The Wind of Freedom : Final Pawn Isolation

- 𝐂𝐡𝐚𝐩𝐢𝐭𝐫𝐞 𝐈𝐕 : 𝐋'𝐞́𝐜𝐫𝐢𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐞𝐬𝐭 𝐥𝐚 𝐩𝐞𝐢𝐧𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐯𝐨𝐢𝐱. 𝐕𝐨𝐥𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 -

15 juin 2026, 14h05, Maison de « Monsieur Demange », Nancy.

- Monsieur Fenikkusu, votre histoire est certes intéressante mais il va falloir m'expliquer comment vous pouvez vous dire qu'un texte pourrait changer le futur que vous pensiez vivre ?

Monsieur Narahudō se leva et se dirigea vers une commode avant de se tourner vers moi.

- Café ?

- Je veux bien avec une sucrette.

- Entendu.

Il se dirigea ensuite vers la machine à café et fit couler le café avant de se tourner de nouveau vers moi.

- Vous ne m'avez pas répondu Monsieur Fenikkusu.

- Oh, excusez-moi c'est juste que je réfléchissais à une raison. J'étais perdu dans mes pensées.

Monsieur Narahudō rigola quelques secondes.

- Comme quoi il y'a des choses qui ne changent pas.

- Oui on peut dire ça.

- Voilà le café.

- Merci.

Il s'assis et me regarda tranquillement. Il attendait une réponse que je ne parvenais pas à justifier.

- Eh bien disons que simplement il y'a un déclic j'imagine.

- Comment ça ?

- Je pense que comme durant une longue période j'étais isolé et que on ne me comprenait pas forcément, que je ne fessais pas des activités normales d'un garçon de mon âge et que désormais je pouvais venir à un endroit où on acceptait justement ce que je fais cela à débloquer quelque chose dans mon esprit.

Il pencha son fauteuil en arrière et regarda le plafond.

- Interessing. Vous pouvez continuer votre récit ? Cela m'intéresse toujours autant.

- Bien entendu. Alors...

6 avril 19h30, Maison des Fenikkusu, Tokyo.

Après avoir pris une canette de limonade et donner un bonbon a Igurū, je m'assis à une chaise de la table à manger à la cuisine où se tendait un cahier vierge de toute écriture avec un stylo plume posé à sa droite.

Fait quelque chose. Un truc. N'importe quoi. C'est la seule chose que on te demande.

Puis Je soufflai. Je ne savais pas quoi écrire. Surtout à qui je pouvais l'écrire, il y'avait quatre filles dans ce club. Quatre styles différents. Je peux déjà faire facilement un constat entre deux styles opposés au sein du club de littérature. Hikari et Natsumi.

Hikari selon mon avis objectif en l'observant je me dirais facilement qu'elle préfère les phrases construites avec beaucoup de métaphore sombre et profonde avec un double-sens. Son caractère refléterait bien son apparence un peu « ténébreuse » et solitaire.

Tandis que Natsumi préférait à coup sûr une écriture moins sérieuse que Hikari, expliquant avec de simple mots la tenure du texte. En même temps vu le caractère explosif de la fille...

Après cela n'est qu'un avis subjectif. Je peux me tromper bien évidemment. Mais je suis certains que leur apparence reflète leur gout à la littérature. Hikari est très sérieuse dans son apparence et dans sa conduite au contraire de Natsumi qui est beaucoup moins sérieuse en apparence avec un style plus enfantin.