laisse place autres choses, tout sauf... Lui-même.»

Certains regardait et tentait de s'approcher téméraire et avec méfiance scrutant la scène avec des yeux scrutateur, cherchant des indices et essayant de comprendre comme il le pouvait ce qu'il lui arrivait. Au contraire certains restent en retrait observant avec curiosité mêlée à de la crainte, se demandant quelle étrangeté était en train de se produire en lui. L'incompréhension persiste.

Et après quelques minutes de tension de spéculation, à essayer de déterminer ce qui n'allait pas chez lui, à être mélangé entre surprise, stupéfaction inquiétudes et panique à la fois, tout s'arrête, il s'était arrêté de convulser. Désormais à son tour d'être figé du temps bras détendu, sa tête levant vers le haut le regard perdu, le blanc des ses yeux inexpressif et sa bouche bien ouverte comme si qu'il allait à son tour se mettre à léviter dans les airs.

Il laissa échapper un petit souffle d'agonie avant que ses deux yeux ne se rouvrent laissant apercevoir une couleur jaune brillante assez lumineuse et sinistre pour possédé quelqu'un, ses pupilles avaient rétréci ne laissant que la couleur jaunâtre assez pâle mais brillant tel un feu de soleil brûlant.

Et d'un coup : aussi mystérieusement qu'étrange et sinistre, une sorte fumé d'un rouge fuchsia ajoutant de la mélancolie à l'intérieur, se dégagea de la bouche grand ouvert de Billy une sorte de vapeur ou du gaz comme si qu'il avait été intoxiqués, alterné voir même empoisonné. Un spectacle sinistre et terrifiant commençait à se mettre en place le public qui pour certains intrigué, interloqué et méfiant commençaient à être prît par un sentiment d'insécurité et de danger imminent, captivé par ce gaz qui sortait de sa bouche au fur et à mesure devenait de plus en plus épais jusqu'à presque remplir le gymnase, l' engloutissant comme un énorme gouffre.

L'histoire De L'homme Tordu # TOME 1 : [ EN COURS/ ET EN RÉÉCRITURE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant