33. Paix

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♪- Feel so close, Calvin Harris.

Plusieurs jours s'étaient écoulés depuis le drame.

Jay devait partir dans deux jours. Il me l'avait annoncé début de semaine.

Évidemment, il compte toujours partir, malgré son bras.

Nous étions le 22 décembre, il allait donc revenir pour le 24 décembre, la veille de Noël.

Elijah avait rapidement fait un bandage à Jay lors du drame. Il avait perdu beaucoup de sang, mais le médecin n'avait l'air pas inquiet.

Quand à moi, quelques marques sur la peau et beaucoup de stress, sinon, j'étais en parfaite santé.

Jay s'inquiétait beaucoup pour moi. Mais je ne l'avais pas beaucoup vu ces derniers temps.

Le bruit du claquement de la porte d'entrée éclatait dans la villa.

Jay arriva et me rejoignit sur le canapé.

- Ça va beauté ?

Je lui souris.

J'acquiesçai silencieusement.

- Je pars dans une heure. Tu iras chez Noah pendant mon absence.

- Chez Noah ?

Il acquiesça.

- J'ai seulement accepté qu'il te prenne sous sa responsabilité parce que c'est mon cousin. Dans tous les cas Isaac part avec moi.

Son cousin ?!

J'ai toujours cru qu'ils étaient seulement amis.

Isaac m'avait pourtant dit le contraire au tout début...

- Quoi ? Me demande t-il en voyant mon visage choqué.

- Je- rien mais...je ne savais pas que c'était ton cousin.

Il chuchotait un « ah ».

L'après-midi c'était rapidement déroulé.

Toutes mes affaires étaient prêtes.

Enfin de nouveaux paysages.

Jay allait partir.

- Je t'emmène chez Noah, et je partirai vers l'aéroport ensuite.

- Mais où vas-tu exactement ?

Un sourire en coin faisait son apparition sur le visage du dégénéré.

- En Espagne ma belle. Je pars avec Isaac. Nous devons régler quelques détails. Mieux tu en sais, mieux tu te portes.

- Mais je veux savoir !

Il cessa tout mouvement.

- Non. Contente toi de rester chez Noah.

Je levais les yeux au ciel.

Il s'approcha de moi.

- Tu seras sage ? Me questionne t-il.

- Seulement si toi tu l'es.

Il gloussa.

- Je ne toucherai personne d'autres que ma beauté.

Mes joues virent instantanément au rouge.

Il s'approcha davantage vers ma silhouette.

Ses mains se positionnèrent sur mes hanches.

Sa bouche se rapprocha doucement de la mienne.

JonesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant