New York :Lycée Lincoln Park.
8 janvier 2008.
1
Les couloirs du lycée s'étendait jusqu'à ne plus avoir de délimitation et de sens.
Les lumières elles vacillaient toutes les quinze minutes minimum, laissant échapper un bruit de bourdon électronique, comme un essaim d'abeilles volant et engloutissant presque tous les couloirs qui émanait un long et profond silence comme si que le vide, le néant appartenait à l'établissement, entre coupé par les échos des professeurs enseignants leur cours aux élèves, brouillé par les portes qui barricades à peu presque toutes les salles de classes rendant les voix presque inaudible et indéchiffrable.Chaque salle de classe disposait d'un numéro en guise de repérage de ce gigantesque plexus labyrinthique. Un silence calme, doux, paisiblement mais à la fois sinistre prolongeait tout le lycée entier comme si que des vestiges y étaient restés pendant des années, l'oublie de ce qui avait été auparavant oublié ne laissant que là simple présence de la nostalgie, de l'oubli ou de l'agonie.
2
À l'instar, Élise âgé de seize ans été à moitié aplati sur sa chaise comme un cadavre à moitié décomposé, ses cheveux penché et flottant dans le vide se laissant pousser par des légers courant d'air. Son visage dessinait un visage vide et fatigué, fatiguée de rester planter sur une chaise pendant à écouter un professeur dialoguant ses cours pendant une ou deux heures qui est l'équivalent de dix heures dans la tête d'Elise qui laissa échapper un soupir d'agacement et de fatigue.
Comme à peu près du reste des élèves assis, peinant à garder un œil ouvert ou de s'étaler sur leur chaise attendant les heures comptant. Elise leva sa tête légèrement, son gilet noir cuivré laissa paraître un bruit de grincement et un mélange d'un froissement de carton. Devant elle était assise Jessica Abel, l'une de ses meilleures amis depuis le collège, celle-ci s'apprêtait à sortir son téléphone sans pression et sans gêne, le professeur ne remarquera que du feu dos aux élèves.
Elle déverrouilla son téléphone portable et semblait communiquer avec une certaine tout en sachant que son professeur se trouvait à quelques kilomètres d'elle. Elise fut interpellé et essaya en toute discrétion de scruté la conversation avec l'individu. Depuis leurs tendre amitié elle n'avait jamais prononcé quelque chose de révélateur ou cacher. Malgré la distance qui les séparaient Élise tenta en vain de voir avec qui pouvait-elle écrire. Était-ce une ou un autre de ses meilleurs amis éloigné depuis longtemps, ou alors un garçon qu'elle avait probablement rencontrer et cacher au sein du groupe.
3
Elise se pencha en avant pour essayer d'y voir plus clair dans ses messages, elle aperçut plein de petits cœurs et des emojis d'amour, sûrement ce qui s'en suit de message d'amour à l'eau de rose.
Elle se demandait si cela pouvait être un garçon du lycée même, en tout cas disponible en cours prêt à tout jusqu'à ce faire cramé. Elise n'avait pas cet instinct là, dévié les règles d'un autre sens et prendre des risques comme le faisait Jessica ; elle admirait tant sa confiance en soit qu'elle en enviait parfois. Pendant quasiment toutes l'heure qu'elle scrutait son téléphone portable et souriait à chaque message qu'elle recevait en retour.Du peut qu'elle pouvait elle essaya de voir le nom de cette amoureux secret sans trop qu'elle en voit d'avantage. La curiosité pris le dessus, elle voulait savoir ce qui se cachait derrière ses écritures d'amour et indiscrète. Elle prendrait le risque de se faire remarquer d'avantage par le professeur que si, elle devait attendre pendant longtemps et patiemment la sonnerie de la pose. Elle du alors se résigner jusqu'à la fin, lorsqu'elle auront rendez-vous au toilette au moment de la pause avec le reste des filles. La curiosité lui mordant au lèvre.
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L'histoire De L'homme Tordu # TOME 1 : [ EN COURS/ ET EN RÉÉCRITURE]
Horror||6 juillet 2010.]]| Un grave incendie s'est produit dans un lycée dans la ville de New York, ne laissant presque aucun blessé. Mais une seule survivante. Elle se nomme Élise, elle fera par de son témoignage a un policier qui fut tout aussi intrigué...