Je Te Le Promet [Finnick x OC]

Chapitre 49 : Sois toi même.

La visite des districts 12, 11 et 10 c'est déroulaient sans encombre. Alya a portait trois robes différentes, non sans râler, et a lu 3 discours qui avaient l'air différent, mais qui dans le fond était pareils. On avait manger des choses complétement différent de chez nous, étant les district les plus pauvres de Panem, ce n'était abondant et on a beaucoup était nourrit au pain.

Plus on se rapprochait du district 9, plus les cauchemars d'Alya devenaient fréquent et violent. Elle criait, pleurait et même me frappait dans son sommeil. La seule chose que je pouvais faire, c'est de la réveiller et d'en parler.

Je la tenais dans mes bras, elle c'était agripper à mon t-shirt comme à une bouée de sauvetage. Je caresse délicatement son dos, sa respiration est enfin revenu à la normal. Sa crise d'angoisse c'est enfin calmée. Je me frotte les yeux, il me pique, j'ai l'impression d'avoir du sable sur les paupières. J'ai tellement hâte que le district 9 sois loin, ses crise d'angoisses se calmeraient peut-être enfin. Quand ça avait était ma tournée de la victoire, j'avais connu les crises d'angoisse à l'approche du District 5. La première personne que j'ai tuée était de se district. Quand j'avais compris qu'on arrivait au district 5, ma respiration c'était bloquer, les larmes avaient coulé. J'étais touts seuls.

Quelqu'un vient me sortir de mes pensées en toquant à la porte.

"Nous arrivons au district 9."

Alya serra plus fort mon t-shirt.

"Alya, mon coeur. Plus vite ça sera fait, plus vite ça sera finit."

Elle fît un petit oui de la tête, elle ouvre ses yeux délicatement.

"Je suis désolée Finnick.

- De ?

- De ma faute, tu ne dors plus et je te prends tout ton temps.

- C'est un juste retour de ce que tu as fais pour moi quand c'était moi dans se train. Tu avais même séché les cours pour rester avec moi."

Je dépose un baiser sur son front. On se leva, mon bras gauche était engourdi du fait qu'elle avait dormit dessus, je le laisse tomber le long de mon corps et fait style que tout vas bien. Je sors de la chambre pour la laisser se changer et se faire maquiller. J'attendais dans le wagon salon, elle arrive dans une robe doré et des talons argentés.

"Un conseil ?

- Sois toi même.

- Vaut mieux pas.

- Bien sûr que si. Je ne pense pas que Iâhmen et Katy serait très heureux de te voir faire style que tout vas bien."

Je lui fais un sourire réconfortant. On se dirige vers la mairie. On s'arrête devant la porte, je me penche vers elle et dépose mes lèvres contre les siennes.

"Tu vas y arriver.

- Je sens que je vais pleurer.

- Qu'est ce qu'il t'a dit Iâhmen avant de mourir ?

- De veiller sur son corps.

- Pas ça. Il t'a dit "N'hésite pas à pleurer". Et il a raison, n'intériorise pas. Pleure si tu en a envie, c'est normal. Iâhmen t'a sauvé la vie et tu étais proche de Katy."

Elle fait oui de la tête, se place devant la porte.

"Je t'attends là. Je serais avec toi par la pensée."

Je n'ai pas le droits de l'accompagner sur scène. Les portes s'ouvrent, elle avancent la tête à moitié baisser. Elles arrivent devant le micro.  Elle ne dit rien, son regard était captiver par les photos et les familles de Iâhmen et Katy. Elle prends une grande respiration.

"Bonjour. Je."

Elle ferme les yeux.

"Je suis désolée. Je suis désolée pour Katy, elle a souffert par ma faute, tout ça parce que je n'étais pas assez forte. Si j'avais pu me tirer des griffes de mon assailant elle n'aurait pas souffert autant si je m'étais pas laisser faire. Katy était quelqu'un d'incroyable, elle était trop pure pour l'arène."

Elle se tourne vers la famille d'Iâhmen. Les larmes commençaient à perler sur ses joues. La foule ne disait rien, mais la regarder avec intensité.

"Pour Iâhmen c'est une autre histoire. Il m'a sauvé la vie. Si il n'était pas intervenu Yail serait peut-être le vainqueur de ses jeux. Je pense, je ne l'ai pas assez connu, qu'il a était lui même jusqu'au bout. Et pour ça je le respect."

Moi aussi je le respect et ce que tu viens d'évoquer est une des raisons.

"Je ne m'excuserais jamais assez."

Elle baissa la tête, quelqu'un applaudit dans la foule, tout le monde suivit le mouvement. Les yeux d'Alya s'agrandirent, ses larmes coulèrent de plus belle. Un pacificateur arrive l'attrape par le bras et la tira à l'intérieur. Il l'a jeta violemment, je la récupère à la volé. L'enfoiré ! Je la serre contre moi.

"C'était bien ?

- C'était parfait."

En plus y a rien qui pourrait faire penser que tu es pour une rebelle.

Je dépose un baiser sur sa tempe. La population du district 9 applaudissait toujours. Je prends la main d'Alya et l'emmène vers la salle de réception. On mange, on discute avec tout le monde et on repart dans le train.

Dans touts les autres districts c'est bien passé, sauf dans le 1, elle c'est faite huer. On arrive au Capitol, elle avait une robe avec un décolleté plongeant, fendu sur sa jambe droite, sa robe était d'un rouge pétant. Ils l'avaient maquiller avec un maquillage mélangeant le doré, le noir et le rouge.

"Qui êtes vous ? Qu'avez vous fait d'Alya ?

- Et le pire c'est que tu te crois drôle.

- Je le suis.

- Je ressemble à un livre de coloriage.

- Mais non.

- Arrête de mentir.

- Un petit peu."

Je pose ma main dans son dos, l'attire contre moi et dépose mes lèvres sur les siennes.

"Cette robe te vas très bien. Tu es très belle.

- Belle ? Tu veux dire sexy.

- Un peu des deux je dirais."

Elle met sa main devant ma bouche et pousse ma tête loin de la sienne. Je rigole. Elle avait des talons aiguille de la même couleur que sa robe.

"Je déteste cette tenue."

Un pacificateur l'emmène. Je n'ai pas le droit de venir au bal prévu pour elle. J'attends pendant trois heure dans le salon, à lire un livre. Quand elle rentre, elle jette ses talons dans l'entrée.

"Alors ?

- Trop de gens."

Je rigole, elle va vers la cuisine.

"Qu'est que tu fais ?

- Du débroussaillage.

- Du débroussaillage ?"

Je me retourne, elle tenait ses cheveux dans sa main droite et un ciseau dans sa main gauche.

"Woooh wooh qu'est que tu fais ?

- Je coupe."

Plusieurs de ses mèches tombent au sol. Je ne bouge pas du canapé. Quand elle eut finit, ses cheveux étaient aussi court que les miens. Je sentis mes joues rougirent, elle était magnifique. Elle laissa tomber les dernières mèches qui lui restaient, elle soutient mon regard.

"L'ancienne Alya est morte. Je ne me laisse plus coulés."

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Merci d'avoir lu !

Dans le prochain chapitre il y a un saut dans le temps de 5 ans.

J'espère que ça vous aura plu.